(Minghui.org) Il y a quelques jours, je présentais les symptômes de la grippe et des problèmes d’estomac, y compris une forte fièvre, des vomissements et de la diarrhée. J’étais très faible et je n’avais plus du tout d’appétit. Je suis allé aux toilettes environ vingt fois par jour et j’ai perdu trois kilos. J’avais particulièrement la nausée quand je regardais des mangues, qui étaient ma nourriture préférée, mais maintenant je manifestais une forte aversion envers elles. Cette aversion m’est venue du fond du cœur.
Lors de l’étude du Fa, j’ai lu le paragraphe suivant :
« Un jour ou même aujourd’hui après mon cours, certains d’entre vous se trouveront dans l’état suivant : ils ne pourront plus manger de viande, l’odeur de la viande leur paraîtra nauséabonde, s’ils en mangent, ils auront envie de vomir. Ce n’est pas que quelqu’un vous contrôle et vous empêche d’en manger ou que vous-même vous vous reteniez d’en manger, cela vient plutôt du fond du cœur. Parvenu à un tel niveau, vous ne pourrez plus en manger, c’est une manifestation des effets du gong, au point que si vous en avalez malgré tout, vous allez sûrement vomir. » (Septième Leçon, Zhuan Falun)
Les mots « cela vient plutôt du fond du cœur » se sont détachés, comme s’ils avaient été agrandis. Chaque mot m’a touché au cœur. J’ai lu le Zhuan Falun maintes fois, mais je n’avais pas accordé beaucoup d’attention à ce paragraphe. Mais cela s’est vraiment passé comme cela. Quand je ne voulais pas manger de mangue, ce sentiment m’est vraiment venu du fond du cœur. Je n’en avais absolument aucune envie. Ce n’était pas forcé et je n’avais aucune lutte à l’esprit pour décider ou pas de manger des mangues.
Pourquoi le Maître (le fondateur du Falun Dafa) a-t-il fait que ces mots ressortent pour moi ? J’ai réalisé que le Maître me rappelait que le désir de me cultiver devait venir de l’intérieur.
Un élève qui souhaite bien étudier du fond du cœur sera motivé et endurera volontairement et pro-activement, les difficultés de l’éducation. Il chérira son temps et progressera avec diligence. Sans cette forte volonté, un élève ne serait pas capable de réaliser de véritables progrès, quelque soit la façon dont ses professeurs pourraient enseigner ou à quel point ses parents sont stricts.
Quand un pratiquant souhaite vraiment cultiver du fond du cœur le Falun Dafa, il respecte le Maître et Dafa du fond du cœur, il est prêt à supporter les difficultés avec joie et à faire de son mieux dans la cultivation.
La passion vient du fond du cœur, ce qui est essentiel pour un pratiquant. C’est la nature de Bouddha, donc cela peut ébranler le monde dans toutes les directions et inviter les Éveillés à l’aider et à le protéger. Rester ferme dans cette volonté, c’est rester ferme avec une pensée droite née de la nature de Bouddha. Cela lui permet de vaincre les tentations des démons, de surmonter les obstacles et d’atteindre la plénitude parfaite. Un pratiquant doit rester ferme avec une pensée droite.
En étudiant le Fa, nous ne pouvons voir le Fa de Bouddha que si nous voulons sincèrement nous cultiver. La vraie signification du Fa de Bouddha ne peut être révélée qu’aux vrais pratiquants. En émettant la pensée droite, notre pouvoir divin ne peut fonctionner que si nous voulons sincèrement éliminer les forces anciennes. En parlant du Falun Dafa aux gens, nous ne pouvons toucher leurs cœurs que si nous nous soucions sincèrement d’eux dans notre cœur. Nous ne pouvons corriger nos actions incorrectes que si nous regrettons sincèrement nos erreurs. Sans un souhait sincère, les mots seraient superficiels.
Nous, pratiquants de Falun Dafa, avons fait le vœu sincère du fond du cœur de suivre le Maître et de pratiquer et cultiver diligemment quand nous avons commencé notre cultivation. C’est une pensée droite que nous devrions garder à l’esprit. Si quelqu’un perd cette pensée droite, il pourrait être facilement induit en erreur par ses attachements et ses désirs, vaciller dans sa croyance et probablement s’éloigner de plus en plus de son chemin de cultivation.
La raison pour laquelle nous n’avons pas bien fait quelque chose, c’est parce que nous avons oublié notre vœu initial et que nous avons perdu notre pensée droite. Lorsque la nature de Bouddha est perdue, seules restent les conceptions humaines. Nos objectifs deviennent ordinaires, pas divins. Un corps humain avec des conceptions humaines ne pourra pas supporter beaucoup de difficultés et n’aura pas de pouvoir divin, et sera encore moins capable de sauver d’autres personnes.
Retrouvons aujourd’hui notre vœu initial, maintenons notre nature de Bouddha et avançons avec diligence dans la cultivation !
Traduit de l’anglais en Suisse
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