(Minghui.org)

Par Qun Hui, pratiquant de Falun Dafa à Wuhan

Notre groupe d’étude de la Loi formé en 2005, était, à l'époque, constitué de huit ou neuf personnes ayant principalement entre 50 et 60 ans et se rencontrait deux demi-journées chaque semaine. Sans se préoccuper des hurlements du vent ou des averses, de l'impitoyable violence ou de la cruauté, nous n’avons pas cessé d’étudier la Loi. En étudiant, nous avons tous pu atteindre l’état de cœurs concentrés et de volontés solides. Si l’un de nous sort de l’état de l’étude véritable, les autres ne le laisseront pas étudier simplement pour la forme, si quelqu’un manque un mot ou ajoute quelque chose, les autres le ou la corrigent immédiatement, et nous recommençons. Dés que les nouveaux articles du Maître sont publiés, nous les lisons, et parlons de leur signification profonde. Dés que nous avons fini d’étudier, nous passons toujours un peu de temps pour partager et comparer les compréhensions. Nous parlons des attachements que nous avons découvert en nous, ou de comment nous sommes embourbés dans les tribulations et de là où nous n'avons pas bien fait et permis aux démons de prendre avantage de nos failles. Lors de conflits avec les autres, chacun cherche en soi-même quelles sont ses omissions afin d’éliminer les failles entres pratiquants. Nous ne parlons absolument pas de choses qui ne sont pas en relation avec la ‘cultivation’. D’une façon générale, en faisant les choses des disciples de Dafa, clarifier les faits, émettre des pensées droites, et sauver les êtres sensibles, nos compagnons de pratique ont bien fait de façon diligente. Ceci manifeste l’harmonie de notre petit groupe d’étude de la Loi.


A partir de chaque pensée, retourner à ce qui est droit.

Il y a dans notre groupe d’étude un pratiquant A, qui pendant une période de temps avait un sentiment très fort de peur. Chaque jour, il se sentait en insécurité. Au moindre mouvement à l’extérieur, au moindre coup frappé à la porte, immédiatement, A pensait que c’était la police, ou le personnel de la sécurité venant le chercher, et il était terriblement effrayé. Un jour, après être rentré chez lui et avoir monté les escaliers, un voisin du rez de chaussée lui a annoncé que trois personnes qui le cherchaient avaient frappé à sa porte. Sa peur a surgi à nouveau, inquiet qu'un groupe de policiers dans la rue soit à sa recherche . Qu'ils aient passé aux rayons X des lettres qu’il avait envoyées et découvert les membres de sa famille ? Il était si effrayé qu’il n’osait pas rentrer chez lui et s'est caché en bas des escaliers pour surveiller. Finalement, il s’est avéré qu’il n’y avait rien. Lorsqu'il a raconté ce qui s’était passé, les compagnons de pratique lui ont dit que les problèmes venaient de son attachement au soupçon et à la peur. S’il n’était pas effrayé, et était monté les escaliers avec un cœur courageux, digne et droit, puisque les pratiquants de Dafa ont la Loi et Maître, de quoi aurait-il pu avoir peur ? Même s’ils venaient, n’était-ce pas une chance de leur clarifier les faits ? Face à ses pensées droites sont très fortes, le mal deviendra important et misérable. Grâce aux partages, son attachement à la peur a diminué et il est sorti pour clarifier les faits face à face. Un jour, dans la rue, Il y avait beaucoup de monde et quelqu’un lui dit de suivre une autre religion Il a répliqué, à voix haute: « Vous devez vous souvenir que Falun Dafa est bon. » A ce moment, il n’y avait pas une once de peur dans son cœur.
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Un autre pratiquant, B, avait soixante dix ans Parce qu’il n’avait pas abandonné ses attachements, cette faille a été exploitée et une de ses jambes est devenue extrêmement douloureuse. Il a parlé au groupe de son état où il était interféré par des tribulations, et les pratiquants l’ont aidé à améliorer son xinxing. Il a pratiqué les exercices pendant deux heures chaque jour durant la tribulation, et n’a pas arrêté un seul jour ni abandonné à mi-parcours, quelle que fût la douleur. Dans son cœur, il y avait seulement une pensée : « Je suis un pratiquant de Dafa, je crois solidement en Maître et dans la Loi. » Avec de telles pensées droites, il a rapidement dépassé cet obstacle.


