De la huitième conférence de partage d'expériences par Internet pour les pratiquants de Chine

(Minghui.org)

Bonjour, Maître bienveillant!


Bonjour, compagnons de pratique!


J’ai 80 ans. Je suis allée à l’école seulement pendant un ou deux ans. J’étais partiellement illettrée et incapable d’écrire des articles moi-même. Dans les conférences de Loi précédentes, des pratiquants m’ont aidée à écrire un article en suivant ma narration. Pour la huitième conférence cette année, je voulais écrire un article de partage d’expériences moi-même et faire en sorte que Maître connaisse mon état de cultivation.


Écrire un article de partage d’expériences pour la première fois


L’après-midi du 18 avril 1994, une amie est venue me rendre visite. Elle m’a parlé de qigong. Elle a dit que le Falun Gong donnait des cours et m’a demandé si j’aimerais y aller. J’ai dit que j'avais des maladies de la tête aux pieds, alors comment pouvais-je apprendre? Elle a dit que le Falun Gong était très efficace dans la guérison des maladies et m’a conseillé d’y aller. Je ne voulais pas. Elle m’a demandé de l’accompagner. C’est de cette façon qu’elle m’a forcée à assister aux conférences du Maître à Chongqing.


Le 20 avril, j’ai vu Maître monter sur le podium. Le Maître était grand et gentil, c’était comme si je l’avais déjà vu avant. J’étais très concentrée à écouter sa conférence. Plus j’écoutais, plus je voulais entendre. Chaque mot du Maître pénétrait directement dans mon cœur. J’ai écouté et écouté, et mes yeux étaient remplis de larmes. Je me suis dit: «Ce qigong est si bon que je dois bien l’apprendre.»


Je me suis sentie très à l’aise pendant ces quelques jours de cours. Toutes mes maladies ont disparu. Le 6ème jour, le Maître nous a demandé d’écrire un essai de partage d’expériences. Je crois que Maître voulait savoir comment nous comprenions la Loi. Cette nuit je ne pouvais pas dormir. Je crois que le Maître est un Bouddha parce qu’il peut sauver les êtres. Comme je suis bénie! Comment ne pouvais je pas écrire quelque chose? Mais je ne savais pas par où ni par quoi commencer. Mais je me suis dit que de toute façon il me fallait écrire cet article. «Dieux et Bouddhas s’il vous plaît aidez moi!» Le lendemain j’ai pris un stylo et j’ai pu écrire le titre de mon article «Ma promesse»:


Je suis excitée et les larmes remplissent mes yeux quand je commence à écrire


Voir Maître est bien plus merveilleux que de voir ma famille ou mes amis


C’est dur de s’endormir quand on est aussi heureux


J’ai versé des larmes toute la nuit jusqu’à ce matin


Merci Maître de me guider


J’espère que Maître va me sauver du monde humain


Cultiver diligemment Vérité-Bonté-Tolérance


Se débarrasser des attachements humains


C’est la chance d’échapper à l'océan amer de l’humanité


Ne plus se battre avec le monde, suivre, à la place, le chemin arrangé par Maître


J’espère que Maître va voir mon cœur


Maître va me laisser cette fois-ci


Je ne sais pas quand je reverrais Maître


Je souhaite au Maître une bonne journée à Chongqing


Et j’espère qu’il reviendra l’année prochaine à la ville de la montagne



Comme j’ai fait ma promesse, il me reste juste à la remplir. Dès que le Maître a fini ses conférences, j’ai commencé à répandre le Falun Gong. Après un certain temps j’ai pensé que comme il y avait beaucoup de gens dans la région qui enseignent les exercices et qui répandent le Falun Gong du fait que le Maître avait tenu deux séminaires ici, j’ai décidé d’aller là où ma fille vivait pour répandre le Falun Gong. Je ne suis pas rentrée chez moi depuis lors. Je crois que le Maître a arrangé cela. Ce n’était pas une question de vouloir aller et ensuite d’être capable de demeurer là-bas. C’était ma mission et cela était pré-arrangé que je puisse être là.


