(Minghui.org) Lorsque j'ai regardé pour la première fois un enregistrement vidéo d'une conférence de Maître Li, j'ai clairement ressenti un courant de chaleur qui a coulé du haut de ma tête jusqu'au bas de mes pieds à trois reprises.

C'était en janvier 2005, et j'avais 67 ans. Je venais juste de commencer à pratiquer le Falun Dafa. Après avoir ressenti cette sensation à trois reprises, je me suis sentie bien et toutes les douleurs de mon corps ont disparu. Depuis lors, je n'ai plus eu de maladies.

Mais en plus de cela, j'ai vécu une série de choses étonnantes au cours de ces quinze dernières années, notamment en survivant à deux graves accidents de voiture en 2017. Je crois que cela aurait été impossible si je n'avais pas été une pratiquante de Falun Dafa.

Distribuer sans crainte des documents pour clarifier la vérité

Mon chemin de cultivation a commencé après six ans de persécution du Falun Dafa par le Parti communiste chinois. En tant que nouvelle pratiquante, je ne savais pas à quel point la persécution était grave, alors je n'avais pas peur quand je distribuais des documents pour clarifier la vérité.

J'ai vu une fois que personne ne distribuait de documents de clarification de la vérité à un marché local, alors j'ai décidé de le faire. Ensuite, je suis aussi allée dans des centres commerciaux locaux et dans de nombreux autres endroits.

Un jour, alors que je distribuais des documents de clarification de la vérité, quelqu'un m'a demandé si j'avais une amulette, ce dont je n'avais jamais entendu parler. Néanmoins, je lui ai dit que je lui en apporterais une demain.

Plus tard, une pratiquante m'a expliqué ce qu'était une amulette et m'en a donné quelques-unes. Mais lorsqu'elle a appris que je rencontrerais cette personne le lendemain, elle s'est soudain mise en colère.

« C'est dangereux. Si vous faites cela, vous serez certainement arrêtée », a-t-elle dit.

« Je ne pense pas que ce soit le cas. Les gens là-bas sont prêts à accepter des documents qui clarifient la vérité », lui ai-je répondu.

« Pour votre propre sécurité, vous ne devriez pas y aller. Et si nous attendions quelques jours ? Vous pourrez lui donner l'amulette après avoir confirmé qu'il n'y a pas de policiers en civil dans les environs ».

Cependant, je ne pensais pas du tout que je serais en danger et je voulais tenir ma promesse. Je suis quand même allée au marché. Il ne m'est rien arrivé.

Malgré cela, j'ai pensé que l'inquiétude de la pratiquante était justifiée. Dans une situation similaire, j'ai failli être envoyée au poste de police.

J'étais dans un centre commercial pour distribuer des calendriers qui clarifiaient la vérité un étage à la fois. Au troisième étage, j'ai salué un homme, lui ai remis un calendrier et lui ai souhaité une bonne année. Il m'a remercié et est parti.

Mais au moment où je finissais de distribuer les calendriers, l'homme est revenu, visiblement agité.

« Êtes-vous une pratiquante de Falun Dafa ? »

« Oui. Qu'est-ce qui ne va pas ? »

Il m'a attrapé le bras, « Venez avec moi au poste de police. »

Un groupe de personnes qui venaient de recevoir des calendriers de ma part s'est rassemblé. J'ai prié dans mon esprit : « Maître, s'il vous plaît, ne les laissez pas redonner leurs calendriers. »

Soudain, un autre homme s'est approché de nous et a dit à l'homme qui me tenait le bras : « Oubliez ça, allons-y. »Ils étaient probablement venus ensemble. La situation s'est détendue après leur départ.

Survivre à un accident de voiture

En 2007, j'ai commencé à fabriquer des documents de Falun Dafa avec une autre pratiquante ; nous avons produit des brochures, ainsi que d'autres documents. Nous avions fait les trois choses ensemble pendant dix ans sans aucun problème de sécurité.

