Par Zhen Ru

(Vraiesagesse.net) Note de l’Éditeur: Du point de vue de la cultivation, les pratiquants impliqués dans cette tragédie peuvent avoir eu des lacunes dans leur compréhension de la Loi, ce qui compliqua encore plus le scénario, mais l’événement dans son entier expose la brutalité du régime de Jiang. La seule raison d’une telle  torture aussi impitoyable et abusive fut que 15 pratiquantes Dafa ne voulurent pas abandonner leurs croyances justes et droites dans le principe de Vérité-Compassion-Tolérance et ne voulurent pas accepter le lavage de cerveau qui leur était imposé par le gouvernement. Les moyens de torture dont se servirent le camp de travaux forcés Wanjia, leurs mensonges, leurs efforts sans scrupule de vouloir cacher la vérité et leurs contre-accusations crapuleuses contre leurs victimes sont au-delà de l’imagination des gens du monde civilisé. Les abus brutaux envers les pratiquants du Falun Gong par le régime de Jiang devraient être condamnés par tous les gouvernements au cœur honnête, tous les groupes et gens et devraient cesser immédiatement. (6/21/2002)

Camp de Travaux Forcé Wanjia --un Camp de Concentration pour torturer les Pratiquants Dafa

Le 26 décembre 1999, plus de 30 pratiquants de Dafa de la ville de Jixi, province de Heilongjiang furent  illégalement envoyés à la 7ème brigade du camp de travaux forcés  de Wanjia à Harbin après qu’ils furent dupés  par les gardiens, qui leur promettaient la liberté.  Pour protéger leurs droits légaux, ils firent une grève de faim  en groupe. Le septième jour de leur grève de faim, ils furent forcés à déblayer la neige sur le champ de sports.

Sous les vents glacials d'hiver, les gardiens les  obligèrent  à courir sur le champ de sports après que la neige eut été  dégagée. Puisqu'ils étaient faibles et ne pouvaient pas suivre la course, la police força les criminels à les battre. Plus tard, ils furent dépouillés de leurs vestes de coton et forcés de se tenir debout sur le champ couvert de neige. Plus tard, les policiers battirent les pratiquants impitoyablement, tout en les gavant. Selon les paroles de  Shi Baiying, vice-président en chef section criminalité du camp de travaux forcés de Wanjia: "Nous avons employé tous les moyens à notre disposition"

Depuis l’an 2000 les pratiquants Dafa furent maltraités et torturés à maintes reprises. Les gardiens incitèrent les criminels à être leurs cobayes pour exécuter les coups sur  les pratiquants. Jusqu’à cent pratiquants Dafa incluant  Zhang Hong, Pan Xuanhua, Wu Jiyang furent confinés dans de petites cellules restreintes (Pour une description détaillée et d’autres formes de torture employées aux camps de travaux forcés, voir http://www.geocities.com/transrefs/Torture-tr.html)

Zhang Hong et  Pan Xuanhua furent envoyés dans ces petites cellules pendant 14 mois en tout. Au début, les gardiens du camp ne permirent pas aux pratiquants de porter des sous-vêtements, de se servir de literie ni de porter des bas/chaussons. La température du mois d’avril est toujours encore très froide le soir atteignant jusqu’à 10 degrés Celsius sous zéro (8 degrés Fahrenheit).Les pratiquants Dafa furent forcés de dormir couchés par terre sans couverture pendant un mois, environ. Wu Jiyang, qui avait eu le cancer avant sa cultivation Dafa, fut attachée sous clef à une chaise de fer pendant 10 jours et 9 nuits. En l’an 2001, le corps de Wu fut couvert de plaies. Elle fut attachée sous clef à une porte d’une petite cellule et après s’être évanouie une fois, fut ensuite attachée sous clef à une chaise en acier, pendant trois jours et trois nuits. Seulement après qu'elle se soit évanouie par deux fois, elle fut envoyée à l’ hôpital pour  traitement.

 Pan Xuanhua avait  souffert d’un cancer nasal et d’un mauvais fonctionnement du  foie avant sa cultivation  Dafa. Elle fut attachée sous clef  à une chaise en acier pendant 7 jours pendant sa grève de faim de 15 jours.

Zhang Hong fut attachée sous clef à une chaise en acier pendant 15 jours et 15 nuits jusqu'à ce qu'elle ait les jambes et les pieds tellement enflés qu’on ait  de la  difficulté à  fermer les chaînes à clef ou/et elles s’ouvraient et alors elle devint libre.  Les gardiens menottèrent  également trois ou quatre pratiquants ensemble, et alors on les forçait à rester debout  toute la journée. Des pratiquants furent  également attachés sous clef aux portes de leurs cellules pendant 15-16 heures par jour pendant environ un mois, et furent alimentés de  3-5 cuillerées de gruau de maïs deux fois par jour. S'il y en avait un peu plus, le gardien le jetait.

