Expériences de travailler ensemble pour valider Dafa

(Minghui.org) En 1998, un voisin m’a recommandé de commencer à pratiquer le Falun Dafa pour améliorer ma santé. Lorsque j’ai commencé à lire le livre Zhuan Falun, je ne pouvais lire que vingt pages à la fois. Toutefois, plus je lisais, mieux je me sentais et plus j’avais d’énergie. J’étais très enthousiaste. Dans le passé, chaque fois que je lisais les journaux ou des livres, je me sentais étourdi et j’avais un mal de tête après n’avoir lu que deux lignes.

J’ai étudié les enseignements, fait les exercices et suivi le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance, et Maître Li, le fondateur du Falun Dafa, a purifié mon corps. Mes maux, y compris de l’hypotension artérielle, des maux de tête, des vertiges, des maux d’estomac, de l’arthrite, une gastro-entérite et des douleurs articulaires ont rapidement disparu. Maintenant, je marche comme avec un rebond et je ne me sens jamais fatigué, peu importe à quel point je marche. Je suis devenu heureux et en santé.

Valider Dafa

Une fois que la persécution a commencé en 1999, les agents de police me molestaient constamment. Puis, le régime de Jiang a mis en scène l’incident des auto-immolations sur la place Tiananmen pour dénaturer le Falun Dafa. En conséquence, l’esprit de beaucoup de personnes a été empoisonné. J’ai décidé d’écrire une lettre pour expliquer les faits au sujet de l’incident et je l’ai livrée moi-même au département de police. J’ai demandé à parler au directeur et l’on m’a dit qu’il était sorti. Lorsque j’ai demandé aux employés de lui remettre la lettre, ils m’ont dit d’aller la porter moi-même au bureau des pétitions. Au bureau des pétitions, le directeur a ouvert la lettre et était sous le choc. Il a dit : « Pratiquez-vous le Falun Dafa ? » Quand je lui ai dit oui, il a demandé mon nom et je lui ai donné. Il a dit qu’il avait entendu parler de moi dans le passé.

Pendant que j’étais assis dans le bureau, j’ai commencé à parler aux gens de mes expériences personnelles et des bienfaits que j’avais eus après avoir appris le Falun Dafa. Lorsque j’ai dit que Jiang Zemin avait tort de persécuter le Falun Dafa, le chef du département a dit : « C’est correct. Faites simplement votre pratique à la maison. Si vous continuez à parler ainsi, je vais devoir appeler quelqu’un pour vous arrêter. » Les gens à qui je parlais ont dit : « Nous comprenons. S’il vous plaît, retournez à la maison. » Je me suis levé et les ai avertis : « S’il vous plaît, ne suivez pas Jiang Zemin et ne persécutez pas le Falun Dafa. Il n’y a rien de mal avec Authenticité-Bienveillance-Tolérance. » Je n’avais aucune peur, seulement une pensée et des actions droites.

À cette époque, nous n’avions pas de documents d’information adéquats à distribuer, alors je composais et tapais mes propres lettres et je faisais des photocopies pour les distribuer. J’allais à vélo et partout où j’allais, je distribuais les dépliants pour faire connaître aux gens les atrocités commises par Jiang Zemin. Je n’avais aucune peur et ne craignais pas les difficultés. C’était difficile de rouler sur les routes de gravelles en campagne sur mon tricycle, et quelquefois je parcourais trente ou quarante kilomètres. Beau temps mauvais temps, rien ne pouvait m’arrêter. Je rencontrais toutes sortes de gens : certains m’encourageaient, d’autres me tournaient le dos et d’autres étaient réellement méchants. Mais étant donné que je n’étais pas affecté par leurs réactions, les gens disaient que je semblais toujours avoir le sourire aux lèvres.

