(Minghui.org) Le Parti communiste chinois a continué de persécuter le Falun Gong dans la première moitié de 2016, avec 4892 personnes arrêtées et 1939 harcelées en raison de leur croyance dans la discipline spirituelle basée sur le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

Cinq des pratiquants de Falun Gong ciblés sont morts en quelques heures ou semaines après leur arrestation ou en raison du harcèlement par les autorités.

Alors que 1882 (38,5% des 4892 pratiquants arrêtés) ont été libérés, les pratiquants restants sont détenus dans divers centres de détention ou des centres de lavage de cerveau. Certains ont été formellement arrêtés et inculpés.

On a demandé à ceux qui ont été harcelés de signer des déclarations de renonciation au Falun Gong ou ont eu leur information biométrique prise de force. Beaucoup ont également été placés sous surveillance policière constante. Certains pratiquants ont été rétrogradés ou suspendus de leur travail pour avoir refusé de se conformer aux autorités. Quelques-uns sont même allés se cacher pour éviter d'être arrêtés.

Les membres des familles des pratiquants ont été également soumis à des menaces constantes et de l'intimidation de la part des autorités. Alors que certains on eu le courage de soutenir les pratiquants de leurs familles, d'autres ont cédé sous la pression et ont fait tout leur possible pour essayer d'empêcher les pratiquants de pratiquer le Falun Gong. Certaines familles ont été brisées à la suite de ces événements, avec des couples qui divorcent ou des enfants qui coupent les liens avec leurs parents.

Cinq sont décédés peu après avoir été arrêtés ou harcelés.

Parmi les pratiquants touchés, cinq sont décédés peu de temps après avoir été arrêtés ou harcelés.

Une femme du Henan meurt quelques heures après son arrestation

Mme Wang Xiuyun âgée dans les soixante-dix ans réside dans la province du Hunan. Elle a été arrêtée le 13 mai de cette année pour avoir déposé plainte contre Jiang Zemin. Elle est morte quelques heures après son arrestation, et la police n'a donné aucune explication au sujet de sa mort à sa famille.

M. Li Yuqin, âgé de 68 ans, originaire de Shanghai, est mort 17 heures après que la police a mis sa maison en état de siège et coupé l'eau et l'électricité. Il avait fait une chute quelques jours plus tôt et était encore cloué au lit quand la police est venue pour harceler sa famille aux environs de 10 heures le 19 janvier de cette année. La police a ordonné de leur couper l'accès à l'eau et à l'électricité après avoir échoué à ouvrir la porte en la forçant.

Traumatisés par ce qui se passait, M. Li s'est évanoui cet après-midi-là. Sa femme et ses enfants ont imploré la police de leur rétablir l'eau et l'électricité, mais la police a refusé.

La police n'a autorisé personne à quitter la maison. Toute attention médicale ayant été refusée, M. Li est décédé vers environ 3 heures le lendemain.

Le cauchemar d'une adolescente : sa mère toujours détenue, son père meurt en garde à vue

M. Gao Yixi de la province du Heilongjiang est mort dix jours après que lui et sa femme ont été arrêtés en raison de leur croyance le 19 avril 2016. Selon sa famille qui a vu son corps, sa poitrine ressortait et son abdomen était fortement enfoncé. Il y avait des marques de menottes sur ses poignets. Il avait 45 ans.

Sa mère étant toujours en détention, l'adolescente du couple a quitté l'école pour demander justice pour ses parents.

Deux frères meurent en garde à vue à trois ans d’intervalle

M. Yang Zhongsheng est mort dans les onze jours suivant son arrestation le 10 avril 2016 en raison de sa pratique du Falun Gong. Seulement trois ans plus tôt, son frère aîné M. Yang Zhonggeng avait été battu à mort, aussi pour avoir refusé de renoncer au Falun Gong.

