(Minghui.org) Je suis une jeune pratiquante de 11 ans. Une fois, dans un rêve, j'ai vu le Maître me donner une grande plume d'or avec une pointe en or. Sur le stylo, il y avait des Falun qui tournaient. Le Maître, en robe d'or, avait une expression solennelle et miséricordieuse. J'ai raconté ce rêve à ma mère. Nous avons compris que le Maître voulait que j'écrive mes expériences de cultivation.

1. Bien étudier le Fa et transformer le danger en sécurité

Il fut un temps où je récitais cinq poèmes de Hong Yin chaque jour. Une nuit, j'ai fait un rêve. Je me voyais voler au paradis du Falun. Les quatre caractères chinois dans le nom du paradis du Falun ressemblaient à quatre bouddhas vivants.

Je me suis envolée au paradis du Falun et je suis restée à côté du Maître. Le Maître était assis sur un trône en lotus et m'a souri. Le Maître a étendu la main et je me suis envolée dans la main du Maître. J'ai senti une joie et un confort qui ne peuvent être décrits avec des mots. Un gros bonbon est tombé sur ma tête. Il y avait des Falun tournant au-dessus du bonbon. J'ai ouvert le bonbon et je l'ai mangé. Le bonbon avait un goût très doux, qui était incomparable à quoi que ce soit dans le monde humain. Après que je me sois réveillée, j'avais encore ce merveilleux goût dans la bouche. J'ai réalisé que le Maître m'encourageait. Depuis lors, j'étais encore plus diligente dans ma cultivation.

Une fois, quand je descendais les escaliers, je suis tombée du quatrième au troisième étage. À ce moment-là, je me suis souvenu que le Maître avait dit : « Le bien ou le mal ne surgit que d’une seule pensée . » (« Quatrième leçon dans le Zhuan Falun) Je me suis levée et j'ai enlevé la saleté. J'allais bien, j'avais seulement quelques rougeurs au visage et au coude.

Une autre fois, j'ai eu les oreillons. Ma bouche était enflée et je ne pouvais pas l'ouvrir. Ma mère a demandé une semaine de congé scolaire pour moi. Toutefois, le professeur a dit que cette maladie était contagieuse et qu'une semaine de congé n'était pas assez ; le professeur m'a demandé de rester à la maison pendant 20 jours. Ma mère m'a demandé de réciter le Zhuan Falun. J'ai appris deux pages dans la matinée. Le lendemain, j'étais complètement rétablie et je suis retournée à l'école. L'enseignante a été surprise et ne voyait aucune trace indiquant que j'étais malade.

2. Maintenir le Xinxing

J'avais un chapeau qui était le même que le chapeau d'une autre camarade de classe. Un jour, cette camarade de classe ne trouvait pas son chapeau et m'a accusé de l'avoir volé. À ce moment, j'ai réalisé que j'étais une pratiquante et je n'ai pas été troublée. Un moment plus tard, la camarade de classe a trouvé son chapeau dans son bureau et m'a fait des excuses. J'ai souri et lui ai dit : « Pas de problème. »

Juste au moment où cette accusation finissait, un autre camarade de classe m'a insultée : « Comment peux-tu voler mon stylo ? » J'ai dit : « Tu as perdu ton stylo ? Prend le mien. » Ce camarade de classe a pris mon stylo et est retourné à sa place. Il a constaté que son stylo était dans son sac. Il était très embarrassé et m'a présenté ses excuses. J'ai souri et j'ai dit : « C'est bon. » Je l'ai vu rougir pour la première fois. Il n'avait jamais rougi, même quand il était insulté par d'autres personnes. Mais cette fois, son visage était tout rouge. Après cela, il me respectait. Un jour, alors que nous jouions à un jeu, je l'ai persuadé de quitter les Jeunes Pionniers du Parti communiste chinois (PCC).

Une fois, je jouais à la corde à sauter avec quelques camarades de classe. Un garçon est venu, m'a tenu et secoué vigoureusement la tête. Je l'ai repoussé doucement. Le garçon était agacé et a commencé à m'insulter et à me frapper. J'ai tout de suite réalisé que j'étais une pratiquante et que je ne devais pas riposter quand je suis frappée ou insultée. Le garçon m'a traînée dans un coin de l'immeuble, m'a poussée par terre et m'a frappée à coups de pied dans le ventre, à la poitrine et au visage. Ce garçon avait pris des leçons de karaté et était connu pour se battre à l'école. Il se battait souvent avec les autres. Une fois, il a battu un camarade de classe jusqu'au coma. Heureusement que j'étais protégée par le Maître ; je n'avais que quelques rougeurs au visage et à la poitrine. Le garçon n'a pas arrêté de me frapper jusqu'à ce que mon professeur de classe arrive.

