En assistant le Maître dans la rectification par la Loi, je suis devenu de plus en plus jeune

De la septième conférence de partage d'expériences par Internet pour les pratiquants de Chine

(Minghui.org)

Bonjour Maître ! Bonjour mes compagnons de pratique !

Je suis aujourd'hui âgée de 70 ans. J'ai obtenu la Loi en 1994. Lorsque j'étais âgée d'une cinquantaine d'années, je souffrais de nombreuses maladies et il m'était difficile de faire le moindre pas. Aujourd'hui dans les soixante dix ans, je peux parcourir plus de 30 kilomètres dans des régions montagneuses pour y clarifier la vérité et sauver les êtres. J'ai connu bien des hauts et des bas au cours des dix dernières années de cultivation. Je ressens que le Maître s'occupe de tout. Étudier la loi est important, émettre la pensée droite est important et sauver les êtres est également très important. Dafa est une chose hors du commun. Le Maître ne regarde que notre cœur.

C'est la première fois que je soumets un article à une Conférence de partage d'expériences sur Internet pour les pratiquants de Chine. J'ai raconté et un autre pratiquant m'a aidé à tout rédiger. J'apprécierais que les compagnons de pratique signalent tout ce qui serait inopportun.

Dafa m'a sauvée d'une vie amère

« Naître au sein de la souffrance,

Lutter désespérément pour survivre ;

Dafa une fois obtenu,

N’arrêtez pas vos pas sur le chemin du retour. »

(Maître Li Hongzhi, En lisant « Au vent violent on voit la résistance de l’herbe »)

Je récite souvent ce poème avec des larmes dans les yeux. Je sais que je dois cultiver avec diligence et rentrer avec le Maître.

Avant d'obtenir la Loi, devenue veuve alors que j'étais très jeune, je me suis battue pour élever mes quatre enfants. Surchargée de travail, j'ai commencé à souffrir de nombreux problèmes de santé. La nuit, je devais prendre des somnifères pour arriver à dormir un peu. La journée, je travaillais du matin au soir en dépit de ma mauvaise santé.

Le 15 mars 1994 sera le jour le plus mémorable de toute mon existence. Ce jour-là, j'ai assisté à une conférence de partage d'expériences de Falun Dafa dans une usine. Alors que j'écoutais, je me suis sentie rafraîchie et de plus en plus à l'aise. Plus tard, je me suis avancée vers le devant afin de ne manquer aucune parole. J'ai laissé tomber mon porte-feuille sans m'en rendre compte. Après que la conférence se soit terminée, je me suis rendu compte que j'avais perdu mon porte-feuille. En le cherchant, j'ai été étonnée de voir que mon porte-feuille avait été placé sur le siège où je m'étais assise au début. En écoutant les enregistrements des conférences du Maître, j'ai décidé que je voulais pratiquer Dafa.

Depuis, chaque jour, à 4 h du matin, j'entends quelqu'un m'appeler : « Grand-mère Li ! Grand-mère Li ! » pour me réveiller pour pratiquer les exercices. Le soir, alors que je me trouvais avec mon petit-fils, j'ai vu un Falun tourner dans la pièce. Toutes mes maladies ont été miraculeusement guéries et je n'ai plus jamais été fatiguée de travailler.

Réussir à passer le premier test sur la famille

Plus tard, le 20 juillet 1999, le régime de Jiang a commencé à persécuter Dafa. Mais j'ai continué à sortir pratiquer les exercices en face d'une banque. Des agents de police m'ont illégalement arrêtée. Mon fils aîné est venu au centre de détention et a voulu corrompre les agents afin qu'ils me libèrent. Comme de nombreux Chinois, il avait écouté les mensonges diffusés par tous les médias et il m'a demandé d'écrire une déclaration de garantie selon laquelle j'abandonnais la pratique de Dafa. J'ai refusé d'écrire quoi que ce soit et il m'a alors giflé le visage. J'ai été transférée en prison. J'ai pensé que ce n'était pas l'endroit où je devais me trouver. Une prison est un endroit pour des criminels, pas pour les pratiquants de Dafa. Plus tard, ma plus jeune fille est venue et m'a ramenée à la maison.

Après être rentrée à la maison, mon fils, ma fille, mon beau-fils et ma belle-fille ont tous voulu me « transformer, » mais je savais que cela était un test sur l'émotion et personne ne devait pouvoir m'émouvoir. J'ai répliqué : « Toute ma vie a été tellement dure et j'ai ensuite obtenu la Loi. Je veux simplement être une bonne personne et me cultiver. J'ai travaillé si dur pour vous élever et j'ai souffert de tant de maladies à cause de cela. Le Maître a éliminé mon karma et guéri mes maladies. Je n'ai rien fait de mal. » Comme ils n'arrivaient pas à me convaincre, ils ont laissé tomber.