Je n’ai pas peur parce que le Maître est avec moi


Depuis le 20 juillet 1999, la police a cherché partout des pratiquants pour les arrêter. Les pratiquants étaient très tristes et ne voulaient plus ni manger ni dormir. Certains pratiquants m’ont demandé ce que nous devrions faire. Je leur ai dit de ne pas avoir peur. Nous pouvons écouter le Maître. Le Maître nous a déjà dit quoi faire. Puis je leur ai récité le poème du Maître «Voir la vraie nature» de Hong Yin II:


«Cultiver fermement Dafa, le cœur inébranlable


S'élever de niveau est fondamental


Face aux épreuves, la vraie nature est révélée


Le gong accompli, atteindre la plénitude parfaite, bouddha, tao, divinité»


Je leur ai dit que nous devons bien nous rappeler de cela dans nos cœurs. Maître est là et la Loi est là. Nous ne devrions pas avoir peur.


Je suis sortie pour parler aux gens du Falun Gong parce que je ne pouvais pas rester plus longtemps à la maison. J’ai dit à tout le monde que j’avais vu que ce qui passait à la télé était pur mensonge et diffamation. J’ai parlé aux gens de la beauté de Dafa. Le poème du Maître «Le cœur naturellement clair» a été publié en 2000. Le Maître nous a indiqué un chemin en or. Quand j’ai lu le poème, les larmes ont coulé le long de mon visage et un fluide chaud a traversé tout mon corps. Je l’ai lu de nombreuses fois jusqu’à ce que je puisse le réciter par cœur.


La perversité diffamait le Maître et Dafa et persécutait les pratiquants de Dafa, et je ne pouvais pas rester silencieuse et laisser la perversité agir de cette façon. Enfant, j’aimais écouter mes grands-parents me raconter des histoires de Divinités et de Bouddhas. Depuis mon enfance j’avais le souhait de cultiver, mais je ne savais pas que le Maître m’avait déjà choisie comme disciple. Maintenant mon rêve est devenu réalité et je suis une disciple de Dafa de la période de la rectification par la Loi. J’ai mérité ce titre ultime dans l’univers et je suis devenue un des êtres les plus admirés par les Bouddhas, Dieux et Taos. Comme je suis bénie! C’est au-delà des mots. Maître m’a choisie avec compassion. Je ne peux pas oublier le salut et la protection du Maître. Le Maître est diffamé et la cible d'un coup monté. Je dois aller dehors pour sauvegarder Dafa, pour rembourser le Maître de son salut compatissant, et pour faire ce que le Maître demande. Je n’ai pas à avoir peur. Je vais me dévouer totalement pour sauvegarder la Loi. Je crois fermement que Dafa est bon et droit, que le Maître est droit. Les pratiquants de Dafa doivent avoir des pensées droites et des comportements droits et doivent étudier d’avantage la Loi.


Le Maître a dit dans, «Éliminer les interférences» dans Points essentiels pour un avancement assidu II:


«La Loi peut briser tous les attachements, la Loi peut briser toutes les perversités, la Loi peut briser tous les mensonges, la Loi peut affermir la pensée juste.»


Alors j’ai étudié la Loi et j'ai écrit à la main Zhuan Falun plus diligemment. Graduellement j’ai pu écrire les caractères chinois et j'ai pu parler d’avantage aux gens du Falun Gong. Ainsi, année après année et pas à pas je suis sortie pour valider la Loi et pour clarifier la vérité.


