"Utiliser la raison pour prouver la Loi, utiliser la sagesse pour expliquer clairement la vraie image, utiliser la compassion pour que la Loi soit immensément répandue et pour donner le salut aux gens de ce monde" (Rationalité)


Ils sont en train de "donner les premiers secours" à un cadavre

Relaté par le centre d'information de Falun Dafa

[Site Minghui] A 9 heures du matin le 11 juin 2001, les policiers du centre de détention du district Zanhuang dans la ville de Shijiazhuang ont amené un cadavre à l'hôpital du district. Les médecins ont fait, symboliquement, des gestes pour donner les premiers secours, puis ont rempli un rapport "Tous les soins ont été inefficaces". Le défunt est un pratiquant de Falun Gong, qui s'appelle DING Gangzi.

DING Gangzi a été arrêté le 3 octobre 2000. Selon un témoin oculaire il a été trompé pour le faire monter dans la voiture de police. Alors qu' il était en train de réparer un vélo pour son client, les policiers sont venus et lui ont dit de les suivre pour échanger quelques propos. Mais finalement cette conversation a durée huit mois, ce qui signifie que DING Gangzi, un homme de 47 ans à du garder le silence pour toujours.

Selon l'hôpital du district, lorsque le cadavre de DING Gangzi a été emmené, il était déjà pourri, et recouvert de mouches, les mains et les pieds menottés. Sous la commande des policiers, les médecins lui ont fait une perfusion. Le diagnostique était" Tous les soins ont été inefficaces". Tout cela pour constituer la preuve que le malade est mort dans l'hôpital.

Selon nos informations, dans le centre de détention, DING Gangzi a du subir toutes sortes de tortures : les chaînes au dos (attacher les bras au dos dont un bras passe par l'épaule), les chaînes aux pieds, frappé avec des bâtons électrique et d'autres tortures. Lorsqu'il protestait en faisant la grève de la faim, les policiers ont incité les prisonniers à le frapper.

La police n'a pas autorisé la famille à voir la dépouille du corps de DING Gangzi. Ayant perdu le pilier de la famille, sa femme, une simple paysanne, et ses trois filles sont sans appui ni soutien face à un monde impitoyable.