(Minghui.org)


Dicté par une pratiquante de la province du Shandong, en Chine



J'ai commencé à pratiquer le Falun Gong avant que la persécution ne commence. J'ai connu des bons et des mauvais moments au cours de ma cultivation d'une dizaine d'années. J'ai aussi été témoin de la puissance extraordinaire et miraculeuse de Dafa et de la compassion et la puissance du Maître. Je voudrais partager une de mes expériences avec les compagnons pratiquants et aussi exprimer ma gratitude abondante envers le Maître pour sa protection miséricordieuse.


Le 19 avril 2009 (calendrier lunaire), je suis allée à la montagne pour cueillir des cerises. Quand je suis arrivée là-haut, j'ai vu un de mes proches aidant mon beau-frère à cueillir des cerises. Me voyant, mon proche m'a interpellée, «Je vais t'aider quand j'aurai terminé ici» Je savais que ce membre de la famille essayait d'être inclusif et j'ai répondu, «Je n'ai pas mérité l'honneur de gagner ton aide.» Comme je terminais presque la cueillette de cerises sur le bout d'une petite branche, la branche sur laquelle je me trouvais s'est brisée et je suis tombée par terre. Les cerises dans mon panier se sont dispersées partout sur le sol. Je me suis lentement redressée et j'ai dit: «Je vais bien parce que je suis protégée par le Maître.» Tout d'un coup, j'ai senti un pincement dans les côtes sur le côté gauche.


J'ai vite fait un examen à l'intérieur pour trouver mes lacunes. J'ai immédiatement pensé au moment où j'avais parlé à un de mes parents avec un ton légèrement influencé par la jalousie, ce qui n'était pas le critère pour un pratiquant. Les forces anciennes ont profité de cette lacune pour me persécuter. Je l'ai regretté et en même temps, j'ai réalisé la gravité de la cultivation.


Comme j'essayais de me relever pour ramasser les cerises éparpillées, j'ai entendu des craquements sur mon côté gauche et j'ai senti beaucoup de douleur. Comme je ne pouvais pas ramasser les cerises et monter à moto, je suis retournée lentement chez moi en couvrant mes côtes blessées avec ma main. Quand j'ai dit à mon beau-fils que je m'étais cassé les côtes, il n'y a pas trop prêté attention. Mon mari a même dit, «Comment aurais-tu pu marcher jusqu'à la maison, si tes côtes étaient fracturées?»


Le 23 avril était le 10e jour après la naissance de mon petit-fils. Pour faire un gâteau pour la fête, j'ai enduré la douleur et je suis sortie pour aller acheter du sucre à un magasin local. J'ai pris un bain après avoir fait les courses, mais je ne pouvais pas mettre mes vêtements après le bain. Quand mon voisin est venu frapper à la porte, je me sentais trop mal pour répondre. Au lieu de cela, j'ai frappé la porte avec mon pied pour que mon voisin sache que j'étais à la maison. Mon voisin a raconté ma situation à ma jeune sœur et ma fille. Elles sont venues chez moi et m'ont envoyée à l'hôpital. La radiographie a montré que j'avais quatre côtes fracturées. Elles voulaient que je reste à l'hôpital, mais j'ai refusé, insistant sur le fait que tout irait pour le mieux puisque le Maître me protégeait. Ma fille m'a donc emmenée chez elle pour quatre jours. Je soufrais tellement que je ne pouvais pas bien dormir. Cependant, j'ai persisté dans l'étude de la Loi.


Je suis revenue à la maison le lendemain au lieu de rester chez ma fille pendant quatre jours. Une compagne de pratique m'a rendu visite ce jour-là et nous avons pratiqué les exercices ensemble ce soir-là. Comme la douleur m'empêchait d'étendre mon bras gauche pendant les exercices, je n'avais pas une bonne posture. Mais j'ai insisté sur la pratique de toute façon. Lorsque j'ai levé les bras pour le deuxième exercice, la douleur était si intense que tout à coup je suis tombée sur le côté de mon lit. Ma compagne de pratique m'a dit que je pouvais pratiquer sur le lit, mais j'ai insisté sur la position debout. Lorsque j'ai eu terminé les exercices, la douleur atroce a miraculeusement disparu.


Je suis retournée à la montagne pour cueillir des cerises durant les jours qui ont suivi. Au début, je sentais un peu de douleur, mais la douleur s'est atténuée petit à petit et finalement a disparu une semaine plus tard. Je me suis complètement rétablie de la blessure et pouvais de nouveau conduire ma moto pour vendre des cerises.


Le Maître a dit,


«Si les disciples sont emplis de pensées droites


Le Maître a le pouvoir de changer la décision du Ciel» («La grâce entre Maître et disciples» de Hong Yin II)


Voyant que j'avais bien géré la situation avec droiture, le Maître a supporté mon péché et m'a aidée à surmonter la tribulation. Je remercie profondément le Maître pour sa protection miséricordieuse et son salut.


Beaucoup de gens dans notre village ont été dupés par les mensonges du Parti pervers. Après avoir assisté à deux miracles qui me sont arrivés, ils ne sont plus contre Dafa. Ils sont prêts à lire les documents de la clarification de la vérité qui leur sont donnés. Ils croient aussi que ce que le Maître dit est véridique. La majorité d'entre eux ont quitté le Parti communiste chinois pervers. Certains d'entre eux ont accroché des banderoles, «Falun Dafa est bon» dans leurs vergers de cerisiers. Leurs cerisiers ont été bien fructueux et ils ont eu de bonnes récoltes. Ils ont en effet été bénis par Dafa.



Traduit de l’anglais au Canada