(Minghui.org) Bonjour, vénérable Maître ! Bonjour, chers compagnons de cultivation !

Avant de commencer à pratiquer Dafa en 2013, j'étais une fervente bouddhiste laïque. Je priais beaucoup et je dépensais beaucoup d'argent dans les temples, mais je ne savais pas comment cultiver ou ce que signifiait élever le xinxing. De plus, ma santé était de plus en plus mauvaise.

Quand j'ai trouvé le Falun Dafa, j'ai été bouleversée : « Je ne savais pas qu'il y avait un Fa si merveilleux ! » J'ai regretté d'avoir entendu parler de Dafa si tard, mais j'étais reconnaissante envers notre bienveillant Maître qui ne m'avait pas abandonnée.

Je m'efforce d'être diligente. Je lis au moins deux conférences du Zhuan Falun chaque jour, et j'ai lu les autres conférences du Maître neuf fois. J'ai saisi chaque minute pour clarifier les faits et sauver les gens. J'ai aidé environ 3000 personnes à démissionner des trois principales organisations du Parti communiste chinois (PCC) : (PCC, Ligue de la jeunesse communiste et les Jeunes Pionniers).

Rattraper le retard et sauver les gens

Mon emploi du temps est serré tous les jours. Le matin, je lis le Zhuan Falun, j'émets la pensée droite et je sors pour clarifier les faits. Je passe prendre mon enfant à midi, je prépare le déjeuner, puis j'étudie les autres enseignements du Maître l'après-midi.

Je clarifie les faits partout où je vais et je distribue des documents de clarification de la vérité. Au début, j'avais peur d'engager la conversation avec les gens, et je ne parlais qu'à quelques personnes du retrait du PCC.

Puis j'ai pensé : « J'ai commencé tard. Les pratiquants de longue date sont bien en avance sur moi. Je dois les rattraper. »

Chaque fois, avant de sortir, j'émets la pensée droite pour éliminer les éléments négatifs dans d'autres dimensions qui essaient de m'empêcher de sauver les gens. Je sors presque tous les jours, qu'il pleuve ou qu'il vente. Lorsque la peur fait surface, je récite le Fa du Maître :

« Alors vis-à-vis de ce genre de situation, que les disciples de Dafa marchent de manière droite, fassent de leur mieux pour ne pas laisser la perversité et les forces anciennes pénétrer par des failles, affermir la pensée droite est donc le meilleur moyen. » (« Enseignement du Fa à la Conférence de Loi de Boston en 2002 », Enseignement du Fa dans les conférences II)

« ...surtout les disciples de Dafa en Chine continentale, chacun doit sortir pour en parler, comme des fleurs s’épanouissant partout, pour que pas un endroit où il y a des gens ne soit oublié. » (« Abandonner le cœur de l’homme, sauver les gens de ce monde », Points essentiels pour un avancement diligent III)

Ma pensée droite est devenue forte et je suis devenue de plus en plus stable et confiante dans la clarification de la vérité.

Lorsque je reçois de nouveaux documents à distribuer, je les lis d'abord, puis je les classe en fonction des différents types de personnes. Lorsque j'écoute mes compagnons de cultivation parler de leurs expériences, je prends des notes écrites. Après avoir fait cela pendant un certain temps, j'ai développé mes propres points de discussion.

Lorsque je clarifie les faits aux gens, certains m'insultent, d'autres me filment ou me photographient. D'autres ont appelé la police, m'ont attrapée et ne voulaient pas me lâcher. Certains m'ont même dit : “Si vous me payez, je me retire du PCC.” »

D'un autre côté, il y a aussi des personnes qui me remercient ou veulent me payer pour les documents que je leur donne. D'autres font le geste du heshi (mains serrées devant la poitrine) pour me montrer leur gratitude. Au cours des six dernières années de clarification de la vérité, j'ai vécu de nombreuses expériences touchantes.

Sauver les gens pendant la pandémie

Lors de l'épidémie du virus du PCC (coronavirus) cette année, mon complexe résidentiel a été fermé. J'étais très inquiète que tant de personnes soient mortes à Wuhan. J'ai dit à mon mari : « Je dois sortir pour sauver les gens. » Mon mari soutient ma pratique de Dafa, mais il m'a dit : « Les rues sont vides, à qui vas-tu parler ? » J'ai dit : « Tant que je sortirai, je rencontrerai quelqu'un que je suis censée sauver. »

Notre complexe résidentiel avait pour règle qu'une seule personne par ménage était autorisée à sortir, et qu'elle devait revenir dans un certain délai. J'ai mis mon masque et j'ai roulé à vélo dans la rue. Elle était vide. J'ai pensé au supermarché ; il doit y avoir des gens là-bas. Mais quand je suis arrivée, il y avait très peu de gens qui faisaient leurs courses. J'ai expliqué les faits à une seule personne.