Un jour un officier du poste de police local m’a demandé de lui signaler ce que je faisais chaque jour. Je ne pouvais pas coopérer avec la perversité. Je suis allée au poste de police, cependant, pour leur raconter la beauté du Falun Dafa et comment j’avais guéri de mes maladies après avoir commencé la pratique. Je leur ai dit que nous nous cultivons nous-mêmes en suivant les principes de Vérité-Bonté-Tolérance et que nous ne frappons pas en retour quand on nous frappe et que nous n’injurions pas en retour quand on est injurié. Nous pensons d’abord aux autres dans tout ce que nous faisons. Nous acceptons les règles et les lois. Néanmoins, de si bonnes personnes sont envoyées en camp de travaux forcés et condamnées. Aucun autre pays ne nous traite de la sorte. C’est la honte de notre pays, quelque chose dont l’histoire n’a jamais été témoin auparavant. Le Falun Gong est une voie de cultivation de la Loi de Bouddha. Les gens pratiquent le Falun Gong dans plus de 100 pays. Vous devriez apprendre d’avantage du Falun Gong au lieu de suivre les autres et de croire ce qu’ils ont dit. Vous ne devriez pas traiter les bonnes personnes de la sorte.


Je leur ai dit, «Je suis si maltraitée chaque jour que ma famille ne me reconnaît plus à tel point que je suis défigurée. Je ne vais pas partir d’ici. Je n’ai plus d’habitation maintenant. Je vais rester avec vous pour toujours.» J’ai continué à leur clarifier la vérité. Je n’ai rien écrit de ce qu’ils demandaient. J’ai refusé de partir. La police m’a dit, «Ce n’est pas nous mais nos superviseurs qui nous demandent que vous nous racontiez.» J’ai dit, «Alors, demandez-leur de venir ici.» L’officier a dit, «Grand-mère, je vais te renvoyer chez toi.» Je lui ai dit, «Je n’ai plus de chez moi.» J’ai continué ainsi avec eux pendant plusieurs heures. Le policier m’a finalement renvoyée à la maison. Ma famille lui a fait des histoires et il devait leur parler poliment.


Les passants nous aident à répandre la vérité


Maître a dit dans «Éliminer le dernier attachement» dans Points essentiels pour un avancement assidu II:


«Si un pratiquant dans n'importe quel genre de circonstance peut abandonner la pensée de vie et de mort, la perversité en aura certainement peur ; si tous les élèves peuvent y parvenir, la perversité s'anéantira d'elle-même. Vous connaissez déjà le principe de loi d'engendrement et de domination mutuels, sans la peur, les facteurs qui vous font peur n'existeraient plus.»


La Loi du Maître était intégrée dans mon cœur. Je n’avais aucune peur. Je pensais à comment sauver les êtres.


Un jour j’ai vu une femme marcher devant moi. J’ai marché un peu plus vite pour la rattraper. Je l’ai regardée et j’ai communiqué avec elle avec mes yeux. Elle m’a regardé et je lui ai souri et je lui ai dit bonjour. Elle m’a saluée à son tour. Je lui ai demandé pourquoi elle ne prenait pas le bus. Elle a dit qu’elle préférait marcher. Je lui ai dit que j’aimais bien marcher aussi et je marchais relativement vite. Elle m’a dit que j’avais l’air en pleine santé et que j’avais une belle peau. Elle m’a demandé quel âge j’avais. J’avais 75 ans. Elle avait 15 ans de moins que moi. Elle a dit vouloir acheter des vêtements, et je suis allée avec elle. La vendeuse m’a dit: «Vous ressemblez à une pratiquante. Vous avez l’air très gentille. Vous avez l’air en pleine santé et vous avez une belle peau.» L’autre femme a demandé à la vendeuse laquelle d’entre nous était la plus âgée. La vendeuse lui a dit, «Vous êtes la plus âgée, c’est évident.» L’autre femme a répondu, «Oh mon Dieu, je suis complètement finie.» Je lui ai dit, «Non, vous n’êtes pas finie. Parce que j’ai une relation prédestinée avec vous, je vais vous dire le secret pour rester jeune et en bonne santé. Voudriez-vous l'entendre?» Elles ont toutes les deux dit, «Oui, bien sûr.» Mais j’ai dit, «C’est mieux que je ne le dise pas.» Intentionnellement j’ai fait une blague. Elles ont dit, «S’il vous plaît ne le gardez pas pour vous-même.» J’ai dit, «OK. J’étais très malade. J’ai commencé à pratiquer le Falun Gong et j’ai guéri. Maintenant je me sens comme si j'avais la trentaine ou la quarantaine. Je suis pleine d’énergie et je ne me sens pas du tout fatiguée. Mon corps est si léger.» Puis je leur ai raconté les faits sur le Falun Gong et leur ai demandé de démissionner du PCC. Nous avons toutes deux acheter un vêtement et avons donné des documents du Falun Gong aux gens qui venaient à la boutique. La personne qui est venue avec moi m’a dit, «Comment se fait-il que vous ne m'ayez pas donné de documents? Je n’en ai aucun. J’ai beaucoup de famille et d’amis. S’il vous plait, donnez moi des exemplaires.»


