(Minghui.org) En me réveillant le 24 septembre 2020, mon fils m’a dit que cela faisait seize heures que j’étais décédée. Il a dit que la nuit de mon décès, tout le monde dans la famille l’a su. La plupart ont suggéré de m’envoyer à la morgue, mais mon fils était fortement en désaccord. Bien que je ne respirais plus et n’avais plus de pouls, mon corps n’était pas rigide et il n’y avait pas de changement à mon visage ni à la température de mon corps. Il croyait fermement qu’un miracle allait se produire. En fait, alors que j’étais étendue sur le lit, j’étais consciente de tout ce qui se passait. Il m’était juste impossible de communiquer avec qui que ce soit.

Tout cela a commencé il y a trois mois. Mes menstruations avaient toujours été stables. Toutefois, le 23 juin lorsque mes menstruations ont commencé, elles ne se sont pas arrêtées. Je saignais beaucoup, mais je ne l’ai pas pris au sérieux.

Deux mois plus tard, j’ai commencé à saigner encore plus. Chaque fois que j’allais à la salle de bain, je devais passer du temps à nettoyer la toilette parce qu’il y avait vraiment trop de sang. À part cela, tout allait normalement. Un jour, lorsque je suis allée à la toilette, j’ai soudain eu un mal d’estomac intolérable et j’ai commencé à me rouler par terre. Mon fil m’a immédiatement amenée à l’hôpital.

Après une série d’examens, un spécialiste m’a donné un diagnostic de « tumeur maligne de l’utérus ». La tumeur était deux fois la grosseur de mon utérus. Même dans l’éventualité d’une opération immédiate, le risque restait très élevé.

Tout d’abord, j’étais stupéfaite. Puis, dans mon esprit, je me suis souvenue de ce que le Maître a dit dans le livre Zhuan Falun :

« Au niveau le plus inférieur de la cultivation et de la pratique, il y a un processus : votre corps va être complètement purifié, toutes les mauvaises choses existant dans votre pensée ainsi que le champ de karma qui entoure votre corps et les facteurs qui nuisent à votre santé vont être totalement éliminés. » (Première Leçon, Zhuan Falun)

Ainsi, j’ai dit à mon fils : « Je n’ai pas besoin d’un traitement médical normal, retournons à la maison ! » Il a pleuré : « Maman, j’ai peur. » Je l’ai rassuré : « Écoutons le Maître. Si je suis guérie sans traitement, cela signifie que je crois dans le Maître et dans Dafa, et le Maître va résoudre tout cela pour moi. » Mon fils n’avait pas d’autre choix que d’être d’accord.

J’ai dit au médecin que j’étais déterminée à signer une décharge. Il était en désaccord avec ma décision et ne pouvait pas du tout me comprendre. Il m’a demandé de signer une entente stipulant que l’hôpital ne serait pas responsable de tout problème éventuel.

De retour chez moi, le saignement est devenu plus intense. Mais étrangement, j’avais de l’énergie et mon teint était de mieux en mieux. Quelqu’un m’a même dit que je semblais être dans la vingtaine.

Mais mon fils était de plus en plus inquiet et pleurait souvent, parce qu’il croyait que c’était peut-être un rétablissement momentané de la conscience avant la mort. Je n’étais pas d’accord et ne faisais que vivre normalement.

À l’occasion, des pensées négatives me passaient rapidement à l’esprit. Chaque fois qu’elles apparaissaient, je me disais : « Je ne suis qu’une minuscule particule dans l’univers, je n’ai aucune qualification pour remettre en question la vérité de l’univers. »

En réalité, j’ai fait face à de nombreux tests et interruptions. Par exemple, mon fils cherchait sans arrêt toutes sortes de recettes et de nourriture médicale visant à cesser les saignements et tentait de me persuader d’en prendre. Si je refusais, il s’agenouillait devant mon lit et me suppliait de suivre ses conseils. Au début, je jetais secrètement les médicaments, mais bientôt, j’ai réalisé que ce n’était pas correct, je ne suivais pas le principe d'« Authenticité ». Donc, j’ai tenté de persuader mon fils : « Veux-tu que je vive ou que je meure ? Ne sais-tu pas que tout médicament a ses effets secondaires qui lui sont propres ? Ne t’en fais pas, je vais bien aller. » Il a cessé de faire de la nourriture « médicale » après cela.

Malgré tout, j’ai continué à saigner sans arrêt jusqu’au 23 septembre. À minuit, j’ai entendu clairement une voix : « Nous devons la faire partir (se référant à moi) pendant un temps ; sinon elle sera incapable d’endurer une douleur pareille. »

J’ai ouvert les yeux et j’ai vu un homme âgé, amical qui souriait et me saluait. Par courtoisie, je me suis levée immédiatement. Je l’ai regardé de nouveau et je l’ai invité à s’asseoir sur le lit. J’ai alors été surprise de me voir encore étendue sur le lit.

Bientôt, j’ai vu le Maître suivi de trois géants de deux à trois mètres de haut et de trois petits hommes d’environ un centimètre de haut. Le Maître leur a dit de commencer le travail et de terminer aussi rapidement que possible. Puis, le Maître s’est tourné vers moi et m’a dit : « Reste ici ; ne bouge pas, sinon on ne te trouvera pas plus tard. » Je me suis agenouillée et j’ai dit « OK ».

Je suis restée là à regarder les géants et les petits hommes s’affairant sur mon corps comme s’ils effectuaient une opération. L’expression du Maître était sérieuse. Après 17 à 18 minutes, le Maître m’a fait un signe, indiquant qu’il était temps pour moi de retourner. Quand je me suis éveillée, seize heures avaient passé.

C’était une question de vie ou de mort et j’ai fait l’expérience de l’importance sans précédent pour un pratiquant de croire dans le Maître et de croire dans Dafa.

Traduit de l’anglais