(Minghui.org) Bonjour vénérable Maître ! Bonjour compagnons de cultivation !

Après la naissance de mes enfants, je souffrais de diverses maladies. Les médecins disaient que j'avais de graves problèmes de foie et de vésicule biliaire qui demandaient à être opérés. Je souffrais aussi de dépression et je devais prendre des médicaments anti-dépression. Alors que je cherchais de l'aide, j'ai eu la chance de trouver le Falun Dafa.

Protégée par Maître Li, je cultive et pratique depuis vingt ans. En 2015, j'ai commencé à travailler dans une librairie spécialisée dans la vente de livres et de documents de lecture de Dafa. Chaque matin, plusieurs pratiquants et moi nous relayons pour distribuer des journaux expliquant les vrais faits du Falun Gong. Après, nous faisions les exercices et étudiions les enseignements du Fa, puis nous retournions travailler à la librairie. Chaque jour était rempli. Je suis vraiment reconnaissante pour les bons arrangements du Maître, qui me permettent de me maintenir dans la vitesse de la rectification de Fa.

Participer à la vente de publicité

En juillet 2017, un journal indépendant expliquant les vrais faits a repris sa publication. L'objectif de ce média est de promouvoir la culture traditionnelle chinoise. On espérait qu'il se financerait avec les ventes de publicité.

Quand le coordinateur m'a invitée à vendre de la publicité, j'étais tiraillée à l'intérieur : je ne m'estimais pas bonne en communication, pas bonne à m'exprimer – comment pourrais-je vendre de la publicité ? D'autre part, je travaillais déjà six jours par semaine à la librairie. Où trouverais-je le temps ?

Puis j'ai réalisé : je suis une disciple de Dafa. Rien n'est fortuit.

Le Maître a dit :

« Bien sûr vous êtes un pour dix, un pour cent [...] »(« Enseignement de la Loi et explication de la Loi lors de la Conférence de Loi du New York Métropolitain », Enseignement de Fa dans les conférences III)

Un journal a besoin des revenus publicitaires pour fonctionner et je savais que nous étions à court de main-d'oeuvre. Si je ne le faisais pas, qui allait pouvoir le faire ?

Quand j'ai ajusté ma pensée , les choses ont marché. Chaque pratiquant est occupé à travailler sur des projets pour sauver les gens. Toutes ces années, j'avais été la seule personne à travailler dans la librairie. Alors, un pratiquant a pu venir deux fois par semaine pour aider dans la librairie. Cela pouvait me libérer deux jours par semaine pour travailler sur la publicité. Ainsi en novembre 2018, j'ai rejoint officiellement l'équipe des ventes.

Au début, quand j'étais censée livrer des journaux aux clients, je m'arrêtais à leur porte. Parfois, je ne pouvais pas répondre à leurs questions. Après avoir reçu une formation et des conseils de pratiquants expérimentés de Hong Kong et d'un média australien, j'ai commencé à changer mes propres conceptions. J'ai aussi compris que le fait de vendre de la publicité exigeait que je connaisse le contenu de notre journal et que je devais présenter une image professionnelle.

Les choses n'allaient pas facilement. Les clients n'étaient pas satisfaits malgré les multiples ajustements effectués par le concepteur. Pourquoi ? J'ai cherché à l'intérieur de moi et j'ai trouvé que j'étais trop impatiente à vouloir obtenir des résultats, mais je n'avais pas communiqué avec les clients pendant le processus. J'étais aussi dépendante des compagnons de cultivation et je ne faisais pas mon propre travail.

Avec reconnaissance, une autre pratiquante m'a fait des rappels opportuns. Grâce à l'étude du Fa, j'ai compris que, aussi longtemps que je souhaitais sincèrement sauver le client, le Maître nous mettrait en contact avec les bonnes personnes ; tant que je ferais de mon mieux, les affaires s’enclencheraient.