Peu importe où je me trouve, je suis les enseignements, je fais confiance au Fa et au Maître, et je fais ce que les disciples de Dafa sont supposés faire. Quand certains parmi nous sont allés dans un village pour parler aux gens du Falun Dafa, quelqu’un nous a signalés aux autorités, et un autre pratiquant et moi avons été arrêtés et envoyés au camp de travaux forcés. Quelques autres fois, j’ai été amené à un centre de lavage de cerveau. Chaque fois que j’ai été détenu, j’ai essayé de réciter le Fa et d’émettre la pensée droite autant que je le pouvais. J’ai essayé de me rectifier moi-même et de valider le Fa avec mes paroles et mes actions. Une fois, dans un atelier où trois cents personnes étaient présentes, dont des pratiquants et des agents de police, j’ai récité le Fa et personne n’a rien dit. Les agents de police n’ont fait que regarder tranquillement. Alors que je récitais, j’ai vu des fées célestes qui distribuaient des fleurs. C’était magique !

Nous avions un manque de documents d’information locale, alors j’ai voulu apprendre à les concevoir. J’ai demandé aux autres pratiquants combien cela couterait d’installer un site opérationnel chez moi. Lorsque je suis retourné à la maison, j’ai vu que je n’avais que cinq mille yuans dans mon livret de banque. Ma famille a dit : « Comment pourrais-tu apprendre à faire des documents ? Ne gaspille pas le peu d’argent que tu as ! »

Ça a été une décision difficile et j’ai dû commencer depuis le début. Avec l’aide de compagnons de cultivation, j’ai été capable de produire assez de documents pour répondre aux besoins locaux. Malgré le harcèlement policier, avec l’aide du Maître et le soutien de ma famille et de mes voisins, mes opérations ont bien fonctionné au cours des dix dernières années.

Coordonner les efforts pour aider les gens à se retirer du PCC

Nous avons coordonné nos efforts pour distribuer les documents sur le Falun Dafa. Nous avons envoyé des courriers au service de police local, à la division de la sécurité intérieure, à la Commission des affaires politiques et juridiques, au Bureau 610, aux départements et bureaux gouvernementaux, aux bureaux de l’éducation, aux écoles, aux administrations de village et de canton, et aux bureaux de la sécurité publique. Nous avons également participé à secourir des pratiquants arrêtés dans le voisinage en postant des lettres aux départements responsables. Le personnel de la Division de la sécurité intérieure locale a semblé comprendre les faits sur le Falun Dafa. Récemment, ils ont relâché certains pratiquants arrêtés.

Nous avons amené une grande quantité de documents d’information aux cantons voisins pour les distribuer. Une fois, j’ai donné mon dernier exemplaire de Amener Jiang en justice à un homme âgé. Il était très content et m’a fait signe de lui parler dans un endroit discret. Je lui ai demandé s’il était membre du Parti communiste chinois (PCC). Il a dit « oui » et qu’il nous attendait depuis quelques mois pour venir l’aider à démissionner du PCC. Une fois que les gens comprennent la vérité, ils veulent trouver un moyen de se retirer du PCC.

Cette expérience m’a inspiré à encourager d’autres pratiquants à distribuer des documents partout où il le pouvait pour que les gens puissent comprendre l’importance de se retirer du PCC. Nous n’arrivons pas à fournir assez pour la demande de documents ! J’encourage donc ceux qui acceptent nos documents à les partager pour que plus de gens puissent en bénéficier. Ils donnent souvent leur accord et nous remercient.

Durant la participation à ce projet avec d’autres pratiquants de Falun Dafa, j’ai réalisé que j’étais parfois plutôt impatient et vaniteux. C’était généralement ma façon de faire ou rien du tout. J’avais tendance à penser que je savais mieux que tout le monde et donc je n’écoutais personne. J’étais très critique des autres que ce soit en privé ou en public. Je dois travailler sur ces insuffisances qui sont typiques d’une personne éduquée dans la culture communiste. Je vais faire mieux et être à la hauteur du salut miséricordieux du Maître.

Traduit de l’anglais au Canada