(Minghui.org)


Deux pratiquants ont été appréhendés par la police il y a un peu plus d'un mois de cela. Cela s'est présenté lorsqu'ils étaient en train de distribuer des dépliants et de clarifier la vérité sur Falun Gong sur la place du marché. Les policiers, avec la collaboration des gens du poste de police local et le Bureau de la sécurité d'État de la commune, ont été envoyés les pratiquants dans un centre de détention.


Les familles des pratiquants sont tout de suite sorties pour aller demander que soit libéré les pratiquants. D'autres pratiquants ont également exprimé leurs soucis, mais comme ils n'ont pas fonctionné comme un seul corps, nous n'avons rien fait d'autre que de mettre un article sur l'internet concernant l'arrestation. Quinze jours plus tard, un pratiquant a écrit un article pour expliquer plus en détail cette matière. Ce n'est qu'au moment que nous étions prêts à mettre des affiches, avec des éléments expliquant les faits, que notre coordinateur général a été mis au courant de nos efforts de secours. Ce n'est qu'à ce moment-là que nous avons été informés qu'il valait mieux ne rien afficher parce que quelqu'un avait entendu dire que la police allait relâcher les deux pratiquants le lendemain. Nous avions oublié que la police ne tient jamais ses promesses. Nous n'avons pas réfléchi selon la perspective de la Loi, donc nous avons été déçus et nous avons subi de l'interférence. Quand plus tard nous avons appris que le PCC n'avait pas relâché les deux pratiquants, on nous a dit de mettre les affiches. Quand les affiches ont été exposées, nous avons eu des réactions des gens ordinaires du genre que «L'affiche ne communique pas clairement qui a été arrêté de façon illégale.» Comme nous n'avions pas bien exposé le mal, notre effort n'a pas connu de succès.


Le coordinateur nous a dit plus tard qu'il nous fallait émettre des pensées droite près du centre de détention. Pourtant, le température de cette soirée a empêché la plupart des pratiquants d'apparaître le lendemain matin. Nous avons alors appris par l'intermédiaire des membres des famille des pratiquants, qu'ils allaient être transférés dans un camp de travail forcé et que les familles auraient la permission de voir les pratiquants dans trois jours. Notre première pensée a été de nier complètement cette nouvelle. Plus tard, nous avons organisé des pensées droites en groupe avec les pratiquants locaux une deuxième fois. Cette fois-ci, certains pratiquants n'ont pas reçu le message. Le reste de nous avons émis des pensées droites. Les personnes détenues n'ont pas été relâchées et nous n'avons pas reçu d'autres nouvelles.


Cette situation nous a forcés à nous examiner. Au début, quoique nous avions mis des affiches et que nous avions émis la pensée droite, il y avait un manque de coordination. Nous n'y avions pas mis notre cœur, et en effet, les résultats n'étaient pas bons. De nombreux pratiquants ont ainsi commencé à regarder à l'intérieur et ils se sont rendus compte qu'ils n'avaient pas bien écouté le Maître. Nous n'avons pas traité les intérêts des autres pratiquants comme nos intérêts. Quand nous avons appris la nouvelle de l'arrestation, certains pratiquants ont d'abord cherché les lacunes chez les pratiquants qui ont été arrêtés, en se demandant: «Quels étaient les attachements qu'ils n'ont pas relâchés?» Ils n'ont pas pensé selon la perspective de la Loi. Une pratiquante, parmi les deux détenus, était très diligente dans sa cultivation. Chaque jour, elle clarifiait la vérité aux gens de personne à personne et elle distribuait des documents au marché et dans les rues, partout où les gens se rencontraient. Elle avait même clarifié la vérité aux policiers et au personnel des services judiciaires. Elle avait été arrêtée en faisant, avec un autre pratiquant, du travail de Dafa en face d'un bâtiment du gouvernement. D'abord, l'autre pratiquant avait été arrêté, donc elle est entrée dans le bâtiment trois fois pour demander qu'on libère immédiatement l'autre pratiquant. Elle l'a fait d'une façon très correcte et appropriée. C'est d'elle que nous avions appris ce que signifiait l'abandon de son soi et ce que signifie penser uniquement aux autres. Les actions de cette pratiquante nous ont éveillés. Nous avons décidé de tout abandonner et de sauver les pratiquants.


Les pratiquants des villes et des bourgs voisins nous ont rejoints dans notre effort de sauvetage. Nous avons étudié la Loi ensemble et nous avons partagé nos compréhensions.


Le Maître nous enseigne:


«Comme vous le savez, beaucoup de disciples de Dafa ont initié certains projets contre la persécution, des projets pour clarifier la vérité, des projets pour sauver les gens, l’essentiel c’est que vous devez bien coopérer, c’est seulement en coopérant bien entre vous que les choses peuvent être bien faites.» ('Les disciples de Dafa doivent impérativement étudier Fa')


Nous avons compris que le processus du salut des autres pratiquants est aussi celui du processus de bien faire les trois choses que le Maître nous a apprises à faire, et que cela comprenait également un processus dans lequel nous pouvons nous cultiver. La situation à envisager était un grand test au corps entier de pratiquants de notre ville.


Au moment où nous avons réalisé et corrigé nos compréhensions, nous avons décidé de recommencer. Nous avons d'abord intensifié nos efforts pour divulguer le mal. Nous avons divulgué des informations personnelles et des liens sociaux des policiers et toutes les autres personnes, impliquées dans la persécution. Certains pratiquants sont sortis pour faire des recherches et pour recueillir des informations, et certains ont émis des pensées droites pendant de longues périodes afin de dissiper les éléments pervers et améliorer le champ d'énergie de nos pratiquants. Tout le monde a travaillé jour et nuit comme un corps uni. Quand nous avons terminé de recueillir des informations, nous avons appris que les deux pratiquants étaient retournés chez eux dans de manière convenable.


Quand j'ai appris cette nouvelle, j'ai eu les larmes aux yeux. J'ai vraiment expérimenté ce que signifiait «un seul corps» et quel résultat on pouvait obtenir en coopérant bien. J'ai levé les yeux et j'ai crié: «La cultivation dépend de soi-même, le Gong dépend du Maître! (Zhuan Falun). Merci au Maître!»


En effet, tout ce qui fait parti du processus de la rectification par la Loi se trouve sous le contrôle du Maître. Le Maître nous a pourvu de ce qui nous convient le mieux . Il nous faut uniquement élever notre xinxing en nous laissant guider par la Loi. Pourvu que que les niveaux de xinxing les élèves augmentent et que nous collaborions bien, la situation se changera d'office et tout se passera bien. J'ai décidé de solidifier ma croyance en Maître et en la Loi et je veux devenir de plus en plus tenace dans mon xiulian jusqu'au jour où finalement, je rencontrerai le Maître.


Ce sont quelques-unes de mes compréhensions que j'ai acquises à mon niveau actuel. Les pratiquants, veuillez indiquer tout chose qui vous semble inapproprié avec compassion.



Traduit de l'anglais en Belgique