Nous somme ensuite allées toutes les deux sur une place non loin de là où il y avait une rangée de chaises, et huit ou neuf femmes d’âge mûr étaient assises là. Elle a dit, «Essayons de nouveau les vêtements.» J’ai approuvé. J’ai mis mes vêtements et j’ai dansé. Elle a demandé à la femme à côté de venir voir. Elle a dit, «Savez vous quel âge a cette femme? Elle a 15 ans de plus que moi.» La femme a répondu, «Comment se fait-il qu’elle semble si jeune?» Puis je leur ai raconté les faits du Falun Gong et leur ai demandé de démissionner du PCC. Elles ont directement accepté les documents. J’ai distribué tous les documents que j’avais. Nous étions vraiment prédestinées. Maître avait dû arranger cela.


Vouloir de nouveau entendre les faits du Falun Gong


J’étais une fois assise sur un siège très proche de la porte du bus. Un vieil home portrait un sac très lourd et n’arrivait pas à le rentrer dans le bus. Je suis allée l’aider pour le rentrer dans le bus. Les autres dans le bus m’ont regardée et m’ont fait des compliments. J’ai dit que ce n’était pas de problème pour moi, mais il n’aurait pas été capable de monter dans le bus sans mon aide. «Vous auriez fait la même chose à ma place» ai-je dit en riant. Le vieil homme m’a remerciée à maintes reprises. Je lui ai dit que c’était normal. Le vieil homme a dit qu’il avait des livres dans son sac. Il connaissait beaucoup de gens à Yunnan. Il m’a dit son nom. Je lui ai demandé s’il était connu et s’il faisait de la recherche. Il a dit oui. Puis je lui ai demandé s’il était en bonne santé. Il m’a dit qu’il souffrait de nombreuses maladies chroniques. Je lui ai dit, «Vous avez de la chance de me rencontrer. Voulez vous savoir pourquoi je suis en si bonne santé? Si vous voulez savoir, je vais vous dire que maintenant je suis en excellente santé, mais j’avais une très mauvaise santé avant. Les méthodes médicales n’ont pas eu d’effet sur moi. Je vais vous dire la vérité, Monsieur, après avoir commencé à pratiquer le Falun Gong, j’ai guéri de toutes sortes de maladies. Le Falun Gong appartient à l’école de Bouddha et c’est une voie merveilleuse avec de grandes valeurs morales. Il peut sauver les êtres. Il est bon pour le pays, pour la société et pour le peuple. Il ne fait aucun tort. Ce que dit le PCC ne sont que des mensonges, il nous trompe. L’incident de l’auto-immolation sur la place Tiananmen était un coup monté. Le PCC persécute le Falun Gong et il arrête beaucoup de gens. Je vais vous donner des documents afin que vous connaissiez la vérité. Vous serez béni si vous connaissez la vérité. S’il vous plaît, rappelez-vous de ces neuf caractères: «Falun Dafa est bon et Vérité-Bonté-Tolérance» est bon. Si vous les répétez sincèrement du fond de votre cœur, vous guérirez de vos maladies.» Il était très heureux et a accepté les documents. Il a demandé quelques exemplaires supplémentaires pour ses amis. Il devait descendre à l’arrêt du bus suivant, mais il m’a dit, «J’aimerais parler d’avantage avec vous, alors je ne vais descendre que lorsque vous descendrez, et après je retournerai. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un d’aussi bon que vous. Je suis très impressionné.» Je lui ai dit, «Notre Maître nous enseigne à être de bonnes personnes avec des valeurs morales élevées. Le Falun Dafa répand et élève les valeurs morales. Dans la société actuelle, les valeurs morales des gens se sont réellement détériorées.» Il a dit, «Oui la société est si corrompue. Il n’y a pas moyen de la sauver.»


