Garder un Xinxing stable et valider Dafa dans un centre de détention

(Minghui.org)

Ne pas coopérer avec les policiers et leur expliquer les faits

Au cours de l'hiver 2018, lorsque j'ai visité une autre ville pour parler des faits à propos du Falun Dafa, quelqu'un m'a signalé et j'ai été conduit à un poste de police local.

J'ai compris que ce n'était pas un accident que quelque chose comme ça m'arrive. J'ai presque 70 ans et je pratique le Falun Dafa depuis 1997, donc je me suis dit qu'il devait y avoir des attachements que je n'avais pas éliminés et qui étaient utilisés par les forces anciennes.

Je savais, fondamentalement, que le Maître ne reconnaîtrait pas un tel acte de persécution, alors j'étais déterminé à ne pas le reconnaître non plus. Le Maître s'occupe de moi.

Toutes mes conceptions humaines seront rectifiées par le Fa. Personne d'autre n'a le droit de contrôler les pratiquants pendant la période de rectification de Fa. Celui qui le fait commet un crime.

La police m'a interrogé et voulait savoir qui j'étais. J'ai refusé de coopérer. Ils m'ont crié dessus, mais je n'ai pas eu peur. Mon cœur n'a pas été ému.

Ils ont trouvé mes informations grâce à une technologie avancée. Ils ont fouillé ma maison et ont pris mon ordinateur portable, un livre de Dafa et des documents pour expliquer les faits à propos de Dafa.

Puis ils m'ont ordonné de signer le rapport d'interrogatoire, ce que j'ai refusé de faire. J'ai été détenu dans une pièce avec deux jeunes policiers.

L'un d'eux a dit : « Tu es obligé de coopérer avec la police, tu sais. Tu ne l'as pas fait, ce qui n'est pas bien. »

J'ai répondu : « Selon la loi, je suis d'accord. Cependant, Jiang Zemin et le Parti communiste chinois (PCC) persécutent les pratiquants de Falun Dafa depuis vingt ans. Il n'y a pas de base légale pour le faire, parce que le Falun Dafa enseigne aux gens à être bons, à être des membres responsables de la société. Quels crimes commettent-ils ? Selon nos lois, nous avons la liberté de croyance, la liberté d'expression, et ainsi de suite.

« L'article 300 du Code pénal, “Utilisation d'une organisation sectaire pour miner l'application de la loi”, ne devrait pas être utilisé pour inculper les pratiquants, car il n'a aucun lien avec cette situation. Je ne suis qu'un citoyen ordinaire : comment pourrais-je miner l'application de la loi ?

« De plus, c'est une bonne chose que je ne coopère pas avec vous. Si quelqu'un est condamné à tort, vous serez tenu légalement pour responsable tôt ou tard. »

Ils m'ont regardé attentivement quand j'ai dit : « Sérieusement, le Falun Dafa est la loi du Bouddha, et c'est un grand péché de ne pas la respecter et de persécuter ceux qui la pratiquent. Commettre un tel crime entraînera un karma sans fin qui affectera aussi la descendance du coupable. J'espère que vous y réfléchirez. »

J'ai aussi parlé de ce qu'est vraiment le PCC et comment, à travers ses nombreux mouvements politiques, il a persécuté tant de personnes et détruit le sens du bien et du mal des gens.

Je leur ai raconté comment le PCC et Jiang Zemin avaient terni et sali le Falun Dafa avec leur calomnie et la fausse histoire desauto-immolations de Tiananmen, trompant des millions de personnes qui détestent maintenant le Falun Dafa et qui pourraient être vouées à un destin funeste.

Cette nuit-là, quatre policiers m'ont menotté et m'ont emmené à l'hôpital pour un examen médical.

Quand ils ont obtenu les résultats, un agent les a regardés et a dit aux trois autres : « Regardez ça. Tout est normal, même son cœur. Il est en aussi bonne santé qu'un homme d'une vingtaine d'années ! »

Ils ont tous regardé les résultats et m'ont regardé avec étonnement et un peu d'incrédulité. Je leur ai dit que j'étais en bonne santé parce que je pratiquais le Falun Dafa.

Ils étaient tous abasourdis. Cette preuve concrète de l'extraordinaire pouvoir de Dafa a changé leur attitude et ils sont devenus plus réceptifs.

