(Minghui.org) Lors d'une des audiences de la législature de l'État en Géorgie, le 3 décembre 2020, l'équipe juridique du président Trump a présenté des images de surveillance provenant d'une salle de comptage des bulletins de vote à la State Farm Arena dans le comté de Fulton. La vidéo montrait des employés chargés du comptage des bulletins de vote disant aux observateurs du scrutin, tard dans la nuit, le jour du scrutin, de quitter les lieux avant de continuer à compter et de sortir des boîtes remplies de bulletins de vote se trouvant sous la table.
En plus de la vidéo que le président Trump a qualifiée de « témoignage de superproduction », de nombreux témoins ont également témoigné lors des deux audiences qui ont eu lieu le 3 décembre et ont présenté des preuves.
Entre la nuit du 3 novembre et le matin du 4 novembre 2020, de graves cas de tricherie et de fraude se sont produits à la State Farm Arena du comté de Fulton, en Géorgie. Le président Trump l'a appelé le « témoignage de superproduction ». (Capture d'écran de la vidéo)
Des preuves de bourrage des urnes sont révélées
D'après les images de surveillance de la salle 604, il y avait quatre caméras qui ont filmé le site de travail sous différents angles. Cette salle servait à la comptabilisation des bulletins de vote des absents et des militaires.
Vers 22 h 25 le soir de l'élection, une femme aux tresses blondes a dit aux travailleurs d'arrêter de compter et a invité tout le monde à rentrer chez eux, y compris les observateurs républicains du scrutin et les journalistes de Fox News. La raison invoquée était la rupture d'une conduite d'eau. Ces personnes sont toutes parties vers 22 h 37. Cependant, la vidéo a montré qu'après le départ des journalistes et des observateurs du scrutin, quatre personnes sont restées dans la salle et ont continué à compter les bulletins de vote.
Vers 23 heures, ces quatre travailleurs ont sorti au moins trois valises pleines de bulletins de vote qui se trouvaient sous une table recouverte d'une nappe noire.
À ce moment-là, six personnes au total apparaissaient dans la vidéo. Elles ont commencé à scanner les bulletins de vote sans aucune observation ou surveillance. Elles ont travaillé sur trois machines, chacune pendant deux heures, jusqu'à 0 h 55. Un témoin a déclaré qu'une machine pouvait traiter 3000 bulletins par heure. Étant donné que les trois machines fonctionnaient en même temps pendant deux heures, le nombre de bulletins traités (3000 x 2 x 3 = 18 000) dépassait de loin la différence actuelle de 12 670 voix entre les deux candidats à la présidence.
Le témoin a confirmé que la personne qui a caché les bulletins de vote sous la table était la même femme qui a demandé aux observateurs du scrutin de partir et qui a ensuite sorti les bulletins cachés qui se trouvaient sous la table.
Pourquoi ce site a-t-il cessé de compiler les bulletins de vote ? La raison officielle de l'éclatement d'un tuyau pour assurer la sécurité des bulletins s'est révélée être un canular par la suite. Il n'y a pas eu de rapport de réparation publique pour le tuyau éclaté. Le témoin a déclaré qu'il s'agissait d'une fuite dans les toilettes, et non d'un tuyau éclaté. Le témoin a déclaré que la fuite s'était produite vers 6 h 07 du matin et avait été réparée deux heures plus tard, vers 8 h 06. Un représentant de l'État présent à l'audience a également souligné que d'après la vidéo, rien n'indiquait qu'un problème de plomberie aurait eu un impact sur le décompte des bulletins de vote.
Geoffrey Stiles, vice-président de l'équipe de la NBA Atlanta Hawks qui utilise la State Farm Arena comme terrain d'entraînement, a également déclaré dans un texto que le soi-disant problème de tuyauterie était « fortement exagéré ». Il s'agissait d'une « fuite lente » et elle a été rapidement contenue.
C'était manifestement illégal. Jackie Pick, un avocat bénévole de l'équipe juridique du président Trump, en présentant la vidéo lors de l'audience, a demandé pourquoi ces bulletins de vote avaient été placés séparément et comptabilisés en secret, sans aucune observation.