Originaire de la ville de Ruian, province du Zhejiang, les frères Yang travaillaient dans la ville de Zhengzhou, province du Henan, où ils ont tous deux perdu la vie à l'âge de 38 ans pour avoir exercé leur droit constitutionnel à la liberté de croyance.

Une femme du Hebei meurt deux mois après son arrestation

Mme Yan Guoyan de la province du Hebei a été arrêtée le 15 janvier 2016 pour avoir déposé une poursuite judiciaire contre Jiang Zemin. Le directeur du centre de lavage de cerveau local a appelé sa famille le 2 février, leur ordonnant d'avoir sur eux 1500 yuans avant de passer la prendre. Sa famille l'a vu couchée dans son lit et elle paraissait très faible. Elle est morte à la maison le 13 mars.

42 autres cas de décès

Le premier semestre de 2016 a également vu la mort de 42 autres pratiquants de Falun Gong qui ont été arrêtés dans les années antérieures. Ils sont morts à la suite de la torture pendant leur détention ou de harcèlement par la police pendant une longue période.

Ci-dessous la liste complète des 47 cas de décès qui ont eu lieu dans la première moitié de 2016.

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Les pratiquants dans toute la Chine sont ciblés

Les 4892 pratiquants arrêtés viennent de toute la Chine, couvrant presque toutes les provinces et municipalités contrôlées par le pouvoir central. La province du Shandong a eu le plus d'arrestations (968 : 19,8%), suivie du Liaoning (574 : 11,7%), Hebei (422 : 8,6%), du Heilongjiang (369 : 7,5%) et du Jilin (31 :, 6,4%).

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Les 1939 cas de harcèlement sont également dispersées à travers le pays, avec la province du Shandong en tête de liste avec 577 cas de harcèlement, suivie du Hebei (383) et du Sichuan (120). Dix-neuf autres provinces ont enregistré des cas de harcèlement à deux chiffres, tandis que les 7 autres provinces ont enregistré des cas à un seul chiffre.

Les pratiquants concernés comprennent des personnes de tous les horizons, y compris des professeurs d'université, des étudiants, des médecins, des ingénieurs, des comptables et des entrepreneurs.

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Mécanismes déclenchant des arrestations immédiates

Parmi ces pratiquants, 682 (13,9%) ont été arrêtés pour avoir déposé plainte contre l'ancien dirigeant du Parti communiste Jiang Zemin, qui a ordonné la persécution du Falun Gong en 1999.

D'autres ont été signalés ou capturés par la police pour avoir distribué des informations sur la persécution, ou arrêtés lors de rassemblements de pratiquants.

Arrestations de groupe

Beaucoup de pratiquants de Falun Gong sont sur des listes noires de la police et sont surveillés dans leur vie quotidienne. Ils sont souvent arrêtés quand ils rencontrent d'autres pratiquants.

Le 21 janvier 2016, une dizaine de pratiquants à Pékin ont été arrêtés lors d'un rassemblement. Ils ont été détenus au poste de police avant d'être transférés au centre de détention de Tongzhou. Seul, un pratiquant a été libéré sous caution.

Le 10 mai 2016, onze pratiquants de Xianyang, province du Shaanxi, ont été arrêtés pendant qu'ils lisaient des livres de Falun Gong ensemble. Les policiers les ont détenus une nuit au poste de police. Six pratiquants ont été libérés le lendemain matin et cinq sont restés en garde à vue.

Arrêtés à de nombreuses reprises et persécutés

Parmi ceux qui ont été ciblés pour leur foi dans la première moitié de 2016, certains ont été persécutés à de nombreuses reprises au cours des 17 dernières années.

M. Yang Dexin, âgé de 48 ans, du canton de Wanzai, province du Jiangxi, a été arrêté quand il a rendu visite à sa mère âgée de 80 ans, le 27 février 2016. Depuis que le régime communiste a commencé sa campagne contre le Falun Gong en 1999, M. Yang a été illégalement détenu pendant plus de dix ans, dont trois ans dans un camp de travaux forcés et plus de sept ans en prison.

