(Minghui.org) Ma famille vit dans un village sur la rive sud de la rivière Yangtze. Le barrage des Trois Gorges, construit sous le contrôle du Parti communiste chinois (PCC), a causé des inondations catastrophiques cette année, et au moins quatre cents millions de personnes des deux côtés de la rive du Yangtze ont été affectées. Des désastres majeurs tels que la COVID-19 et de fréquents tremblements de terre ont aussi causé de grandes souffrances aux riverains.

Il est encore plus regrettable que les mensonges du PCC [empoisonnant l’esprit des gens] en aient conduit certains à croire que la Chine est meilleure que les États-Unis pour combattre les inondations et la pandémie. Ils disent que le gouvernement américain est responsable des désastres affectant la Chine, lesquels sont en fait causés par la tyrannie du PCC.

Clarifier la vérité à propos de l’Amérique

Pour clarifier les faits concernant le PCC, il y a de nombreuses années j’ai installé une antenne parabolique chez moi pour écouter NTDTV. Leurs programmes m’ont beaucoup appris.

Parfois, je participe à des activités pour aider à nettoyer le village, cela me donne la chance de parler à plus de gens.

Quand j’ai entendu les villageois répéter les mensonges du PCC disant à quel point les États-Unis étaient mauvais, j’ai dit : « Ne croyez pas les mensonges à la télévision. Ils ne contiennent aucune vérité. Les États-Unis sont une démocratie et un pays libre qui respecte les droits de la personne et la dignité humaine. Je vous le répète : la propagande du PCC à la télévision trompe les gens. L’argent de la plupart des responsables du PCC se trouve aux États-Unis. Ils savent que tôt ou tard le PCC sera éliminé et ils ont l’intention de fuir aux États-Unis. Ils ne se soucient pas du peuple chinois ! »

La plupart des villageois étaient d’accord, et quand ils entendaient les gens répéter les mensonges du PCC ils répondaient en disant : « Ne dites pas d’absurdités. »

Ma sœur cadette est mariée et vit à trois kilomètres d’ici. Un jour, elle est venue chez moi et m’a dit en colère : « Les États-Unis sont un tyran. Il est clair que le virus vient des États-Unis. Maintenant, ils veulent que la Chine paie des dommages et intérêts pour la pandémie. »

Je n’étais pas calme à ce moment-là, et j’ai répondu : « Ne crois pas ce que tu regardes à la télévision. Tout est faux. Le premier grand nombre de cas a été enregistré à Wuhan, et combien de dizaines de milliers de personnes y sont mortes ? Ensuite, la maladie s’est répandue au reste du pays et dans le monde entier. Comment le virus se serait-il répandu à partir des États-Unis ? Tu dois utiliser ton bon sens pour y réfléchir. Crois-tu un tel mensonge ? »

Ma sœur n’était pas contente de mes paroles acerbes et est partie.

Deux jours plus tard, elle est revenue, et je lui ai dit calmement de ne pas se laisser tromper par les mensonges du PCC. Ma sœur m’a demandé de manière inquisitoire : « Pourquoi la pandémie aux États-Unis est si grave et qu'il y a tant de décès ? »

Je lui ai répondu : « Il y a des raisons pour cela. Le virus a des yeux. Il est ici pour éliminer le Parti pervers et ceux qui y sont rattachés. La raison est simple. De plus, les États-Unis effectuent généralement des tests et disposent de données réelles. Les chiffres d’infections et de décès ne sont pas dissimulés. Le monde entier sait quel pays a le plus d’infections et de décès. »

En entendant cela, ma sœur s’est mise à s’interroger sur la réponse du PCC face à la pandémie.

Mon frère aîné est enseignant à l’école du village. Il croit que le Falun Dafa est bon, mais parfois il est confus à cause du lavage de cerveau massif à long terme du PCC par les médias. Un jour, il m’a fait part de ses réflexions, et j’en ai profité pour corriger ses incompréhensions.

Une femme à proximité écoutait notre conversation. Elle a dit à mon frère : « Tu es professeur, mais tu ne peux tout de même pas convaincre ta sœur. » Mon frère a souri.

J’ai dit : « Le Parti communiste est ici pour semer la pagaille dans le monde. Karl Marx a dit que le spectre du communisme est un fantôme. Lorsque l’épidémie s’est mise à sévir aux États-Unis, le PCC a même installé des banderoles pour célébrer le haut taux d’infections aux États-Unis. Les humains n’agissent pas ainsi. Tout est contrôlé par le fantôme du communisme. »

Ma belle-sœur m’aide à promouvoir le Falun Dafa

Quand le PCC a commencé la persécution du Falun Dafa, ma belle-sœur était très en colère contre moi, disant : « Je ne te comprends pas ! Tu parles du Falun Dafa à longueur de journée à tout le monde et partout. »

Toutefois, son attitude a changé avec le temps en voyant les changements merveilleux en moi et dans notre famille.

