(Minghui.org)

La pratiquante L a été arrêtée pendant qu’elle clarifiait la vérité aux gens dans un marché et a été envoyée dans un centre de détention. L n'a pas coopéré et a crié tout le long : « Falun Dafa est bon », « Authenticité-Bienveillance-Patience est bon » et « le Ciel éliminera le PCC ». La police était furieuse et a menacé de la condamner à un an et demie de travaux forcés. Cependant, avec la protection du Maître et les pensées droites des compagnons de cultivation, elle a été libérée sans signer de document. Les employés à l'admission du camp de travail lui ont dit : « Vos pensées droites sont fortes , vous n'irez pas dans le camp de travail. »


Quand d'autres pratiquants ont su que la pratiquante L avait été arrêtée, ils ont tous compris que les forces anciennes profitaient de ses lacunes. Bien que L eut des lacunes dont elle aurait dû s’être débarrassée, les pratiquants ont également compris qu'ils ne devaient pas accepter l’excuse des forces anciennes pour la persécuter. Quand les pratiquants ont bien compris ce principe de la Loi, ils ont su qu'ils devaient se rendre à proximité du commissariat de police et émettre immédiatement des pensées droites. Ils devaient également informer la famille afin qu’elle aille au commissariat de police pour demander sa libération. Les pratiquants ont écrit tout de suite au site Internet de Minghui/Clartés et Sagesse pour exposer la persécution perverse.


Certains pratiquants ont émis des pensées droites à la maison, certains sont allés près du commissariat et d'autres ont émis des pensées droites près du centre de détention. Un champ puissant se formait à mesure que de plus en plus pratiquants rejoignait l’émission.


Puisque le mari de L n’était pas un pratiquant, c’était un peu difficile d’informer la famille de la pratiquante. Habituellement, il n’est pas permis aux pratiquants de lui rendre visite, ils avaient donc besoin de l'aide de la famille. Les pratiquants ont nettoyé leurs champs en regardant à l’intérieur, ils ont émis des pensées droites pour éliminer l'interférence et ont demandé la protection du Maître avant de rendre visite à la famille. Quand ils ont dit au mari que son épouse avait été arrêtée, ils lui ont expliqué qu'elle n'avait rien fait de mal. La famille a appris que d'autres pratiquants avaient été secourus avec succès. Le mari était ému par leurs paroles et a dit qu’il irait au commissariat demander la libération de son épouse le jour même. Les pratiquants ont accompagnés le mari pour informer les sœurs de L et son beau-frère. Ils ont dit qu'ils ne toléreraient pas l'arrestation et semblaient très déterminés.


Demander la libération de la pratiquante était un processus de clarifier la vérité. Quand la famille a demandé à la police de la libérer, elle a dit à la police qu'elle était une bonne personne. Ils ont demandé à la police pourquoi ils la persécutaient. Quelle base juridique avaient-ils pour faire une telle chose ? La police a sorti les « règles de sécurité », et a lu la section au sujet des sectes. La famille a précisé qu’il n’y avait aucune preuve que le Falun Gong était une secte. La police a immédiatement sorti un journal contenant un document appelé les « deux explications ». La famille a déclaré que l'article du journal n’était pas un document officiel pour définir la loi. Les « deux explications » faisaient partie d'une règle d’une brigade de police et pas d'un document législatif. Une fois confrontée, la police est restée silencieuse et ne savait plus quoi dire. Enfin ils ont répondu : « Elle sera libérée dans quelques jours. » La police s'est rendue compte que la famille n’était pas dupe ou effrayée par les « règles de sécurité » et les « deux explications ».


Quelques jours plus tard, la famille est retournée au commissariat de police demander de nouveau sa libération. La police a menti au sujet des policiers traitant le cas. On avait dit à la famille que les policiers qui s’occupaient du cas étaient sortis ou à l'hôpital. La police tenait la famille occupée tandis qu'ils transféraient la pratiquantedans un centre de détention. Le chef de la police a calmé la famille en lui disant que L était une bonne personne et que les pratiquants de Falun Gong étaient de bonnes personnes. Il a également dit que les choses qu'ils avaient trouvées dans son sac n'étaient pas un problème. On a dit également à la famille qu'elle était trop têtue et que si elle cessait de pratiquer le Falun Gong, elle serait libérée dans quinze jours. Tandis que la police essayait de transformer la pratiquante L, ils faisaient en secret les arrangements pour l'envoyer dans un camp de travail. En attendant, la famille plaidait pour sa libération. Le directeur adjoint leur a dit : « L a été condamnée aux travaux forcés et je n'ai aucune obligation de vous expliquer quoi que ce soit. Vous pouvez me poursuivre ! » La famille a demandé au directeur adjoint pourquoi elle avait été condamnée aux travaux forcés. De plus en plus de gens se rassemblaient autour et ont sympathisé avec la famille en apprenant la vérité. Certains ont dit que la sécurité publique était perverse et ne permettaient pas aux gens de parler !


Le chef de la police a amené le document de la condamnation à la ville. Le fonctionnaire municipal a refusé de le signer et le camp de travail a également refusé de l'accepter. L’employé au camp de travail a dit à L : « Vos pensées droites sont très fortes, vous n’irez pas dans un camp de travail. » Nous savions tous que le Maître nous avait aidés parce que, quand les pratiquants atteignent le niveau de Dafa, la perversité est éliminée. Sous la protection du Maître, L a été libérée sans signer de document.


L, sa famille et les compagnons de cultivation ont travaillé en coopération en ayant des pensées et des actions droites. Avec une croyance ferme dans le Maître et Dafa, le plan d’envoyer L dans un camp de travail a échoué.


Traduit de l’anglais au Canada