Pendant les  chaleurs d’été, la température s’élève au-dessus de 30 degrés  Celsius(ou au-dessus de 90 degrés  Fahrenheit). Il n'y avait pas d'eau de disponible dans les cellules, et les pratiquants ont souffert au point d'avoir les lèvres sèches et saignantes, et  la plupart d'entre eux ont éprouvé une perte de poids de plus de 15 kilogrammes (environ 30 livres). Dans un environnement si dur et malsain, plusieurs pratiquants de Dafa eurent  des plaies sur le corps. Les gardiens ne montrèrent aucun inquiétude et ils enfermèrent toujours les pratiquants dans de petites cellules pour les torturer.

Le médecin du camp ordonna aux criminels masculins de tenir les pratiquantes de Dafa pendant que le médecin coupaient les blesssures sur  leur corps. Avec le sang qui coulait sur le plancher et les pitoyables cris remplissant le bâtiment, aucun spectateur ne pouvait supporter d'bserver la scène. Même les criminels masculins pleuraient ouvertement. Alors les gardiens laissèrent tomber les pratiquantes sur le plancher sale dans les petites cellules. Trois jours plus tard, alors que les vieilles blessures commençant tout juste à guérir, le médecin revenait pour couper encore plus de plaies.

Zhang Bo, le vice-président  de la septième brigade, emmenait fréquemment des criminels pour fouiller les pratiquants de Dafa illégalement. Le 11 mai 2000, Zhang Bo avec quelques criminels entrèrent  dans   la 6ème équipe et enlevèrent  toute la nourriture et les nécessités quotidiennes. Même les brassières et les draps furent déchirés en  morceaux, et on ne laissa aucun papier de toilette.  Cuillères et  baguettes furent jetées dehors, par les fenêtres, forçant les pratiquants  Dafa à manger leurs repas avec leurs mains pendant trois jours. Toute la nourriture fut donnée aux criminels qui étaient venu avec Zhang Bo. Ces criminels, qui étaient en prison pour  vol, prostitution et abus ou trafic de drogues, pouvaient maintenant voler les pratiquants de Dafa ouvertement avec le chef  de police.

Selon la loi, le camp de travail devait fournir les nécessités quotidiennes à quiconque était emprisonné. Mais pendant notre période de deux ans en détention, le camp de travail de Wanjia ne nous a jamais fourni aucune nécessité ou ne nous a pas permis de rencontrer nos parents, et rendait impossible pour nos familles de nous obtenir des approvisionnements. Les familles de quelques pratiquants voyagèrent  de longues distances en hiver ou/et en  été dans l'espoir de rencontrer les pratiquants, mais l’entrée leur fut refusée par les gardiens de Wanjia. Quelques familles persuadèrent  les gardiens d'accepter et de transmettre quelques articles aux pratiquants de Dafa, mais ces articles allèrent rarement aux pratiquants, comme les gardiens et les criminels les consommèrent  à leur place. Une fois un pratiquant souleva une question au vice-président  du camp de travail Wanjia: "Vous continuez à dire que vous êtes un institut pour l’application de la  loi;  alors dites-moi lesquelles de vos actions respectent la loi?" Le vice-président  n'eut  rien à dire.

Le camp de travail de Wanjia força  les pratiquants à travailler de longues heures prolongées à faire de lourds travaux . Nous avons été  poussés à travailler pendant 16-17 heures par jour, et même ceux qui avaient des plaies sur les mains devaient  accomplir la même charge de travail. Une telle situation  a endommagé notre santé, et probablement causé des dommages à celle des  consommateurs. Les pantoufles faites à Wanjia sont exportées vers le Japon. Les chandails de bébé et les couvertures de roue de conduite sont également faits là. Au deuxième centre de détention de Harbin, des cure-dents furent faits sous travail forcé  pour l'exportation vers la Corée du Sud. Les cure-dents étaientt répandus sur le plancher et on marchait dessus. Même les criminels avec des maladies vénériennes ont été forcés de finir la même quantité de travail, et ceux qui allèrent  à la toilette n'avaient pas  la permission  de se laver les mains. Regardant ces cure-dents, nous étions vraiment préoccupés par la santé des consommateurs de la  Corée du Sud.

(à suivre)