M. Teng Shijun, de Tumen, province du Jilin, a été arrêté à son domicile le 12 mai 2016, après huit ans d'errance pour échapper à la persécution. Avant sa dernière arrestation, il avait été arrêté à de nombreuses reprises, condamné à un camp de travail deux fois et détenu dans un centre de lavage de cerveau trois fois. Il a été brutalement torturé pour avoir refusé de renoncer à sa croyance dans le Falun Gong.

Pour échapper à davantage de harcèlement, il s'est trouvé dans l'obligation de quitter son domicile et de vivre dans la rue après sa dernière libération du camp de travail en 2008. Huit ans plus tard, il a été arrêté une fois de plus. Il est actuellement en liberté sous caution en raison de son hypertension.

M. Qin Wei, un artiste de Pékin, a été arrêté pour la huitième fois le 18 mai 2016 alors qu'il distribuait des commentaires critiquant le Parti communiste chinois. Il est actuellement détenu et accusé d'« utiliser une secte pour saper l'application de la loi ». Avant cela, il avait été emprisonné pendant cinq ans et demi à cause de sa croyance. Il a été électrocuté sur le visage avec des matraques électriques, privé de sommeil pendant des mois et soumis à d'autres formes de torture.

Brutalité policière pendant l'arrestation

La police a souvent utilisé la force brutale et la violence en arrêtant des pratiquants. Les membres des familles qui sont des non-pratiquants ont également été impliqués dans de nombreux cas.

Mme Liu Gexin, une pratiquante de Pékin, a été signalée à la police pour avoir parlé du Falun Gong aux gens. Alors que la police arrêtait Mme Liu, le fourgon de police a frappé son petit garçon de 4 ans, Xiaoyu, lui laissant des bleus sur le visage, le genou et le bras

La mère et le fils ont tous deux été emmenés au poste de police le 3 juin. Alors que Mme Liu a été interrogée, le petit garçon a été emmené dans une autre pièce et interrogé sur le travail de ses parents, leur pratique du Falun Gong et où ils vivaient.

Le garçon de 4 ans a été ramené à la maison par sa famille après 36 heures de détention terrifiante. Sa mère a été détenue en garde à vue pendant un mois et libérée le 4 juillet.

Dans un autre cas, Mme Yuan Liqin, âgée de 81 ans, a été agrippée par le policier Lei Shaowei et jetée au sol quand elle s'est rendue au poste de police pour demander la libération de son fils et de sa fille, qui ont été arrêtés le 10 mai 2016 avec neuf autres pratiquants de Falun Gong.

Luttant pour se lever, Mme Yuan a attrapé la jambe de Lei. Lei l'a agrippée et lui a asséné un coup de pied à nouveau, blessant gravement le ventre de Mme Yuan. Elle a été incapable de redresser son dos pendant des jours et avait de la difficulté à se tenir debout et à s'asseoir.

Mme Yuan Liqin, âgée de 81 ans, a été jetée à terre et frappée par des policiers, ce qui lui a entraîné de graves blessures au ventre.

Arrestations autour des « jours sensibles »

En vertu de la soi-disant « politique Weiwen », qui, pour le Parti, se réfère au « maintien de la stabilité », la police accentue souvent son harcèlement et les arrestations de pratiquants de Falun Gong autour des dates politiquement sensibles, telles que les réunions du Congrès populaire national, les grands événements sportifs majeurs ou les anniversaires liés au Falun Gong.

M. Zhao Ming, âgé de 56 ans, un dentiste de la ville de Hengshui, province du Hebei, a été arrêté le 11 mars et détenu dans le centre de détention de Hengshui pendant plus d'un mois au cours des sessions plénières annuelles de l'Assemblée populaire nationale (APN) et au cours de la Conférence consultative politique du peuple chinois (CCPPC).

M. Zhao a peut-être été mis sur une liste noire par le Bureau 610 pour avoir déposé plainte contre Jiang Zemin pour le lancement de la persécution du Falun Gong en 1999.