Sur le chemin du centre de détention, c'était calme dans la voiture de police, ce qui m'a donné une bonne occasion de leur parler des faits à propos du Falun Dafa.

Je leur ai dit que, quoi qu'il arrive, je ne les détestais pas personnellement et que je n'avais aucune mauvaise opinion d'eux. J'ai dit que mon refus de coopérer était lié au système et pas à eux. Sachant que j'avais le Maître, je n'avais pas peur.

J'ai parlé de la raison pour laquelle le Ciel détruira le PCC, pourquoi les gens devraient se retirer du PCC, et de la relation entre l'action du Ciel et le choix personnel.

Un pratiquant de Dafa a un champ d'énergie, et ces policiers semblaient être sous son influence.

Enfin, j'ai dit : « Vous êtes peut-être tous membres du Parti. Pour votre propre bien, celui de vos familles, pour votre avenir et devant le ciel, voulez-vous vous retirer du PCC ? »

Alors, ils ont tous été d'accord.

Pensée droite et actions droites dans le centre de détention

J'ai continué à refuser de coopérer de quelque façon que ce soit avec le centre de détention. Le lendemain, tous les nouveaux arrivants ont été appelés à se faire prendre en photo.

Quand cela a été mon tour, j'ai refusé d'obéir, et le gardien m'a demandé pourquoi. Je lui ai dit que seuls les criminels avaient des photos d'identité, que je pratiquais le Falun Dafa et que je n'avais commis aucun crime. Deux gardes ont dû me tenir pour que ma photo puisse être prise.

Puis l'ordinateur s'est arrêté et n'a pas voulu redémarrer. La personne chargée de prendre les photos a commenté : « Ce Falun Dafa est vraiment puissant. Il a planté l'ordinateur ! »

J'ai dit en passant que c'était un avertissement de ne pas persécuter le Falun Dafa. Il a fallu un certain temps pour que l'ordinateur redémarre, et ils ont repris, prenant une photo de la personne derrière moi.

Dans les jours qui suivirent, je me suis calmé et j'ai regardé à l'intérieur selon le Fa. Dans cet environnement maléfique, j'ai vraiment réalisé le sérieux d'une cultivation solide.

J'ai trouvé beaucoup d'attachements et de conceptions humaines, comme se mettre en valeur, la mentalité de compétition, la jalousie, la célébrité, l'intérêt personnel et la luxure, que je n'avais pas remarqués auparavant. J'étais vraiment choqué.

J'étais déterminé à les rectifier un à un avec une solide cultivation. Peut-être du fait de mes solides fondations, mon esprit était détaché de l'environnement complexe et maléfique du centre de détention.

Les gens ordinaires sont généralement agités et disent qu'en détention une journée ressemble à une année. J'étais tranquille et calme, et une journée m'a semblé être un instant.

J'ai vraiment réalisé que le Maître nous a donné le meilleur. Donc, au centre de détention, j'ai donné l'impression d'être en paix et de n'avoir aucun souci à me faire.

J'ai fait bon usage du temps passé là-bas. Excepté pour les repas et un peu de sommeil, j'ai récité le Fa, émis la pensée droite et parlé des faits à propos de Dafa pour aider les gens à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées.

Même si c'était un endroit maléfique, compliqué et chaotique, j'ai été capable d'éliminer les interférences et de faire ce que je devais faire. C'est la protection et la bénédiction du Maître qui ont rendu cela possible. Mes propres soi-disant capacités étaient à la surface — au plus profond, c'était le pouvoir de Dafa.

En tant que pratiquant, je me suis tenu à des critères élevés à tous les égards et j'ai essayé de bien faire. Bien qu'étant la personne la plus âgée de la cellule, j'ai pris l'initiative de faire le nettoyage, surtout dans les endroits les plus sales que les autres n'aimaient pas toucher.

J'attendais que tout le monde ait sa nourriture avant d'en prendre. Si quelqu'un me disait sans raison quelque chose de méchant, je ne répondais jamais, et je m'excusais si je dérangeais quelqu'un.

Les pratiquants cultivent leur moi intérieur, tandis que les gens ordinaires regardent les choses en surface. Quand nous faisons bien, ils verront la vérité à propos de Dafa.