Cependant, comme je ne comprenais pas très bien la cultivation, je continuais à faire des choses sans élever mon xinxing et je pensais toujours que je faisais du bon travail. Mais mes actions étaient les mêmes que celles des gens ordinaires. Les forces anciennes ont vu ces faiblesses et s'en sont servies en me créant de nombreuses épreuves. Ici, j'aimerais en partager deux.

Une fois, alors que je traversais une intersection à vélo, une berline qui tournait à droite a heurté l'arrière de mon vélo, m'a renversée sur le capot de la voiture et m'a jetée par terre. J'avais très mal dans tout le corps et je ne pouvais pas bouger du tout.

L'automobiliste était une femme d'une trentaine d'années. Elle est sortie de la voiture et a commencé à m'insulter, me disant d'arrêter de faire la morte. J'ai prié le Maître de me donner la force de parler.

« Ne me crie pas dessus, je ne peux même pas m'asseoir », j'ai gémi, dès que j'ai pu parler. « Si tu peux m'aider à monter sur le côté, tu peux partir. Je ne te demanderai pas un sou. Je suis une pratiquante de Falun Dafa, tout ira bien. »

Elle m'a aidée à me rendre sur le bord de la route, a amené mon vélo à côté de moi et m'a dit : « Je dois aller chercher quelqu'un à la gare. » J'ai fait un signe de la main, indiquant qu'elle pouvait partir. Elle est partie immédiatement.

J'ai utilisé toutes mes forces pour me lever. Tout mon corps me faisait si mal que je ne pouvais pas m'empêcher de crier. J'ai prié Maître Li (le fondateur du Falun Dafa) de me donner un peu de force pour que je puisse rentrer chez moi.

Sur le chemin du retour, j'ai continué à réciter le poème de Maître « Faire souffrir le cœur et la volonté » tiré de HongYin :

Parvenir à la plénitude parfaite, obtenir le Fruit de Bouddha,

Prendre la souffrance comme de la joie.

La peine physique ne compte pas comme souffrance,

Cultiver le cœur est le plus difficile à supporter.

Chaque obstacle doit être franchi,

Il y a des démons partout.

Cent épreuves tombent en même temps,

Voyons comment il peut vivre.

Capable d'endurer les souffrances dans ce monde,

Sortir de ce monde, être un Bouddha.

Finalement, j'ai réussi à rentrer chez moi. Pendant toute la semaine, je ne pouvais plus bouger du tout ; je ne pouvais même pas boire d'eau. Chaque fois que je buvais quelque chose, je commençais à vomir. Parfois, je ne supportais pas la douleur et je me disais : «Si je suis assez vieille pour partir, je partirai. Mais je dois finir d'assembler le reste des brochures de Dafa. J'ai réussi à me lever et à marcher jusqu'à la maison d'une compagne de cultivation.

Quand la compagne de cultivation m'a vue, elle m'a demandé : « Que s'est-il passé ? » Je lui ai parlé brièvement de l'accident de voiture. Puis, elle m'a donné une tasse de thé et a insisté pour que je la boive. Je n'ai pas pu refuser. Étonnamment, j'ai fini le thé et je n'ai pas vomi du tout. Ensuite, nous avons commencé à travailler sur les brochures.

Avant que je ne m'en rende compte, il était midi et c'était le temps de rentrer à la maison. J'ai pu faire du vélo et je suis rentrée chez moi sans problème ! Cela aurait été impossible sans l'aide et la miséricorde de Maître Li.

Depuis lors, j'ai commencé à étudier le Fa et à faire les cinq exercices tous les jours. Vingt jours plus tard, j'étais complètement remise.

Le deuxième accident

Un jour d'octobre 2007, alors que je rentrais chez moi, j'ai été heurtée par une moto. J'ai eu l'impression que quelqu'un s'était emparé du haut de mon corps tandis qu'un autre avait saisi mes jambes, et m'avait jetée violemment au sol. Mon dos était gravement blessé ; je ne pouvais pas du tout bouger, même si je priais Maître Li.

