(Minghui.org) Au cours de mes 83 ans d'existence, je me suis remise de maladies incurables, j'ai survécu à la noyade et j'ai vu un de mes fils survivre à un accident. Comment ai-je surmonté ces épreuves ? Si je n'avais pas rencontré le Falun Dafa en 1997, quand j'avais 60 ans, je n'aurais pas réussi à m'en sortir.
Un médecin : rien ne peut vous sauver, à part peut-être une intervention divine
Quand j'avais la cinquantaine, j'avais l'air d'avoir 80 ans, car j'avais de multiples maladies de longue durée. Il s'agissait notamment de maladies de l'estomac, de maladies cardiaques, de spondylose lombaire, de polyarthrite rhumatoïde et surtout de maladies gynécologiques causées par l'accouchement. Je suis allée dans plus de vingt hôpitaux et j'ai essayé la médecine occidentale et chinoise. Rien ne m'a vraiment aidée. J'étais faible et maigre et je ne pouvais rien faire.
Le pire, c'est que non seulement ma famille avait dépensé toutes ses économies, mais elle avait aussi emprunté de l'argent pour payer mes factures médicales. J'avais la sensation d'être un énorme fardeau pour ma famille et j'ai essayé de me suicider. Ma famille m'en a empêché et m'a surveillée de près pour que je n'aie pas la possibilité de recommencer.
Ils ont quand même essayé tous les moyens pour me guérir. Nous sommes allés dans tous les hôpitaux possibles. Finalement, aucun médecin n'a pu trouver de solution, car un traitement spécifique pour une maladie allait en aggraver une autre. Un médecin a dit : « Aucun médicament au monde ne peut vous guérir, à part peut-être une intervention divine. »
Cela semblait sans espoir, mais une rencontre divine s'est produite dans ma vie : j'ai obtenu le Falun Dafa ! Après deux ou trois mois de pratique, toutes mes maladies ont disparu ! Toute ma famille a été témoin de ce miracle et s'est exclamée : « Falun Dafa est bon ! » Beaucoup d'entre eux ont également manifesté de l'intérêt pour apprendre le Falun Dafa.
Le Maître m'a sauvée de la noyade
L'hiver suivant, je suis allée à un étang pour laver un panier de patates douces [Note du traducteur : dans les zones rurales en Chine, l'eau du robinet n'est pas toujours installée, donc les gens lavent souvent les légumes dans un étang à proximité]. Quand j'étais sur le pont, j'ai posé le panier, mais j'ai perdu l'équilibre et je suis tombée dans l'étang. Malheureusement, je ne savais pas nager. Alors que je me débattais, j'ai commencé à dériver vers le milieu de l'étang et je n'arrêtais pas de boire la tasse.
Soudain, j'ai entendu une voix qui a dit cruellement : « Pousse sa tête dans l'eau. » Puis une autre voix a dit : « Tu lui tiens les jambes, je vais lui tenir les bras. On va la tirer vers le bas ensemble. » On aurait dit que plusieurs « personnes » m'entouraient, parlant toutes en même temps, mais je n'entendais pas bien. Au bout d'un moment, j'ai entendu la voix du Maître qui a parlé très fort : « C'est ma disciple. » Puis je me suis évanouie.
Quand je me suis réveillée, j'ai entendu mon mari dire à mes fils : « Baissez-lui la tête, relevez-la, laissez l'eau sortir. » J'ai essayé de m'asseoir, mais je ne pouvais pas bouger les bras. Ma fille a dit : « Maman bouge ! Elle est encore vivante ! » Je me sentais bizarre et j'ai dit dans ma tête : « De quoi parlent-ils ? Je vais bien, en tant que pratiquante de Falun Dafa, le Maître me protège. Je devrais y retourner maintenant, sinon je vais manquer l'heure de l'étude du Fa. » Soudain, je me suis assise.
Aussitôt, mon estomac a grondé et de l'eau est sortie par ma bouche. Ma famille me regardait, hébétée. Je leur ai dit : « Rentrons maintenant ! J'ai froid, il faut que je me change. » Puis ils ont réalisé que j'allais bien et que je ne pouvais pas être plus heureuse.