Être placé en résidence surveillée sans eau et sans électricité

Lorsque les pratiquants refusent de coopérer avec la police, les policiers placent les pratiquants en résidence surveillée et leur coupent l'eau, l'électricité et l’accès à d'autres services de base.

Dans le cas de Mme Wang Wenjun, vingt policiers se sont relayés pour la surveiller chez elle pendant cinq jours à partir du 23 mars 2016, après qu'elle a refusé de se rendre au poste de police pour un entretien. La police lui a fermé l'électricité et le gaz, a empêché toutes les livraisons d'épicerie et d'eau et a refusé de permettre à quiconque de la voir.

Détentions arbitraires

Bien que certains pratiquants sont relâchés peu après leur arrestation, une grande partie d'entre eux sont gardés en détention, parfois pendant des mois ou des années, bien que la durée de détention autorisée par la loi ait expiré depuis longtemps.

Dans la province du Hebei, onze pratiquants ont été arrêtés pour avoir déposé des plaintes contre Jiang Zemin entre le 14 et le 20 janvier 2016. Quand la limite de 15 jours de détention provisoire a expiré, la police a quand même refusé de les libérer, sauf s'ils acceptaient d'écrire une déclaration de renonciation à leur croyance et que leurs familles payaient des amendes et leurs frais de repas.

Le 14 juin 2016, M. Wang Zhongxian, de la ville de Yantai, province du Shandong, s'est rendu à la prison pour aller chercher son épouse, Mme Wang Haohong, qui avait été emprisonnée pendant sept ans. Au lieu de rentrer à la maison avec sa femme, M. Wang a été arrêté et détenu dans le centre de lavage de cerveau de Ling'nan. Il a été transféré au centre de détention de Zhaoyuan le 21 juin et les visites familiales ont été refusées.

Quand sa famille s'est rendue à la Division de la sécurité intérieure le 5 août pour demander sa libération, on leur a dit que M. Wang avait été transféré au centre de lavage de cerveau de Linglong. On ne sait pas où il se trouve actuellement.

Mauvais traitements en détention

Beaucoup de pratiquants ont été brutalisés et torturés pendant leur détention pour ne pas avoir abandonné leur croyance.

Trois pratiquants de Falun Gong qui ont récemment à laquelle ils ont été soumis là-bas, y compris les coups constants, les bras attachés avec des sangles de contention et l'utilisation restreinte des toilettes. Les gardes les ont aussi forcés à prendre des douches glacées et à porter des sous-vêtements mouillés, malgré un temps glacial à Pékin et le manque de chauffage dans leurs cellules.

D'autres tortures physiques souvent infligées aux pratiquants de Falun Gong en détention comprennent être suspendu, la privation de sommeil, être électrocuté avec des matraques électriques et le gavage.

En plus de la torture physique, il y a aussi des cas où des policiers injectent de force des drogues inconnues aux pratiquants, causant divers symptômes, y compris l'atrophie musculaire, des troubles de la vision, des pertes de mémoire et la perte de poids.

M. Zheng Kaiyuan, âgé de 78 ans, un enseignant à la retraite du district de Hechuan, Chongqing, a été arrêté le 12 juin et emmené au centre de lavage de cerveau de Wuzun par des agents du Bureau 610 local.

Quand il a fait une grève de la faim pour protester contre les mauvais traitements, les policiers lui ont prélevé du sang et injecté des drogues inconnues autour du foie et de la rate. Peu après, il a éprouvé de l'atrophie musculaire et une douleur de très longue durée dans l'ensemble du corps. Il est maintenant alité, extrêmement maigre et limité à un régime liquide.

Prélèvements forcés de sang et d'échantillons d'ADN

En 2014, la police dans les provinces du Guizhou, du Sichuan, du Liaoning et du Hebei ont commencé à prélever de force du sang et à recueillir des échantillons d'ADN sur des pratiquants chez eux ou lors de leurs arrestations. Certains policiers ont mentionné l'établissement d'une base de données d'ADN des pratiquants.