Finalement, tout le monde dans la cellule m'a accepté et était prêt à me parler. De temps en temps, ils me demandaient de leur parler de Dafa.

J'ai répondu à leurs questions et je leur ai dit à quel point Dafa est merveilleux, comment Dafa aide les gens à recouvrer la santé et à rester en forme, comment Dafa s'est répandu dans le monde entier et les raisons pour lesquelles les gens comprennent mal Dafa.

C'est le PCC et Jiang Zemin qui ont piégé le Falun Dafa et trompé les gens. Ceux qui acceptent les mensonges du PCC et détestent le Falun Dafa risquent des conséquences tragiques.

Ils voulaient voir comment je faisais la médiation, que je leur montrais souvent. Tout s'est passé facilement après ça.

Bien que chaque recoin du centre de détention était sous surveillance, cela ne m'a pas beaucoup affecté.

J'ai commencé à aider les gens à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Les gens allaient et venaient dans la cellule.

Neuf personnes dans la cellule ont accepté de se retirer du PCC pendant cette période, et tout le monde, y compris ceux qui ne l'ont pas fait, avait une bonne impression de Dafa.

Le garde m'a aidé à parler des faits à propos de Dafa

Chaque jour, les détenus avaient quinze minutes d'exercice dans la cour. À un moment, il y avait plus de 30 détenus dans la cour et j'étais le plus âgé.

Un garde m'a montré du doigt et a dit : « Ce vieil homme est un pratiquant de Falun Dafa. Il fait les exercices tous les jours chez lui et il est en excellente forme physique. Bien sûr, il obéit aux règles et ne le fait pas ici... »

Un jeune homme est intervenu : « Il ressemble à un maître de qigong et a une sorte d'aura. » Après cela, tous les détenus du centre de détention savaient que j'étais un pratiquant de Falun Dafa.

Comme tout le monde savait alors que j'étais un pratiquant, c'était très facile de parler des faits à propos de Dafa dans la cour. J'abordais simplement le sujet après une simple salutation.

Certains ont indiqué les caméras de surveillance et les gardes, mais je disais que ce n'était pas un problème. Cela en a incité certains à me gratifier d'un « pouce levé ».

Le Maître est toujours avec nous, et Dafa a le puissant pouvoir de tout contrôler. En disant que c'est bon, je sais que ça va aller.

Il y avait une routine dans le centre de détention avant qu'un détenu ne soit libéré. La veille, on lui demandait de signer un formulaire dans la cour pendant les quinze minutes d'exercice.

Le formulaire indiquait le motif de la détention de la personne et son comportement pendant sa détention. J'aurais à faire face à la même situation quand je serai sur le point d'être libéré.

Le papier aurait quelques mauvaises paroles à propos de Dafa, et si je le signais, je trahirais Dafa. Je me suis demandé : « Dois-je le signer ou non ? »

J'ai lutté pendant deux jours et la pensée droite a finalement gagné sur mes conceptions humaines. Je ne coopérerais jamais avec les autorités.

En un clin d'œil, le jour est arrivé. C'était une autre bataille entre la justice et le mal.

Nous étions trois ce jour-là à devoir signer le document. J'ai été le seul à refuser.

Le gardien responsable m'a dit que je ne serais pas libéré le lendemain si je ne le signais pas. Avec une pensée droite à l'esprit, j'ai dit fermement : « Je me fiche que vous me relâchiez ou non. Je ne ferai jamais rien pour trahir Dafa et Maître Li. »

Le garde m'a crié : « Tu te fiches de sortir d'ici ? Qu'est-ce qui t'intéresse alors ? Es-tu en état de mort cérébrale ? D'accord, si tu ne signes pas, personne ne retournera à l'intérieur. »

Je n'ai pas répondu et j'ai commencé à envoyer une forte pensée droite, tandis que le garde se tenait là avec une expression impuissante sur le visage. L'impasse a duré environ quinze minutes. Finalement, il nous a simplement dit à tous de retourner dans nos cellules.

Le lendemain, à 8 heures du matin, mon nom a été appelé pour être libéré. J'ai ramassé mes affaires, serré la main et dit au revoir à tout le monde.

Traduit de l'anglais