De la huitième conférence de partage d’expériences par Internet pour les pratiquants de Chine

(Minghui.org)

Tout le monde autour de moi a entendu parler de ma guérison miraculeuse après que j'aie commencé à pratiquer le Falun Dafa. Bien que j'ai été arrêtée et persécutée plusieurs fois, forcée de divorcer, que j'ai perdu ma mère qui m'aimait tendrement, que j'ai perdu mon travail plaisant et bien rémunéré et que j'ai perdu quelques amies qui ne connaissaient pas les faits au sujet du Falun Gong et de la persécution, je n'ai jamais regretté le chemin que j'ai choisi. Je crois plutôt que ma décision de cultiver le Falun Dafa est le meilleur choix que j'ai fait dans ma vie.


    1. Dafa m'a redonné la vie quand je me mourais d'une maladie


J'ai appris Dafa en 1997. J'ai souffert de nombreuses maladies au cours des vingt années précédentes. Ma vie était très difficile. Le pire était mon problème de foie. Mon foie me faisait terriblement mal et m’empêchait de dormir. Je devais me serrer les poings pour m'endormir. J'avais également des résidus de la tuberculose qui me faisaient tousser pendant un mois ou deux fois par an. Le pire était les nodules rhumatoïdes. Je ne pouvais pas manger froid et devait me garder au chaud. Avec la douleur prolongée de mes maladies, mon caractère en souffrait et était devenu tordu. Les relations avec mon mari se sont exacerbées et j'avais terriblement honte. Je suis tombée dans le désespoir et je souhaitais mourir. Mais au début de 1997, j'ai eu la chance de connaître Dafa. J'ai été sauvée.


Après avoir appris Dafa, j'ai suivi les recommandations du Maître d'étudier assidûment, d'élever mon xinxing, et de pratiquer les exercices. Un mois plus tard, ma santé s'était améliorée d'une façon spectaculaire. Je suis revenue à mon poids normal et les couleurs sont revenues sur mon visage. J'étais agréable et les gens pensais que j'étais plus jeune et plus jolie. Les amis, les voisins et mes parents étaient tous émerveillés de mon progrès. Certains d'entre eux ont joint la pratique par la suite.


2. Abandonner les attachements; sans craindre la menace de la persécution


Ces bons moments n'ont pas duré longtemps. Avec le début de la persécution du Falun Dafa par Jiang Zemin le 20 juillet 1999, la pression de ma famille et de mon lieu de travail sont devenues insupportables. Mais mon esprit était clair. Je n'avais pas d'autre choix que de suivre le Maître jusqu'à la fin. J'ai trébuché en chemin et j'ai survécu. Bien que j'ai été arrêtée et persécutée plusieurs fois, forcée au divorce, que j'ai perdu ma mère qui m'aimait tendrement, que j'ai perdu mon travail plaisant et bien rémunéré et que j'ai perdu quelques amis qui ne connaissaient pas les faits au sujet du Falun Gong et de la persécution, je n'ai jamais regretté le chemin que j'ai choisi. Je crois plutôt que ma décision de cultiver le Falun Dafa est la meilleure décision que je pouvais faire dans ma vie


Tout de suite après le 20 juillet 1999, a été la période la plus intense de la persécution de Falun Dafa par le Parti communiste chinois (PCC). Mais c'était la période la plus glorieuse de la validation de Dafa par les pratiquants. J'ai saisi chaque occasion de faire ce qu'une pratiquante devait faire. J'ai crié: «Falun Dafa est bon!» devant des douzaines d'étrangers et beaucoup de Chinois sur la Place TianAnMe. La police ne m'a pas arrêtée de crier mais deux gardes ont saisi la banderole de Falun Gong que je déployais. Dix-neuf jours plus tard, je suis revenue à la Place TianAnMen pour faire appel de nouveau. Je me suis assise et j'ai médité. La police m'a arrêtée et m'a emmenée au poste de police, mais j'ai refusé de coopérer avec eux et je suis revenue à la maison cette nuit-là.


En réalité, à ce moment-là, les pratiquants étaient prêts à tout abandonner. Un jour, en l'an 2000, j'ai entendu dire que l'organisation locale du Parti communiste chinois (PCC) avait convoqué une réunion d'urgence pour discuter de comment traiter le Falun Gong. Il n'y avait qu'une conclusion: «Le Falun Gong est remarquable. Les pratiquants n'ont pas peur de perdre leur travail, d’être forcés à divorcer ou d’être envoyés en prison. Le PCC est condamné à perdre.» En effet, je n'ai jamais succombé au PCC. Un chef m'a conseillé d'être un peu plus flexible. Je lui ai dit lui: «Pourquoi? La cultivation de Dafa est ce qui est le plus droit. Pourquoi devrais je me plier à vos demandes?»


