Confronté à la rétribution karmique pour avoir persécuté le Falun Gong, un policier s’éveille, demande pardon et démissionne du Parti

(Minghui.org)

Le policier Zhang travaille dans un service de la police de la province de Shandong. Après le début de la persécution du Falun Gong en juillet 1999, il a souvent reçu l’ordre de participer à la persécution des pratiquants.

Au printemps 2000, il a participé au pillage d’une maison et a arrêté un pratiquant local. Il a également aidé à confisquer des livres de Dafa et du matériel de clarification de la vérité. Peu de temps après il a développé une migraine. Au début il a cru qu’il avait juste pris froid et qu’il serait guéri en prenant des médicaments. Cependant la migraine a persisté et a même empirée. Il est allé dans un hôpital pour des analyses, mais le médecin n’a rien trouvé. Alors qu’il souffrait de migraine, Mme Zhang, une de ses voisines est venue chez lui pour lui clarifier la vérité. Mme Zhang lui a dit que c’était une rétribution karmique pour avoir persécuté les pratiquants.

Il a été véritablement terrifié: “Y-a-t-il un espoir pour moi?” Mme Zhang l’a encouragé à démissionner du PCC, ce qu’il a fait immédiatement. Plus tard il a aussi fait une déclaration annulant ce qu’il avait fait auparavant pour persécuter les pratiquants. Quelques jours plus tard sa migraine a complètement disparue.

Il a été vraiment surpris par ce qui lui est arrivé et il a réellement senti les pouvoirs de Dafa. Quand le pratiquant qu’il avait aidé à envoyer dans un camp de travail a été libéré il s'est immédiatement rendu chez lui pour lui demander pardon. Depuis il fait tout son possible pour protéger les pratiquants.

La police connaît déjà la vérité

Le week-end dernier une de mes camarades de classe m’a raconté l'expérience suivante :

Elle est allée dans un restaurant de barbecue et a trouvé du matériel de clarification sur la table. Elle a démissionné du PCC en suivant les instructions qui se trouvaient sur la brochure. Avant de partir elle a discuté avec le propriétaire un court instant. Elle a dit : " Ce document est vraiment bon. Assurez sa sécurité." A sa grande surprise le propriétaire lui a dit : "Un policier l'a laissé là ". La police connaissait déjà la vérité !

Traduit de l’anglais le 11 aout 2008