À cette époque, le régime communiste diffamait toujours Dafa dans les journaux télévisés. Je ne pouvais pas me taire   je savais que je devais défendre le Maître et Dafa, j'ai donc écrit des banderoles de clarification de la vérité : « Falun Dafa est bon ! » « Authenticité-Bienveillance-Patience est bon ! » « Falun Dafa est vertueux » et « Rétablissez l'honneur de mon Maître ! » Le soir, je suis sortie accrocher les banderoles. J'ai aussi acheté du tissu doré sur lequel j'ai écrit des messages de clarification de la vérité avec de la peinture rouge et je l'ai ensuite attaché à l'extérieur. Plus tard, j'ai utilisé de la craie ou de la peinture en bombe pour écrire des messages sur les murs. Mon petit-fils de cinq ans sortait chaque soir avec moi pour écrire ces messages.

Mon petit-fils a dit à mon fils aîné : « Falun Dafa est bon. » Mon fils est alors venu à la maison, m'a attrapée par les cheveux et m'a frappé. Je me suis alors éveillée. La raison pour laquelle je ne m'étais pas rendue à Beijing faire appel pour Dafa venait d'un attachement à l'affection, en pensant à protéger mes enfants. Mais ces derniers avaient été trompés par les mensonges du régime et osaient même me battre, moi leur mère. Je me suis donc décidée à me rendre à Beijing pour y valider la Loi. Je ne pouvais pas laisser la perversité causer du tort aux gens.

Faire appel pour Dafa à Beijing et rentrer chez moi sans encombre

J'ai enfilé mes plus beaux vêtements, j’ai emmené deux banderoles que j'avais fabriquées moi-même sur lesquelles il était écrit : « Falun Dafa est bon ! » et « Rétablissez l'honneur de mon Maître ! » et j’ai tranquillement quitté la maison. À cette époque, des agents de police de la région patrouillaient dans les gares ferroviaire et routière et toutes les grandes intersections du trafic afin d'empêcher les pratiquants de se rendre à Beijing. J'ai pensé : «Je dois me rendre à Beijing, même si je dois marcher jusque là ! » J'ai donc parcouru près de quatre kilomètres à pied et j’ai pris un bus pour la province du Henan. À la gare du Henan, j'ai acheté un billet pour Beijing.

Le lendemain matin, je suis descendue du train. Il y avait tellement de gens et de voitures à Beijing. Je n'avais aucune idée où se trouvait la Place Tiananmen, mais avec le Maître pour guide, j'ai suivi le flot des gens et y suis arrivée sans encombre. Debout sur le Pont Jinshui, j'ai joint les mains en Heshi (signe de salut) et ai dit : « Maître, je suis venue si tard ! » Des larmes ont coulé le long de mes joues.

J'ai acheté un billet et me suis rendue sur la Place Tiananmen. Dans le premier grand hall, j'étais un peu nerveuse. Mais je me suis ensuite souvenue que le Maître me protégeait et j'ai sorti la banderole et l'ai ouverte en criant : « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Patience est bon ! Rétablissez l'honneur de mon Maître ! Falun Dafa est vertueux ! » Après que j'aie fini, j'ai rapidement placé la banderole sur le parterre de fleurs et suis sortie par la porte arrière. Lorsque je suis arrivée dans le deuxième grand hall, je me suis calmée et ai ouvert la deuxième bannière. J'ai traversé le troisième hall. Je voulais monter sur l'estrade pour crier « Falun Dafa est bon ! »

Pour monter sur l'estrade, je devais acheter un billet à 15 yuans. Je ne voulais pas acheter un billet et voulais y arriver en me cachant parmi les visiteurs. Cette pensée a créé une faille. Un agent de police m'a attrapée et m'a demandé d'insulter le Maître ou le Falun Gong, mais j'ai refusé. Ils m'ont emmenée au commissariat et m'ont battue. Je n'ai pas coopéré avec eux et j'ai récité la Loi dans mon cœur. Plus tard, des policiers m'ont fouillée et ont demandé à connaître mon nom. Je n'ai rien répondu mais j’ai tranquillement récité Hong Yin. Finalement, les policiers m'ont battue et m'ont ensuite laissée partir par la porte arrière.

Avec des pensées droites et des actions droites, la pouvoir divin s'est manifesté

J'ai investi mes allocations de retraite pour acheter de la peinture en bombe et de la craie pour écrire des messages de clarification de la vérité. Un jour, j'ai emmené des cannes à pêche, des banderoles et de la peinture en bombe, j'ai parcouru plus de 3 kilomètres vers la périphérie et ai accroché les banderoles aux fils électriques le long de la route. Les policiers me cherchaient avec des lampes de poche. J'ai rapidement jeté les cannes à pêche et me suis cachée dans les buissons. J'ai demandé au Maître de me protéger afin qu'ils ne me trouvent pas. Bien que les lampes de poche aient éclairé mon visage plusieurs fois, ils ne m'ont pas vue.