Clarifier les faits, sauver les êtres sensibles

Maître a enseigné :

« Bien étudier la Loi et bien faire le travail de clarification des faits, sauver les êtres est de première importance. » (« A la conférence de Loi du Midwest des Etats-Unis »)

Nous devons suivre diligemment le conseil du Maître. Peu importe si certains pratiquants dissolvent le karma, ont mal aux pieds, des jambes douloureuses, ou expérimentent d’autres situations, peu importe combien c’est difficile, ils avanceront résolument et parleront aux gens du Falun Gong et de la persécution. Peu importe les circonstances, peu importe les épreuves, des groupes de deux ou trois sortent pour émettre des pensées droites, informer les gens, coopèrent, organisent des choses, et se soutiennent calmement les uns les autres.

Notre groupe a un pratiquant C, qui a obtenu la Loi un peu plus tard que les autres, mais s’en tenait à des standards élevés. Il étudiait et mémorisait la Loi et mettait beaucoup d’efforts pour faire les trois choses que les disciples de Dafa doivent faire. Il est particulièrement extraordinaire dans la façon dont il clarifie les faits. Lorsqu’il explique les faits aux gens, il n’a pas le cœur de différencier les gens. Il n’a pas de peur, et dira les faits à chacun. Quelle que soit la personne qu’il croise, il lui dira les faits. Un jour, il a vu une voiture dont la glace n’était pas totalement fermée. Il y est allé et a parlé à travers la vitre. Voyant sa patience et son raisonnement, le conducteur a été d’accord pour quitter les trois organisations du Parti communiste. Il a fait cela comme la chose naturelle à faire.


Ramener-les-compagnons-de-pratique

Notre groupe a aussi une pratiquante d'une soixantaine d'années. Elle dit que le Maître compatissant ne souhaite laisser derrière aucun disciple de Dafa, et puisque nous sommes tous des pratiquants de la même école, nous ne devrions pas perdre un seul compagnon de pratique. Elle s'inquiète toujours au sujet des pratiquants qui ne sont pas sortis. Allant chez l'un aujourd'hui, chez l'autre demain infatigablement et patiemment. Je ne sais combien de voyages elle a fait et combien de conversations elle a eues. Certains pratiquants sont sortis, d’autres non. Encore et encore, elle leur a patiemment expliqué le merveilleux de Dafa, sa vaste diffusion et la grande compassion du Maître. Un pratiquante s’est éveillé et a déclaré : « Si j’avais su plus tôt que la situation de Dafa était si bonne, et le Maître si puissant, j’aurai cultivé plus fermement. " J’ai été moi-même profondément touché, et senti que ramener les compagnons de pratique est la responsabilité de chaque pratiquant.


Devenir un seul corps, s’améliorer comme un seul corps

Notre compréhension en cultivant dans Dafa est que la Grande Loi n’a pas de forme et que les disciples de Dafa constituent un corps uni. Ses affaires sont mes affaires, mes affaires sont ses affaires, et nous ne faisons pas de différence. Notre groupe d’étude de la Loi a cette compréhension, et accomplit les choses de cette façon. Peu importe que ce soit quelque chose dans notre groupe ou que cela implique d’autres pratiquants, dés que quelqu’un éprouve des difficultés ou se trouve au sein des tribulations, les pratiquants se mobilisent tous pour l'aider, étudier la Loi ensemble, émettre des pensées droites, améliorer le xinxing et traverser la tribulation. Dés que nous entendons qu’un pratiquant a été arrêté, ou illégalement enfermé et persécuté, peu importe qu’il soit de notre région ou pas, nous œuvrons tous ensemble pour émettre des pensées droites, nettoyer la perversité et sauver le pratiquant, peu importe les difficultés.

Les pratiquants D et E (qui ne sont plus dans notre groupe d’étude), forts de leur compréhension que Maître ne veut pas laisser un seul pratiquant derrière, ont passé quatre heures à aider une compagne de pratique illettrée à étudier la Loi et pratiquer les exercices. Cette pratiquante a cessé de cultiver pendant six ou sept ans, mais a recommencé de façon énergique et saine. Dans le passé, sa famille s’opposait à ce qu’elle apprenne la pratique, mais grâce aux efforts de ces deux pratiquants en expliquant les faits, l’environnement de ‘cultivation’ de son foyer s’est amélioré. Son fils et sa fille se sont mis à la soutenir pour apprendre la pratique, et ont même déclaré avec gratitude : « Sans le Falun Dafa de Maître Li, notre mère n’aurait pas vécu jusqu’à ce jour. » Sa relation avec son époux est aussi devenue meilleure, et son cœur bienveillant a émergé.

Traduit de l’anglais en France