J'ai senti un fort lien karmique avec une cliente. À chaque rencontre, c'était comme si je voyais une parente que j'aurais perdue de vue depuis longtemps. Malheureusement, en raison du fait qu'elle avait entendu les mensonges du Parti communiste chinois (PCC), elle avait des préjugés envers le Falun Dafa et elle avait de mauvaises compréhensions. Je lui ai envoyé des journaux chaque semaine pendant deux mois. Chaque fois, je lui disais les magnificences de Dafa, mais je ne pouvais pas trouver d'occasion pour lui expliquer la vérité sur le Falun Gong.

Quand j'étais très anxieuse et angoissée, elle m'a dit qu'elle avait fait un rêve où elle avait vu une bodhisattva en pleurs. Elle a dit aussi qu'elle avait l'impression que nous nous étions connues dans une vie antérieure. Je lui ai parlé de mes compréhensions au sujet du spectre pervers du PCC qui a ruiné la culture traditionnelle chinoise et rempli les gens de notions athées et que de nombreux Chinois ont été pris par les mensonges du Parti. Elle a pleuré et m'a dit que cette fois, elle croyait ce que je lui disais et elle a démissionné du PCC. Elle a aussi dit que son entreprise était en train de se restructurer et qu'elle aurait bientôt une place pour une publicité avec nous. J'ai été émue aux larmes et j'ai remercié silencieusement le Maître pour son infinie miséricorde ; une personne de plus était sauvée.

Éliminer mon attachement à la famille

Quand ma fille a donné naissance à son deuxième enfant, l'aîné n'avait pas encore deux ans. Ils avaient besoin d'aide. Je n'avais pas le temps d'aider durant la journée, seulement le soir. La belle-mère de ma fille n'était pas contente de moi et constamment elle se plaignait de mes défauts.

Je travaillais à la libraire toute la journée et je me rendais droit chez eux pour le dîner et pour prendre soin de ma fille et de mes petits-enfants. Normalement, ils dînaient ensemble à une certaine heure. Une fois, je suis allée chez eux comme d'habitude, ils avaient fini de manger et il n'y avait que des restes. À voix basse, ma fille m'a dit que sa belle-mère avait insisté pour qu'ils mangent sans m'attendre. Bien que j'aie dit à ma fille qu'il n'y avait pas de problème, je me sentais offensée.

Aussi, quand ma tante a fait un long voyage pour rendre visite à ma fille, sa belle-mère a été très grossière. Elle ignora ma tante et l'a juste fait s'asseoir dans un coin. Mais quand les amis de la belle-mère venaient, elle était très cordiale.

Même si elle était aussi grossière avec nous, j'ai pensé qu'elle avait eu une vie difficile. Tous les jours, elle était occupée à s'occuper de sa famille, de son fils et de ses petits-enfants. Elle recherchait la renommée et était remplie de colère et d'attachements. Son mari ne la respectait pas et son fils n'était pas dévoué à son égard et elle souffrait de toutes sortes de maladies. Je n'avais aucun ressentiment, mais seulement de la compassion pour elle.

Quand j'ai entendu dire qu'elle ne se sentait pas bien, je lui ai envoyé mes meilleurs souhaits. Quand sa propre mère est devenue malade, je lui ai rendu visite. Elle me respecte maintenant et m'invite à rendre visite aux petits-enfants chez elle. Chaque fois que je pars, elle me reconduit à la gare, elle me sourit et me fait ses adieux. Elle a même dit à ma fille : « Ta mère est si bonne. Toi et ton frère êtes si affectueux, elle est vraiment chanceuse. » Cette année elle est allée avec toute sa famille rendre visite à mon père et une tante en Chine durant le Nouvel An chinois. Mon père était très content !

Conclusion

Après des années de cultivation, j'ai fait des percées dans mes conceptions et augmenté ma capacité. Durant ces vingt ans, le Falun Dafa m'a tellement donné. D'être une personne remplie de karma, je suis passée à une disciple de Dafa. Je comprends la vérité et je traite les autres avec gentillesse. Je me suis assimilée au principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

Chaque pas de ma cultivation a été guidé par le Maître. Aucun mot sur terre ne peut exprimer ma gratitude envers le Maître !

Merci Maître ! Merci compagnons de cultivation !

(Présenté à la Conférence de Fa de Hong Kong 2019)

Traduit de l'anglais au Canada