À ce moment-là, il faisait sombre et je ne voyais personne d'autre sur la route. Soudain, deux personnes sont sorties d'une boutique tout près pour m'aider. Ils m'ont aidée à me lever et m'ont dit qu'ils trouveraient une voiture pour me conduire. Je les ai remerciées. Je leur ai dit que ma maison était proche et que je pouvais rentrer seule.

Je croyais que ces deux personnes avaient été envoyées par le Maître parce qu'il faisait nuit, que les magasins étaient fermés et que personne ne m'avait vue me faire renverser par la moto.

J'ai utilisé toutes mes forces pour rentrer chez moi. Quand je me suis assise sur mon lit, j'avais du mal à respirer. J'ai continué à réciter les mots du Maître : « C’est difficile à endurer, mais on peut l’endurer, c’est difficile à faire, mais on peut le faire. » (« Partie questions et réponses de l'enseignement du Fa à Yangji », tiré de Zhuan Falun Fajie – Le Fa du Zhuan Falun expliqué) pendant près d'une demi-heure. Finalement, j'ai pu respirer normalement. Mais, après m'être installée, je ne pouvais plus bouger.

Mes jambes et mes pieds étaient extrêmement froids, comme s'ils avaient été trempés dans de l'eau froide. J'ai essayé de les toucher, mais je ne pouvais pas. J'avais l'impression que tout le sang de mon corps était gelé et immobile. Chaque centimètre de mon corps me faisait très mal.

Habituellement, je me levais pour faire les exercices à 3 h 15 du matin. Ce matin-là, alors qu'il était près de 3 h du matin, j'ai senti une force qui m'a fait me lever. J'ai essayé de sortir mon corps du lit petit à petit. J'avais tellement mal que je transpirais comme si je sortais de l'eau après un plongeon. Mais je n'ai pas abandonné et j'ai continué à réciter le poème du maître :

Les grands Éveillés ne craignent pas les épreuves

La volonté taillée dans le diamant

Aucun attachement à la vie ou à la mort

Franc et sans obstacle, le chemin de la rectification de la Loi

(« Pensée droite, comportement droit ») Hong Yin Vol II

Finalement, j'ai réussi à m'asseoir. J'ai regardé ma montre et j'ai vu qu'une heure et vingt minutes s'étaient écoulées.

J'ai continué à faire les exercices comme d'habitude à 3 h 15 du matin et je me suis rétablie au cours des jours suivants.

Des miracles me sont arrivés

De nombreux miracles me sont arrivés au cours de mon chemin de cultivation. Ici, j'aimerais en partager deux.

L'un s'est produit sur le chemin du tribunal pour soutenir une compagne de cultivation lors d'un procès. J'étais à vélo au milieu d'une intersection quand j'ai vu un camion se diriger vers moi à grande vitesse. Pour une raison quelconque, je n'ai pas eu peur du tout. La seule pensée que j'avais alors en tête était de me demander ce qui n'allait pas avec le camion.

Soudain, ma bicyclette a tourné de 90 degrés d'elle-même et a évité le camion.

Le conducteur s'est arrêté au milieu de la route. Quand il est sorti du camion, il est resté là, en état de choc. Son visage était pâle et il était clair qu'il paniquait. À ce moment, j'ai réalisé à quel point la situation était dangereuse. Si le Maître n'avait pas fait tourner ma bicyclette, j'aurais été projetée dans les airs. C'est le Maître qui m'a sauvé la vie une fois de plus.

Un autre incident s'est produit avec un ventilateur que j'ai acheté il y a deux ans. C'était un petit ventilateur sans marque, acheté dans une épicerie pour 50 yuans. Une fois l'été terminé, je l'ai emballé et rangé dans mon sous-sol.

Cet été, quand je suis retournée le récupérer et le déballer, je n'en croyais pas mes yeux : le ventilateur s'était transformé en un tout nouveau et magnifique ventilateur de table. Il y avait une image dessus qui ressemblait à un symbole de srivatsa, un symbole sacré qui représentait le Bouddha. J'ai pensé que peut-être un membre de ma famille avait remplacé l'ancien par celui-ci, mais ils ont tous nié l'avoir fait.

Traduit de l'anglais