Le même soir, deux compagnons de cultivation d'un village voisin sont venus me voir. Je leur ai raconté ce qui s'était passé. Nous savions tous clairement que c'était le Maître qui m'avait sauvé la vie. J'ai pleuré, profondément reconnaissante envers le Maître.
Dafa m'a sauvée à nouveau lorsque j'étais au seuil de la mort
Douze ans plus tard, avec le temps, je me suis progressivement relâchée et je ne pratiquais pas le Falun Dafa aussi assidûment que les premières années où j'avais obtenu le Fa. J'étudiais à peine le Fa et je ne me disciplinais pas selon les principes du Falun Dafa.
Un jour, j'ai été envoyée au centre de santé du bourg à cause d'une crise cardiaque. Ensuite, j'ai été transférée à l'hôpital de la ville, mais mon état était si critique que l'hôpital de la ville n'a pas pu le gérer et m'a envoyée à l'hôpital de la province. À ce moment-là, j'étais déjà tombée dans le coma.
Ma famille m'a raconté ce qui s'est passé ensuite. Après un contrôle rapide, un médecin de l'hôpital de la province a dit que je devais me faire opérer immédiatement, mais que nous devions d'abord payer 180 000 yuans [Note du traducteur : en Chine, les patients doivent payer avant l'opération]. C'était une somme énorme, surtout pour une famille d'une région rurale comme la nôtre. Mon fils aîné a demandé au médecin : « Si nous payons les frais d'opération, allez-vous guérir ma mère ? » Le médecin a répondu qu'il ferait de son mieux, mais qu'il ne pouvait rien garantir.
Mon fils aîné hésitait à signer le document. Lui et ses trois frères devaient prendre une décision ensemble.
À ce moment-là, j'ai repris connaissance. J'ai regardé autour de moi et je ne savais pas où j'étais. J'ai appelé mes fils, et ils sont venus. « Où sommes-nous ? Quel est cet endroit ? » Ils n'ont pas répondu, mais ont baissé la tête avec un froncement de sourcils inquiet. Le médecin est entré et m'a tout expliqué en détail.
Sachant que l'opération mettrait notre famille en faillite et ayant également une confiance totale en Dafa, j'ai décidé de rentrer chez moi. J'ai repris la pratique des exercices de Falun Dafa et mon état s'est rapidement amélioré. Aujourd'hui, dix ans ont passé et je mène toujours une vie très saine.
Mon deuxième fils a survécu à un accident dangereux
J'ai une grande famille, avec plus de vingt membres répartis sur quatre générations. Ils savent tous que le Falun Dafa est bon et soutiennent ma pratique de Falun Dafa. Par conséquent, ils sont bénis. Voici l'histoire de mon deuxième fils.
Il y a quatre ans, mon fils était chef d'équipe de menuiserie sur un chantier de construction. Une nuit, alors qu'il marchait sur le sol à moitié fini du cinquième étage pour vérifier la qualité du travail, la planche de bois s'est soudain retournée et il est tombé. Heureusement, il s'est agrippé à une poutre au quatrième étage.
Suspendu en l'air, il a essayé de se retourner, mais il n'avait pas assez de force. Il avait la cinquantaine, après tout. Il a essayé d'appeler à l'aide, mais personne ne pouvait l'entendre. Tout ce qu'il pouvait faire, c'était de tenir bon aussi longtemps que possible.
Une heure plus tard, des membres de son équipe sont allés sur le chantier pour le chercher, ayant constaté qu'il n'était pas retourné dans le dortoir d'entreprise qu'ils partageaient. Ils ont trouvé mon fils en suivant son faible appel à l'aide. Ils lui ont tendu un filet pour qu'il puisse atterrir.
Plus tard, mon fils m'a raconté ce qui s'était passé : « Quand j'étais suspendu en l'air, je n'ai pas eu peur. Je savais que le Maître du Falun Dafa me sauverait. Ce qui m'a vraiment fait peur, c'est le moment où j'ai sauté en bas. J'ai immédiatement perdu connaissance quand je suis arrivé par terre. Imagine, j'ai été suspendu par les bras pendant une heure entière. Il faisait sombre et il n'y avait personne ! Je sais que c'est le Maître de Dafa qui a envoyé mes collègues pour vérifier que tout allait bien. Merci Maître, je ne pourrais pas être plus reconnaissant ! »
Traduit de l'anglais
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