C'est la plus grande insulte que j'aie jamais reçu. Même si je n'ai rien dit, j'ai senti la douleur là où j'ai été frappée. Le professeur et mes camarades de classe ont tous pensé que c'était injuste pour moi, ce qui m'a angoissée davantage. En même temps, je savais que c'était une tribulation que je devais surmonter.

Je suis rentrée chez moi à midi et j'ai raconté mon angoisse à ma mère. Ma mère a dit : « Rien n'est une coïncidence. Regarde à l'intérieur pour voir : 'Y a-t-il quelque chose que je n'ai pas bien fait ? Ou bien ai-je passé trop de temps à jouer ? » Ma mère a récité le poème du Maître, Ce qu'est le Ren (dans Points essentiels pour un avancement diligent) Je ne pouvais pas m’arrêter de pleurer.

J'ai pris un livre de Dafa et j'ai ouvert le livre. Un paragraphe du Fa a attiré mon attention :

« Tant que vous cultivez votre xinxing, vous comportez comme un vrai pratiquant et agissez comme tel dans la société des gens ordinaires, votre gong s'accroîtra. » (« Enseignement de Fa à la cérémonie du lancement du livre Zhuan Falun à Beijing » dans Zhuan Falun Fajie - Le Fa du Zhuan Falun expliqué)

Le Fa m'a réveillé. À cet instant, tout mon désespoir et ma douleur se sont évanouis. On aurait dit que rien ne s'était passé. Je suis retournée à l'école l'après-midi et j'ai senti que j'étais une personne complètement différente de celle du matin.

En fait, je n'ai pas riposté parce que j'étais incapable de le faire. En tant que pratiquante, je sais que j'ai des pouvoirs surnaturels. Je n'ai pas riposté parce que je voulais préserver mon xinxing. Un jour, j'ai involontairement révélé mon pouvoir surnaturel devant un camarade de classe.

Voici ce qui s'est passé : Un de mes camarades de classe était grand et potelé ; il avait l'air d'un adulte. Il pouvait me soulever au-dessus de sa tête. Un jour, il s'est précipité vers moi et a crié : « Tu vas mourir ! » J'ai fait inconsciemment le mouvement de l'exercice « Vajra renverse une montagne » et lui ai dit : « Vajra renverse une montagne. » Étonnamment, mon camarade de classe semblait avoir rencontré un grand coup de vent et est tombé sur le dos. Il avait mal et a crié : « Quel art martial pratiques-tu ? Pourquoi est-il si puissant ? »

J'ai eu une expérience un soir au mois de mai, au moment d'émettre la pensée droite mondialement. Juste après m’être assise, j'ai vu une énorme boule noire dans le ciel. La boule noire était aussi grande que le ciel. Il y avait de grands corbeaux qui volaient constamment hors de la balle et se dirigeaient vers moi. J'ai continué à émettre la pensée droite. Il y avait tout simplement trop de corbeaux à devoir être éliminés et ils avaient l'air horrible.

Une pensée m'est venue immédiatement à l'esprit : « Seul le Maître peut m'aider. » En une seconde, le Maître m'a envoyé un dragon et deux phénix en or. Le dragon d'or était autour de moi et les deux phénix d'or se sont assis sur mes épaules gauche et droite. Ils ont commencé à avaler les corbeaux. En un instant, le ciel était clair à nouveau.

Le lendemain, j'ai raconté à ma mère et à ma grand-mère ce que j'avais vécu. Toutes trois nous avons émis ensemble les pensées droites. J'ai vu de nouveau cette boule noire, qui était encore plus grande. Soudain, un couteau géant a volé dans le ciel et coupé la boule noire en deux moitiés. Il y avait un dragon rouge et un gros crapaud à l'intérieur. Ces deux monstres se sont réveillés. Ils se sont précipités vers moi. J'ai demandé l'aide des compagnons de pratique dans le monde entier. Beaucoup de dragons d'or se sont envolés des mains des pratiquants. Ces dragons d'or ont lancé du feu de leurs bouches vers les deux monstres, qui se sont calcinés en cendres. La boule noire a également été éliminée. Tous les corbeaux noirs se sont réfugiés dans l'étendard sanglant du PCC.

Le troisième jour, nous avons de nouveau émis les pensées droites. Juste après m’être assise, j'ai vu la scène du drapeau sanglant du PCC : c'était plein de corbeaux qui entouraient un œuf de corbeau géant. L’œuf de corbeau était aussi grand que quatre grands bâtiments. Tous les corbeaux émettaient leur énergie maléfique dans l'œuf. Les cinq étoiles sur le drapeau sanglant étaient cinq bourreaux qui aimaient manger le cœur et le foie des humains. Ils attrapaient ceux qui n'avaient pas fait les « trois démissions », sortaient leurs cœurs, les mangeaient et donnaient les restes aux corbeaux.

