(Minghui.org)


Des investigations sur les crimes du Parti Communiste Chinois (PCC) de récolte d’organes à vif sur des pratiquants de Falun Gong de leur vivant a attiré l’attention du monde entier. Malgré les démentis du PCC, l’apparente abondance d’organes disponibles à la transplantation en Chine demeure une grave préoccupation. Voici trois témoignages émanant de sources en Chine continentale.


Une semaine pour trouver un foie compatible pour une transplantation


Un de mes amis est manager senior dans une entreprise basé à l’étranger. On lui a diagnostiqué un cancer du foie en février 2010, ce qui nécessitait une opération. En une semaine, le 25 février, des docteurs de l’école médicale de Zhongshan dans la ville de Guangzhou l’ont prévenu qu’un foie compatible avait été localisé et que l’opération pouvait se faire immédiatement. D’après mon ami, quatre autres personnes étaient là pour une transplantation de foie quand il était sur place, et quelques autres pour un rein. Tous les patients avaient été informés que ces organes venaient de prisonniers exécutés. Le premier hôpital de l’école médicale de Zhongshan est localisé sur la route n° 2 de Zhongshan dans le district de Yuexiu, ville de Guangzhou.


Des articles dans les journaux ne rendent pas compte de la source de transplantions de reins


Un article daté du 4 mars 2011 dans le journal Dahe de la ville de Zhengzhou, province du Henan, a rapporté qu’il y avait eu 400 transplantations de rein dans la province de Henan en 2010. Le même article déclare qu’il n’y a eu que quatre donneurs volontaires cette année là. L’article en venait à dire que les organes utilisés pour les transplantations venaient principalement de prisonniers qui faisaient face à la peine de mort. Dans une culture où le concept de violer «l’intégrité du corps» après la mort est un sujet largement tabou, il est très peu probable que 400 prisonniers exécutés de la même province aient choisi de donner leurs organes la même année.


Un proche subit une transplantation de rein, sept jours après ses analyses


Un de mes proches s'est vu diagnostiquer des problèmes chroniques au rein en 1999. En 2001, son rein était détérioré au point qu’il avait besoin d’une transplantation. La chirurgie a eu lieu au Troisième hôpital de l’université de Pékin. Avant l’année 2001, il n’y avait pas de département de transplantation de rein dans cet hôpital.


Cela a pris seulement sept jours à partir du moment où les docteurs ont fait les analyses pour la chirurgie. Un autre patient qui a fait des analyses le même jour, a eu une transplantation le lendemain de celle de mon proche. Pendant l’opération, les docteurs ont trouvé que le rein n’allait pas et ils ont dû annuler celle-ci, jusqu’au lendemain, où ils ont reçu un autre rein. On nous a dit que ces reins venaient de la ville de Shenyang.



Traduit de l'anglais