Réponses dans la vidéo
L'avocat du président Trump, Rudy Giuliani, a déclaré que les images montrées lors de l'audition sont un indicateur direct de la fraude et de la tricherie électorales lors des élections en Géorgie. Il a qualifié la vidéo de « PISTOLET FUMANT DE LA GÉORGIE » et a également déclaré sur Twitter, « PREUVE VIDÉO : Pris en flagrant délit, TRUMP GAGNE LA GÉORGIE ! »
Le président Donald Trump a également tweeté : « Ouah ! Un témoignage de superproduction a lieu en ce moment même en Géorgie », a écrit Trump. « Le bourrage des urnes par les démocrates lorsque les républicains ont été contraints de quitter la grande salle de comptage. Plus de choses à venir, mais rien que cela mène à une victoire facile de l'État ! »
Guiliani a déclaré : « Le vol de milliers de votes en Géorgie au milieu de la nuit change tout. Regardez ça et Biden n'est pas élu du tout. On dirait que les démocrates de Biden font un braquage de banque. Dans 5 États, il y a 800 déclarations sous serment de témoins oculaires de la tricherie des démocrates. Les États basculent. » « La législature de l'État n'a pas d'autre choix que d'assumer ses pouvoirs en vertu de la Constitution américaine, article II (1) [2] et de sélectionner les électeurs de Trump. »
Après la diffusion de la vidéo, le gouverneur républicain de Géorgie, Brian Kemp, a déclaré à Fox News qu'il avait demandé un audit de signatures, mais que le pouvoir dans l'État de prendre cette décision appartenait au bureau du secrétaire d'État. « Je pense que cela devrait être fait. Je pense surtout [étant donné] ce que nous avons vu aujourd'hui… cela soulève plus de questions », a-t-il déclaré.
Kemp a déclaré : « Je pense que dans les prochaines 24 heures, nous verrons beaucoup plus de choses grâce aux audiences que ce que les législateurs ont vu aujourd'hui et nous pourrons voir et définir quelles sont les prochaines étapes. »
La secrétaire de presse de la Maison-Blanche, Kayleigh McEnany, a tweeté immédiatement après les déclarations de Kemp : « FINALEMENT, le gouverneur de Géorgie, Brian Kemp, demande un audit de signatures. Qu'est-ce qui lui a pris autant de temps ? C'est une intégrité électorale de BASE ignorée jusqu'à présent… »
Les machines de vote ont volé l'élection dans d'autres pays
Dans l'intervalle, un autre élément de preuve important a été rapporté. John Fredericks, animateur d'une émission de radio, a déclaré sur le War Room de Steve Bannon que l'équipe du président Trump avait mis la main sur une machine à voter de Dominion. Par une simple opération d'une minute, elle peut modifier les données et les résultats du comptage des votes.
Cette machine de vote provient d'un tout petit comté de Géorgie. Suite à l'examen des données de vote dans cette machine, 37 bulletins de vote pour le président Trump ont été automatiquement basculés à Biden. Ce nombre ne semblait pas élevé. Cependant, l'échantillon de votes ne représentait que 0,26 % du total des votes en Géorgie.
Sur la base de ce taux, au moins 14 000 votes en Géorgie auraient pu être basculés de Trump à Biden. Or, selon les résultats certifiés par l'État, l'avance de Joe Biden sur Trump n'est que de 12 670 voix.
La femme dans la vidéo
Les médias ont confirmé que l'un des personnages principaux de la vidéo est une femme afro-américaine s'appelant Ruby Freeman. Les médias de Gateway Pundit ont utilisé son sac à main comme indice et ont retracé son identification. Plus tard, on a découvert que sa responsable au bureau de vote, la jeune femme blonde et tressée, s'est avérée être la fille de Ruby Freeman.
Ruby Freeman a appelé sa fille Shaye. Elle a publié sur sa page Facebook un article du 2 novembre de l'Atlanta Journal-Constitution, qui identifiait sa fille, Wandrea Moss, comme « responsable de l'inscription » et qui « surveillait les employés ». Mme Freeman a ajouté : « Maman est si fière de toi. »
Dans une vidéo que Mme Freeman a mise en ligne, elle a non seulement transporté ouvertement les bulletins de vote, mais elle a également pris une vidéo de l'ensemble du processus, qui montrait de nombreux bulletins de vote sans adresse d'expéditeur.
Netizen Femme a transmis la vidéo et a commenté : « Notre département de la Justice (DOJ) et le FBI sont tellement corrompus que les criminels font même des vidéos TOUT EN commettant leurs crimes fédéraux en sachant qu'il n'y aura pas de conséquences. Ruby Freeman, tout le monde… bourrant les bulletins de vote. »
Ruby Freeman semblait totalement indifférente à son crime et murmurait « ne dites rien » dans la vidéo. Il est évident qu'elle savait ce qu'elle faisait et pourtant elle a quand même filmé tous les bulletins de vote sans adresse d'expéditeur, placés dans tout le couloir.
Traduit de l'anglais
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