«Falun Dafa est bon. Vous en êtes une preuve vivante»


Récemment j’ai vu quatre hommes et quatre femmes danser dans un parc non loin de là. Je pensais à les sauver, alors je suis allée les saluer. J’ai dit, «Bonjour tout le monde. Puis-je me joindre à votre danse?» Ils m’ont regardée et m’ont dit que je pouvais. Ils ont fait une pause. J’ai dit, «Je me fais vieille. Je ne sais pas si je vais être capable d’apprendre votre danse. Vous dansez si bien. J’aimerais l’apprendre.» L’un d’entre eux a dit, «Vous avez l’air d’avoir le même âge que nous. Vous avez une belle peau et vous avez l’air d’être une personne active.» Je leur ai dit que j’avais presque 80 ans. Ils ont été très surpris. J’ai dit, «J’aime le sport. Vous voyez que je peux lever mes jambes.» Ils m’ont regardé lever ma jambe au-dessus de ma tête. Ils ont dit, «Incroyable, vous pouvez la lever si haut.» Puis je me suis assise en lotus et j’ai fait les gestes des mains. L’un d’entre eux a dit, «C’est du Falun Gong.» Ils ont tous venus vers moi et ils m’ont dit, «S’il vous plaît levez vous et racontez nous les bienfaits que vous avez eu de la pratique du Falun Gong.» J’ai dit, «Les bienfaits sont infinis.» Je leur ai dit à quel point le Falun Gong est merveilleux. Je leur ai demandé s’ils croyaient ce que je disais. Ils ont dit, «Vous en êtes une preuve vivante. Oui nous y croyons. Pouvez vous nous apprendre les exercices du Falun Gong?» J’ai dit, «Oui. Je vais vous les enseigner gratuitement. Je ne vais pas vous demander un centime.» Ils ont tous ri. Je leur ai donné des documents et ils les ont tous pris. Deux jours plus tard je suis retournée les voir. Ils m’ont dit avoir fini de lire les documents et bien vouloir quitter le PCC. Ils m’ont donné leurs noms sans aucune hésitation.


J’ai clarifié la vérité aux personnes qui me dénonçaient à la police


Quand je clarifie la vérité aux gens, je rencontre toutes sortes de situations différentes. Pas tout le monde est prédestiné. J’ai rencontré certaines personnes qui m’ont injuriée quand je leur ai raconté la vérité sur le Falun Gong. Bien sûr, j’ai aussi rencontré beaucoup des gens qui étaient prédestinés dans des ruelles, des parcs, dans des supermarchés, et dans des magasins. Un jour il y avait beaucoup de monde à un arrêt de bus à une heure de pointe. J’ai clarifié la vérité à un vieux couple. La femme a mis les documents dans son sac. Puis le vieil homme a soudainement crié, «Assez avec les anti-révolutionnaires!» Il a pris son téléphone portable et était prêt à me dénoncer à la police. J’étais très calme. Je lui ai dit, «S’il vous plaît, attendez que j’ai fini de parler. Vous êtes tous les deux plus jeunes que moi. Je ne vous connais pas ni l’un ni l’autre. Auncun de vous deux n’est en bonne santé. Vous portez un si lourd bagage de médicaments. J’espère en fait que vous allez vite guérir de vos maladies. J’ai de très bonnes intentions pour vous. Je ne vais pas vous escroquer ni même vous demander un centime. Où pouvez-vous trouver une si bonne personne de nos jours? Maintenant vous voulez me dénoncer à la police et vous m’appelez anti-révolutionnaire. Où est votre conscience? Pouvez-vous différencier le bien du mal? Alors continuez. Appelez la police maintenant.» L’homme a continué et a essayé d’appeler la police. J’ai dit, «Si vous appelez vraiment la police, votre téléphone va instantanément cesser de fonctionner.» Il a dit ne pas y croire. Il a recomposé trois fois le numéro mais n’a pas abouti. Il a dit, «C’est étrange. Mon téléphone est pourtant bon. J’ai dépensé plus de 1000 yuan pour lui.» J’ai dit, «Même si vous dépensez 2000 yuans, cela ne fonctionnera pas, parce que je suis en train d’essayer de vous sauver et c’est pour votre bien. Vous demandez à la police d’arrêter de bonnes personnes. C’est une injustice intolérable. S’il vous plait, ne faites plus ça. Emmenez les documents chez vous et bonne lecture, et après vous saurez que le Falun Gong est bon.» Le vieil homme n’a plus rien dit.