Il y a de nombreuses années, elle était en phase terminale d’un cancer cervical. Il s’était métastasé et était trop avancé pour pouvoir l'opérer. Elle a insisté pour réciter les neuf mots de bon augure : « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Son cancer a disparu. Plus de dix ans ont passé, et elle se porte très bien depuis.

À présent, chaque fois qu’elle me voit remettre des amulettes aux gens, elle me demande aussi de lui en donner une, et me dit que l’amulette est très bonne et que les neuf mots de bon augure écrits dessus ont des effets magiques pour la guérison et la mise en forme.

Quand son petit-fils a attrapé un rhume et a eu une fièvre sévère, elle lui a dit de réciter ces mots. Son petit-fils l’a fait et sa fièvre a rapidement disparu. Mon frère et sa famille croient maintenant que le Falun Dafa est bon.

Valider la bonté du Falun Dafa

Une fois, un villageois m’a demandé combien on me payait pour faire la promotion du Falun Dafa. Je lui ai dit que les pratiquants sont diligents et économes, et que nous dépensons notre propre argent pour aider à sauver les gens : « Si vous pouvez en apprendre plus sur le Falun Dafa, vous allez vraiment trouver que nous sommes un groupe de gens merveilleux ! »

Finalement, il a dit : « Vous m’envoyez souvent des documents, je sais que le Falun Dafa est bon. Chaque fois que quelqu’un dit de mauvaises choses à propos de Dafa, je leur dis d’arrêter. »

Dans mon village, il y avait environ dix acres de terre agricole qui n’avait pas été attribuée à des agriculteurs. Un villageois a signé un contrat pour planter des arbres sur le lot pendant quinze ans. Le contrat expirait en 2018, et le villageois a coupé tous les arbres qu’il avait plantés et les a vendus.

Il aurait dû redonner la terre au village, mais il a plutôt replanté le terrain avec de jeunes arbres. D’autres villageois n’étaient pas d’accord avec ce qu’il avait fait, mais ils ne pouvaient rien faire, car ce villageois avait deux parents qui étaient des fonctionnaires du village — l’un étant le responsable de la sécurité du village et l’autre un chef d’équipe.

Le village voulait reprendre possession de la terre pour y bâtir un parc forestier, on a donc dit à cet homme de rendre la terre. Il a insisté pour que le village paie le coût des jeunes arbres, sinon il n’allait pas retourner la terre. Les villageois ont dû collecter 154 yuans à chaque famille pour en payer le coût. Certains ne voulaient pas payer, mais finalement l’argent a été rassemblé et 3000 yuans lui ont été remis.

Au bout d’un certain temps, le responsable du village a déclaré que les frais de compensation pour les jeunes arbres devaient être payés par le bureau des forêts, et que l’argent amassé allait être restitué à chaque ménage. Le chef d’équipe m’a donné un livre de comptes et m’a demandé de restituer l’argent en conséquence. Chaque famille a reçu un remboursement de 153 yuans.

Certains agriculteurs m’ont demandé pourquoi je gagnais un yuan pour chaque famille à qui je remettais l’argent. J’ai dit que je n’avais pas gagné d’argent et que le chef d’équipe m’avait uniquement remis une certaine somme et un livre de comptes, donc je les remboursais en fonction de ce livre.

Plus tard, les villageois ont voulu me payer pour mes efforts afin de restituer l’argent à tout le monde, mais j’ai refusé de prendre quoi que ce soit, car c’était mon devoir de le faire.

Vu que le chef du village était cupide, les agriculteurs étaient très méfiants à savoir qui allait le remplacer lorsqu’il prendrait sa retraite. Puis ils ont recommandé à l’unanimité que ce soit mon mari. Tout d’abord, mon mari a refusé, mais j’ai pensé que ça lui conviendrait, car il pourrait faire quelque chose de bien pour les villageois. Je lui ai donc suggéré d’accepter le rôle et il a accepté.

Un villageois nous a dit : « Il s'agit d’apprendre à être de bonnes personnes par de bonnes personnes. » Il insinuait que si vous mélangez des choses du Parti communiste, alors les bonnes personnes deviendront bientôt mauvaises.

J’ai dit au villageois : « Ne vous en faites pas, l’argent de ma famille passe par mes mains. Je vous garantis que je n’accepterai aucun pot-de-vin. S’il le faisait, il perdrait sa vertu, et il ne fera pas ce genre de bêtises. »

Ce villageois s’est senti rassuré en entendant ma réponse.

Traduit de l’anglais