Les prélèvements forcés de sang ont continué en 2016. En plus des provinces mentionnées ci-dessus, les pratiquants des provinces du Shandong, du Hubei, du Guangdong, de Chongqing, de Pékin, du Jiangsu ont tous rapporté que la police leur avait prélevé du sang.

Dans la province du Sichuan, huit pratiquants ont été arrêtés pour avoir poursuivi Jiang Zemin en justice et on leur a prélevé du sang au poste de police le 23 juin 2016.

Mme Mao Huilan de la province du Hubei, a été arrêtée le 25 février 2016, pendant qu'elle distribuait des dépliants d'information sur le Falun Gong. La police l'a prise en photo et a pris de force ses empreintes digitales et un échantillon de sang avant de la laisser rentrer à la maison.

Mme Liao Yuan de la province du Guizhou, était en train de rentrer chez elle vers midi le 16 mars quand un homme l'a approchée et a commencé une conversation à propos de la démolition dans son secteur.

Quand ils étaient près de chez elle, la policière Han Liping est apparue et a poussé Mme Liao contre un mur. Elle a retenu Mme Liao avec ses bras et ses genoux, et a crié à l'homme de la piquer avec une aiguille rapidement. Il a enfoncé l'aiguille dans sa main à sept reprises. Après avoir recueilli des échantillons de sang, ils l'ont libérée et se sont enfuis.

Pénalités financières

« Ruiner leur réputation, les détruire physiquement et les ruiner financièrement » étaient les directives de Jiang Zemin contre le Falun Gong quand il a lancé la campagne de persécution en 1999.

En conséquence, couper les ressources financières des pratiquants et parfois des membres de leur famille est une autre méthode que les fonctionnaires du Parti communiste utilisent souvent dans la persécution. Cela inclut l'extorsion, la saisie de biens personnels au moment de la mise à sac des domiciles des pratiquants, le licenciement du travail ou de l'école, la rétrogradation, la retenue de salaire, des pensions, ou même des aides financières pour les faibles revenus.

Domicile saccagé et extorsion

Quand ils saccagent les domiciles des pratiquants, les policiers saisissent souvent leurs objets de valeur, y compris les bijoux, l'argent, et les dépôts bancaires. L'argent confisqué ou extorqué des pratiquants par la police dans la première moitié de 2016 s'est élevé à près de deux millions de yuans.

Dans le cas de M. Zhang Jingquan et Mme Liu Jinru de la ville de Siping, province du Jilin, la police a confisqué 168 000 yuans en espèces et d'autres objets de valeur, tels que les ordinateurs, les téléphones cellulaires et même une moto, lors de leur arrestation le 16 juin 2016.

À Jinzhou, province du Liaoning, les agents du Bureau 610 ont extorqué entre 50 000 et 80 000 yuans aux familles des pratiquants, qui craignent que leurs proches soient torturés en détention. Les familles des deux pratiquants Chen Youbin et Wang Ping ont payé d'énormes sommes d'argent en échange de leur libération.

Punition financière

Pour pénaliser les 14 personnes locales qui ont déposé des plaintes pénales contre Jiang Zemin, le « Bureau 610 » du canton de Duolun, Mongolie intérieure, a rendu une ordonnance le 18 avril, par laquelle deux pratiquants ont reçu des réductions de salaire, deux ont été rétrogradés, deux ont été congédiés de leur lieu de travail et on a arrêté de verser la pension de huit pratiquants à la retraite.

Admission dans une école refusée

M. Guo Jiayu, un jeune diplômé universitaire de l'Université des Sciences et Technologies de Chine, s'est vu refuser l'admission à l'école d'études supérieures de son alma mater en janvier 2016, suite à des pressions exercées par les autorités locales. Il a fait appel de la décision, mais sans succès.

Voir aussi en chinois : 明慧报告-2016

Traduit de l'anglais au Canada