Après que les policiers soient partis, je suis sortie et ai continué à poster des messages de clarification de la vérité sur le chemin du retour. J'ai également accroché une bannière portant des caractères rouges : « Falun Dafa est bon ! » sur les fils électriques à l'extérieur d'une école. J'ai remarqué une voiture de police près de moi, j'ai alors émis les pensées droites et ai récité : « Qu’y a-t-il à craindre. » J'ai demandé au Maître de me renforcer. J'ai terminé ce que j'étais venue faire et suis rentrée à la maison sans encombre.

Le long de cette route, les messages de vérité brillaient dans le soleil.

Traverser les montagnes pour sauver les gens

Je prends souvent le bus pour me rendre à la campagne avec d'autres pratiquants et nous marchons jusqu'aux villages reculés pour y distribuer des copies des Neuf Commentaires sur le parti communiste et des brochures de clarification. Nous clarifions les faits aux habitants et essayons de les encourager à démissionner du parti communiste. Nous affichons des messages de clarification de la vérité et accrochons des banderoles sur les pierres, les poteaux télégraphiques et les conduites le long des routes. Plusieurs années ont passé et certains de ces messages sont toujours là. Les visiteurs les prennent en photo. Parfois, si je repère un rocher plat au sommet d'une colline, je grimpe jusque-là en m'accrochant aux branches des arbres et des buissons et y peint à la bombe des messages de clarification de la vérité qui peuvent être vus de loin. Parfois en redescendant, je tombais et je roulais jusqu'en bas. Un jour, comme la nuit tombait, j'ai vu un poteau télégraphique le long de la route, où je voulais accrocher une banderole. Quelqu'un est soudain apparu et je me suis couchée dans le fossé le long de la route et suis restée sans bouger. Mes pieds ont glissé dans l'eau du fossé. Après que cette personne soit partie, je me suis levée et j’ai accroché la banderole.

Lorsque je marche, je dis à toutes les fleurs et tous les arbres : « falun Dafa est bon ! » Nous sommes rarement pourchassés par des chiens. Un jour, alors que nous nous étions perdus en distribuant des dépliants de clarification de la vérité la nuit, un chien nous a guidés.

Quelques habitants ont compris la vérité et accepté de démissionner du régime communiste. Certains nous ont dit qu'ils n'étaient pas inscrits au Parti communiste ni aucune de ses organisations affiliées. Malheureusement, certains ont été empoisonnés par les diffamations du parti, n'ont pas voulu nous écouter, ont lancé leurs chiens sur nous et ont même menacé de nous dénoncer à la police. Un jour, juste après que nous ayons pris un chemin de traverse pour gravir la montagne, une voiture de police est passée sur la route principale avec sa sirène. Mais rien ne peut nous arrêter de sauver les êtres.

Entretenir des pensées humaines ou divines fait toute la différence

Je me lève à 3 h 30 tous les matins pour pratiquer les exercices. Après avoir émis la pensée droite de 6 h, je commence à étudier la loi. J'étudie au moins deux leçons de Zhuan Falun chaque jour.

À un moment, nous avons été dénoncés par des policiers alors que nous affichions des messages de clarification de la vérité à la campagne. Une personne a pris un véhicule agricole pour nous poursuivre. J'étais très nerveuse et ai été touchée par le véhicule. Un côté de mon visage a été blessé et j'ai beaucoup saigné. J'ai compris que j'avais encore des peurs et que mes pensées droites n'étaient pas assez fortes. Après que j'aie trouvé mes attachements, mon visage a très rapidement arrêté de saigner. Une autre fois, alors que je me concentrais pour écrire des messages de clarification de la vérité le long de la route, je n'ai pas remarqué qu'il y avait un fossé profond à côté de là où je marchais et je suis tombée dedans. Je suis restée au lit pendant deux jours. J'ai écouté la Loi et j’ai émis la pensée droite et je me suis rapidement rétablie.

Un jour, après avoir écrit des messages de clarification de la vérité sur le mur d'un vieux commissariat, je suis tombée. Sur le chemin du retour, j'ai continué d'émettre la pensée droite. Le lendemain, ma cuisse a gonflé et est devenue bleu et noir. C'était si gonflé que j'avais du mal à enfiler des pantalons. Ma fille et mon beau-fils étaient inquiets pour moi et m'ont demandé d'aller à l'hôpital. Je leur ai répondu que je n'avais pas besoin de soins médicaux et que ma jambe se rétablirait rapidement.. mon beau-fils a commenté : « Falun Gong est vraiment magique. » Deux jours plus tard, le gonflement avait disparu. Il ne m'est jamais venu à l'esprit que j'avais pu me casser un os. J'ai seulement pensé : « Je suis ici pour valider la Loi ! »

Lorsque j'étais jeune, je souffrais de nombreux problèmes de santé. Mais j'ai ensuite obtenu la Loi et grâce à cela, avec le temps, ma santé s'est améliorée. Je ne pense qu'à sauver les êtres. J'ai connu beaucoup de joie et de bonheur, malgré toutes les difficultés. En assistant le Maître dans la rectification par la loi, j'ai rajeuni et suis devenue plus heureuse !

Merci, Maître !

Traduit de l'anglais en Belgique