(Minghui.org)
Emprisonné, j’ai clarifié la vérité et j’ai aidé les autres à démissionner du PCC
J'ai perdu mon travail quand la compagnie, pour laquelle je travaillais, a fait faillite, je suis allé dans une agence d'emploi pour trouver un autre travail. Un matin, je suis arrivé tard, ainsi j'ai manqué les personnes qui engagent les ouvriers. Alors, j’ai pris un sac de documents de clarification de la vérité et je suis allé à la campagne. Comme je n'étais pas du tout familier avec l’entourage, la police m'a avisé quand j'ai eu fini de distribuer la moitié des documents. On m'a arrêté et conduit au commissariat de police. J’avais cette pensée claire à l’esprit : en tant que pratiquant de Dafa, je suis venu ici pour sauver les êtres vivants, peu importe les circonstances. Pendant que le policier qui procédait à mon arrestation, a fait un appel téléphonique, j'ai saisi l'occasion d'expliquer les faits sur le Falun Gong à d'autres policiers. La plupart d'entre eux ont seulement souri et sont restés silencieux.
En une demi-heure, j'ai été conduit au centre de détention du canton. La plupart des détenus là étaient des jeunes. J'ai passé une nuit sans sommeil avec eux. Toute la nuit, j’ai regardé en moi pour trouver mes lacunes. J'étais déterminé à garder secret l’identité des pratiquants qui avaient eu des contacts avec moi et j'ai pensé à la façon de sauver les êtres vivants dans ma cellule.
Le lendemain matin, les fonctionnaires du bureau 610 local m'ont interrogé. Ils m'ont menacé et ils ont dit : « Si vous ne dites pas la vérité, nous vous enverrons dans un camp de travail. » J'étais très calme et j’ai clarifié la vérité sur le Falun Gong et la persécution. J'ai également parlé du principe que « le bon est récompensé avec le bon et le mal est récompensé avec le mal. » Ils m’ont demandé où j'avais vécu, mais je ne leur ai pas répondu. Comme ils n’ont pas obtenu les réponses qu'ils voulaient, ils ont fini par me retourner à la cellule.
Le même jour, un pratiquant a été conduit dans la cellule où j'étais détenu. Au premier regard, nous nous sentions comme de vieux amis. Nous nous sommes encouragés à faire les trois choses, demandées par le Maître et Dafa, malgré le fait que nous soyions en prison. Quand nous avons pensé au Maître, nous avons senti que nous étions renforcés par une énergie énormément immense. En même temps, nous avons établi une plus grande confiance l'un dans l'autre et nous avons laissé tomber beaucoup de peur. Nous avons coopéré ensemble tout en clarifiant la vérité aux détenus. Tandis que l'un de nous parlait, l'autre émettait des pensées droites. Nous avons également pratiqué les exercices dans la cellule. Une semaine plus tard, le garde de la prison nous a séparés et placés dans deux différentes cellules.
Les fonctionnaires du bureau 610 de la localité se préparaient à m'envoyer dans un camp de travaux forcés. Plusieurs jours plus tard, le docteur de la prison a dit que je serais envoyé à l'hôpital pour un examen physique. Pendant que je sortais de la cellule, j'ai crié fort : « Falun Dafa est bon ! Zhen-Shan-Ren (Authenticité-Bienveillance-Tolérance) est bon. » J'ai crié comme cela sur le chemin vers l'hôpital. J'ai également crié sur mon chemin de nouveau au centre de détention. Un garde de prison m'a parlé sur le chemin. J'ai dit : « Laissez-moi vous aider à démissionner le PCC en employant un surnom. » Il ne s’est pas objecté à cette offre. Les jours suivants, ils m'ont fréquemment demandé de signer un document ou de mettre mes empreintes digitales sur une déclaration de garantie. Je n'ai jamais coopéré avec eux, mais j’ai utilisé ces rencontres comme des occasions pour les persuader à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées.
Après avoir été détenu là pendant plus de 60 jours, j'ai été envoyé à l'hôpital des forces policières armées de l’Hôpital, où j'ai subi un examen physique. Ils m'ont conduit au camp de travail dès que les résultats sont revenus. Les fonctionnaires dans le camp de travail ont réexaminé les résultats et ont déclaré : « Hépatite, hypertension--nous ne pouvons pas l’accepter. » Le gardien de prison n'a eu d’autre choix que d’informer ma famille de venir me chercher.
Pendant les deux mois où j'ai été détenu dans le centre de détention, j'ai, avec succès, persuadé 22 personnes de démissionner le PCC et ses organisations affiliées (douze personnes ont démissionné le PCC, deux ont démissionné de la Ligue de la jeunesse et huit ont démissionné de la Ligue des jeunes pionniers). Mon expérience a justement validé la poésie du Maître :
« Si les pensées sont droites,
la perversité s'effondra. »
(« Avoir peur de quoi ? » de Hong Yin II) (traduction non-officielle)
Traduit de l’anglais au Canada le 1 septembre 2009
Glossaire: www.vraiesagesse.net/glossaire/glossaire.htm
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