Au cours de toutes les douleurs, la pire a été ma relation avec ma mère. Une fois elle s'est agenouillée devant moi pendant plus d'une heure pour essayer de m'aider à protéger mes propres intérêts. Incapable de la relever, je lui ai dit: «Alors pourquoi ne restes-tu pas agenouillée. Tu es agenouillée devant mon Maître. Dans le passé quand j'étais malade, tu t'inquiétais pour moi et tu ne pouvais pas dormir. Mais tu ne pouvais pas me sauver. Maintenant mes maladies sont toutes guéries grâce à ma pratique de Dafa. Au lieu de m'inviter à être reconnaissante et de lancer un appel pour Dafa, tu veux que je renie mon sauveur. Tu devrais t’agenouiller devant mon Maître.» Une heure plus tard, elle s'est levée sans être en colère contre moi. Elle sait que Dafa est bon mais ne savait pas quoi faire.


Plus tard, elle a pleuré quand elle s'est rendue compte que mon mariage était en péril. Elle savait que j'étais persécutée et délaissée, elle a souvent pleuré en silence. Par la suite elle est tombée malade et elle est morte du cancer en 2004. Sa mort ma beaucoup affectée. Pendant deux semaines, j'appuyais mon visage sur la table et je ne voulais pas m'ouvrir les yeux. C'est comme le Maître a dit: «On dirait presque qu’ils veulent les suivre pour le restant de leur vie.» (Zhuan Falun). Enfin un jour, j'ai senti que çà n'allait pas, «Je suis une disciple de Dafa. La perversité ne m'a pas fait tomber. Comment puis-je me faire tomber moi-même? Pour qui est-ce que j'existe?» Je me suis réveillée tout d'un coup. En réalisant mon énorme responsabilité , je me suis levée et j'ai joint les pratiquants pour dire aux gens les faits et pour sauver les êtres.


3. Répondre aux questions des gens et les sauver


Je me concentre à dire les faits aux gens en tête à tête.


a. Saisir chaque occasion pour sauver les gens. Lors des festivals ou aux mariages d'amies ou de parents, ma première réaction quand je recevais l'invitation était que je devais sauver les gens. Je parle également à toutes les personnes que je rencontre: les serveurs dans les restaurants, les chauffeurs de taxi et les dépanneurs. Il y a quelques années, des douzaine de personnes ont démissionné du PCC et de ses organisations affiliées quand j'étais une cliente à un salon de coiffure.


b. Trouver le bon moment pour dire les faits aux gens et les sauver. Ma responsabilité principale au travail est de m'occuper des gens. Un jour, j'ai rencontré une jeune fille de moins de 30 ans. Au début, elle était silencieuse quand je lui disais les faits sur le Falun Gong. Quand j'ai appris qu'elle vivait près de la Place TianAnMen, je lui ai dit que lors du massacre de la Place TianAnMen en 1989, le PCC avait tué beaucoup d'étudiants universitaires et plus tard a nié ce qui s'était produit. Elle était d'accord et a dit: «C'est vrai! Je n'avais pas encore dix ans. Mais cette nuit-là a été horrible.» Après, elle a cru mes propos et a accepté de démissionner du PCC.


c. Oubliez les choses du passé et sauvez les gens


Au moment où j'ai été arrêtée, ma belle-famille a obligé mon mari à demander le divorce. Mon mari et moi avions une bonne relation auparavant. Comme ma santé était mauvaise, j'avais abandonné ma carrière et consacré tous mes efforts à aider mon mari au pire moment de sa vie. Plus tard, il avait reçu une promotion mais il m'a abandonnée quand j'ai eu le plus besoin de lui.


Quand ma mère était mourante, je suis allée la voir. Je lui ai dit de réciter: «Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Patience est bon.» Elle a vécu deux mois supplémentaires. Pendant ce temps, j'étais calme et je n'ai eu aucun rancune. La seule pensée que j'avais, était de sauver les gens. J'ai parlé à ma sœur qui était également impliquée dans mon divorce. Mais je n'étais plus fâchée contre elle. Je lui ai dit: «Oublions le passé. J'espère que tu auras un futur paisible et agréable. S'il te plaît peux-tu quitter le parti pervers?» Elle a tout à coup commencé à pleurer et a dit: «D'accord, je vais le faire.» En voyant qu'elle était vraiment émue, je me suis sentie calme et satisfaite.


Au cours des dix dernières années, je n'ai jamais regrettée quel qu'ait été la difficulté de la situation. Les nombreuses tribulations m'ont rendue plus sage. J'ai de moins en moins d'attachements. Je me suis vraiment éveillée à ce que le Maître a dit:


SVP soulignez toutes mes lacunes. Merci Maître! Merci compagnons pratiquants!



Traduit de l'anglais au Canada