Raconter la vérité aux gens sur le Falun Gong est devenu une partie de ma vie


Chaque jour je sors pour raconter aux gens les faits du Falun Gong. C’est devenu une habitude. J’étudie aussi la Loi et je partage mes expériences avec les autres pratiquants. Certains pratiquants ont été envoyés en camp de travaux forcés ou condamnés. Certains ont été pris en grippe par la perversité et souffrent de karma de maladie. Certains ont du mal à marcher et sont hospitalisés. Certains ont l’attachement à la peur et sont effrayés de parler aux gens dès qu’ils ont fait un pas en avant. Nous étudions la Loi ensemble et nous cherchons à l’intérieur. En conséquence, tout le monde dévoile de nombreux attachements, particulièrement l’attachement à la peur. Nous ne mettons pas ce que nous apprenons de Dafa en action. Nous avons étudié la Loi et réalisé ce que nous devions faire. Nous devons mettre ce que nous avons appris en action.


A travers l’étude de la Loi et les partages d’expériences nombreux, certains pratiquants ont pu sortir et clarifier la vérité. Certains pratiquants sont sortis avec moi et ont d’abord regardé comment je faisais pour clarifier la vérité. Dans tout ce qu'on fait, commencer est le plus difficile. Après être sortis quelques fois, ils se sont débarrassés de leur peur.


Ma famille et moi avons beaucoup bénéficié du Falun Dafa. Trois de mes quatre enfants étaient avant sans emploi. La vie était difficile pour eux. Mais maintenant ils ont un bon commerce et ils ont leur propres maisons et voitures. Ils sont tous en bonne santé et tout va bien pour eux. Mon mari a été parfois gravement malade. Il était sur le point de se faire hospitaliser. Le médecin lui a dit qu'il devrait rester à l’hôpital pour la nuit, et qu’il pourrait rentrer le lendemain matin. Mais quand mon mari s’est levé le lendemain matin, il a dit, «Je ne me sens plus malade. Je vais bien maintenant.» Nos enfants ont dit, «Papa, le Maître de maman a guéri ta maladie.» Mon mari a hoché la tête et a approuvé.


Nous savons tous que c’est une période difficile. S’il vous plaît, chacun, cultivez diligemment, rattrapez, et progressez dans le processus de la rectification par la Loi. C’est une opportunité qui arrive seulement une fois dans un millier d’années, et nous avons attendu cela des centaines de millions d’années. C’est la chance que nous ne devons pas manquer. Nous sommes des disciples de Dafa choisis par le Maître. Nous devrions aider le Maître dans la rectification par la Loi, faire bien les trois choses, et remplir nos vœux préhistoriques. Pratiquants, abandonnez vos attachements humains et allez de l’avant pour clarifier la vérité aux êtres.


Merci Maître!


Merci compagnons de pratique!




Traduit de l’anglais en Belgique.