(Minghui.org)
J’ai 84 ans. Je pratique le Falun Dafa depuis plus de 10 ans et il m’est arrivé beaucoup de miracles durant ce temps.
Plusieurs mois après avoir obtenu la Loi, je suis allée visiter ma fille. Le tonnerre grondait et les éclairs remplissaient le ciel. Ils semblaient me suivre pendant tout le chemin. Sur le chemin, une connaissance m’a vue et m’a dit : « Madame, vous avez choisi de visiter votre fille alors que le temps est si mauvais, vous n’avez pas peur de vous faire tremper ? La pluie arrive ! » Je lui ai dit avec un sourire : « Il ne va pas se mettre à pleuvoir tout de suite, la pluie commencera après que je vais être arrivée chez ma fille. » C’est ce qui est arrivé. Dès que je suis entrée chez ma fille, il s’est mis à pleuvoir. Rien n’arrive par accident. J’ai dit dans mon cœur : « Merci, Maître ! »
Durant la première année de ma cultivation, j’ai subi un test de maladie. Une nuit, j’ai soudain senti que j’avais de la fièvre, mon cœur était comme en feu et j’avais chaud au visage. Mais je n’avais pas peur, je savais que Maître éliminait mon karma. J’ai réussi dans le noir à trouver mon chemin pour aller à l’extérieur [note du traducteur : dans les zones rurales, l’électricité n’est pas facilement accessible ou bon marché], j’ai tiré un peu d’eau froide du conteneur d’eau et je l’ai bu. Je me suis immédiatement sentie beaucoup mieux. Le deuxième jour mon urine était noire et rouge. Je n’avais pas d’appétit non plus. Mais je ne l’ai pas traité comme une maladie. Un compagnon de pratique m’a demandé si j’étais capable d’aller au site de pratique. J’ai dit sans hésitation : « Certainement ! » Lorsque je suis arrivée au site de pratique, je me sentais parfaitement bien. Mais après les exercices lorsque j’étais de retour à la maison, je me suis sentie malade de nouveau. Trois jours plus tard, les symptômes avaient disparu et je me sentais bien.
Lorsque la persécution du Falun Gong a débuté en juillet 1999, ma fille allait partir à Beijing pour valider la Loi et elle est venue m’emprunter de l’argent. Je lui ai donné 50 yuans. J’étais incapable de voyager jusqu’à Beijing à cause de mon âge mais c’était le moins que je puisse faire pour valider la Loi. J’ai dit à ma fille de ne pas me rendre l’argent. J’ai vu avec mon œil céleste que Maître était devant moi. Une autre fois, chez le plus âgé de mes fils, j’ai revu Maître après avoir fait les exercices. J’étais très heureuse.
Parfois, je me lève à 3h du matin pour aller distribuer des dépliants de clarification de la vérité. J’ai aidé les gens de ma famille à démissionner du parti communiste chinois et de ses organisations affiliées. Je parle avec les gens que je rencontre de la bonté du Falun Gong et je leur dis la vérité sur la persécution. Je les considère comme des gens prédestinés. J’étudie la Loi et je fais les exercices tous les jours. Parfois, je me lève à 1h ou 2h du matin pour faire les trois choses. Même lorsque je me lève très tôt, je ne me sens jamais fatiguée, ni somnolente durant la journée. Une connaissance m’a vue et m’a dit : « M’dam, vous pratiquez le Falun Gong et maintenant vous n’avez pas l’air de quelqu’un de plus de 80 ans. Votre teint a l’air tellement en santé »
Je vis d’une manière très simple et j’essaye d’économiser chaque centime que je peux pour fabriquer des dépliants et VCDs pour clarifier la vérité.
Mes compagnons de pratique, suivons la Loi de Maître, faisons bien les trois choses, sauvons plus d’êtres et devenons des pratiquants qualifiés durant la période de la rectification de la Loi.
Je n’ai pas beaucoup d’instruction et j’ai demandé à un autre pratiquant de transcrire mes pensées. S’il vous plaît, indiquez-moi s’il y a quelque chose d’inapproprié.
Traduit de l’anglais le 23 juin 2009 en France
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