Un jour en mai, un professeur parlait de l'histoire du PCC. Je ne voulais pas entendre et j'ai commencé à émettre les pensées droites. J'ai récité : « Le Fa rectifie l'univers ; la perversité est complètement éliminée. » Juste après avoir prononcé le mot « éliminer », « Bam », un drapeau du PCC qui pendait au-dessus du podium est tombé et a frappé le professeur, le faisant tomber assis sur une chaise.

4. Convaincre les gens à faire les « trois démissions » et sauver les êtres

Un jour, je jouais à un jeu appelé « Voleur de banque » avec un camarade de classe. Celui qui gagne a le droit de « tuer l'autre ». Je gagnais toujours la partie, mais je n'ai jamais dit : « Je te tue », à la place j'inventais un jingle : « Va dans la rue, persuade les gens à faire les 'trois démissions', et les gens démissionnent l'un après l'autre. » Mon camarade de classe a demandé : « Qu'est-ce que tu dis ? Qu'est-ce que c'est : les 'trois démissions'. » «J'ai dit : « Quitter le Parti communiste, la Ligue de la Jeunesse communiste et la Ligue des Jeunes Pionniers. Toute personne qui démissionne aura un bel avenir. » Mon camarade de classe a dit tout de suite : « J'en ai entendu parler, mais je n'ai pas démissionné. » J'ai dit : « Puis-je t'aider à démissionner. » Il a répondu : « Certainement. »

Un jour, une fille dans ma classe se parlait à elle-même pendant un cours de musique. Le professeur de musique l'a punie en la faisant se tenir debout en dehors de la classe. La jeune fille était bouleversée et pleurait. Je l'ai rassurée en disant : « Aujourd'hui, la moralité des gens est corrompue ; les enseignants n'ont pas d'amour envers nous. C'est dû à la culture du Parti et au lavage de cerveau par le PCC. Nous sommes tous les victimes du PCC. Maintenant, les gens veulent tous quitter le PCC et ses organisations affiliées. Tu dois quitter les Jeunes Pionniers. » Nous n'avons pas remarqué que la mère de la jeune fille était à proximité et écoutait notre conversation. Sa mère m'a dit : « Ma chère enfant, je veux démissionner aussi. » Il y avait une autre fille qui était avec nous et elle voulait aussi quitter les Jeunes Pionniers après avoir écouté notre conversation.

Une année, ma mère a été persécutée par le PCC. Mes parents ont alors divorcé. J'étais déprimée, j'avais perdu tout intérêt à étudier à l'école et je n'aimais pas étudier le Fa. Une fois, je n'ai pas terminé mes devoirs. Une enseignante a réuni quelques garçons et voulait qu'ils m'enlèvent mon pantalon devant la classe. J'ai pleuré bruyamment et j'ai tenu mon pantalon serré. Pour finir, ils ne pouvaient pas le faire. Mais je me suis sentie profondément insultée par tout cela.

À la maison, tout en pleurant, j'ai raconté à ma mère ce qui s'était passé à l'école et je lui ai dit que je ne voulais plus aller à l'école. Ma grand-mère l'a aussi appris. Ma mère et ma grand-mère sont allées voir ce professeur et lui ont dit calmement : « Nous avons appris l'incident qui s'est produit avec notre enfant. Nous ne sommes pas d'accord avec la façon dont vous avez réagi. L'enfant a pleuré. Ça lui a fait tellement mal. Nous sommes toutes des pratiquantes qui croyons dans l'Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Nous voulons simplement vous soulignez gentiment que vous avez eu tort. Nous avons toutes été éduquées dans la culture du PCC et comprenons qu'il n'y a pas de meilleure façon d'éduquer les enfants dans ces circonstances. Nous espérons seulement que vous ne ferez pas cela à un autre enfant. »

Après avoir entendu ce que ma mère lui a dit, l'enseignante s'est rendu compte que ce qu'elle avait fait était mal et s'est excusée. Nous lui avons parlé des « trois démissions », de la culture du parti pervers et de la persécution du Falun Dafa. Elle était d'accord avec nos propos et a quitté la Ligue de la Jeunesse communiste. Par la suite, elle était bienveillante envers les élèves.

Plus tard, l'école lui a demandé de rejoindre le PCC, mais elle a refusé. Cependant, l'école a insisté sur son adhésion au parti et elle a dû s'y joindre contre sa volonté. Une fois, elle a dit à toute la classe : « Après le secondaire, vous serez confronté à rejoindre la Ligue de la Jeunesse communiste ou pire encore à rejoindre le PCC. » Plus tard, j'ai calmement demandé au professeur : « Madame, avez-vous rejoint le PCC ? », elle a dit : « J'ai démissionné en écrivant ma proclamation sur un billet de banque. Votre maman, toi et moi sommes les seules à le savoir. » Nous nous sommes souri en nous regardant.

La rectification de Fa n'est pas terminée. Dans le futur, il y aura d'autres histoires de cultivation encore plus intéressantes.

Traduit de l'anglais au Canada