Sur le chemin du retour, j'ai rencontré un livreur à l'entrée du complexe résidentiel. Je lui ai expliqué les faits et je l'ai aidé à démissionner du PCC. J'étais heureuse pour lui.

Un jour, il pleuvait et je n'avais pas prévu de sortir, mais je me suis dit : « Je ne sais pas quand la prochaine vague de l'épidémie va frapper ; le temps est compté et je ne peux pas rester chez moi. Je dois sortir et sauver les gens. »

J'ai roulé à vélo dans les rues quand j'ai vu une femme d'âge mûr bien habillée qui avait trouvé refuge sous un arbre.

Je suis allée vers elle et je l'ai saluée : « Bonjour, madame. »

Sur la défensive, elle m'a regardée : « Meh », et elle a détourné le regard. J'ai dit : « C'est le destin qui fait que nous nous rencontrons. » Dès que j'ai commencé à clarifier les faits, elle m'a interrompue : « Que voulez-vous dire ? » J'ai répondu : « Savez-vous que des millions de Chinois ont démissionné du PCC pour ne pas être tenus responsables de ses crimes ? »

Elle a essayé de me congédier : « Je suis occupée. » J'ai dit : « Je ne vous retiens pas. Tout le monde porte un masque pour éviter de tomber malade maintenant, mais saviez-vous que les gens disent “Cette maladie a des yeux” ? Elle vise les mauvaises personnes. » J'ai émis la pensée droite en parlant.

Elle m'a demandé : « Qu'est-ce qu'une mauvaise personne ? » J'ai vu qu'elle portait des chapelets de prière bouddhistes, et j'ai répondu : « Le Parti communiste a fait tellement de mal que le ciel va le détruire. Quiconque a rejoint l'une de ses organisations affiliées en fait partie, il devrait donc démissionner du PCC pour être en sécurité. »

Elle a désapprouvé : « Je crois le PCC ; il paie mon salaire. » J'ai répondu : « Les salaires sont ce que nous obtenons pour notre travail. Le PCC est athée ; peut-il vous bénir ? Il est corrompu. Il prend l'argent des impôts des gens et le transfère à l'étranger pour que les fonctionnaires du PCC puissent garder leurs secondes et troisièmes épouses. Il ne se soucie pas du tout de nous, les gens ordinaires. »

J'ai dit : « Si vous contournez le mur Internet du PCC pour obtenir de vraies informations, vous découvrirez combien de centaines de millions de dollars américains les fonctionnaires corrompus du PCC ont déplacés à l'étranger. Si cet argent était utilisé pour améliorer la vie des gens ordinaires, combien de fois nos salaires auraient-ils augmenté ? »

« De plus, le Parti a mené diverses campagnes politiques sans interruption, tuant 80 millions de Chinois. Il persécute le Falun Dafa depuis plus de deux décennies, et des millions de pratiquants ont été arrêtés, détenus illégalement et torturés. »

J'ai émis la pensée droite sans m'arrêter pendant que je lui parlais. J'ai continué : « Le Falun Dafa enseigne aux pratiquants à suivre Authenticité-Bienveillance-Tolérance. En 1999, plus de cent millions de personnes le pratiquaient. La persécution brutale du Parti communiste contre tant de personnes au grand cœur a mis en colère le ciel et la terre. Cette épidémie vise le Parti communiste. »

Elle a dit : « Je sais que le Parti communiste est mauvais, mais pourquoi dois-je me retirer des trois organisations ? »

J'ai répondu : « Quand vous avez rejoint les organisations, vous avez juré de vous battre pour le communisme toute votre vie. N'avez-vous pas promis de donner votre vie pour cela ? Ce n'est pas une chose banale. Puis-je vous demander à quelles organisations vous appartenez ? »

Elle a répondu : « J'ai rejoint la Ligue de la Jeunesse et les Jeunes Pionniers. » Je l'ai encouragée : « Pourquoi ne démissionneriez-vous pas tout de suite ? Je vous dis ça pour votre propre bien. » Elle a hésité.

J'ai continué : « Ça ne coûte rien. Vous et moi avons une relation prédestinée. J'aurais pu rester à la maison à cause de cette pluie. Si je ne raconte pas les faits aux gens, comment puis-je me reposer à la maison ? »

« Tout le monde est occupé à gagner de l'argent, mais je suis sortie sous la pluie pour aider les gens à se retirer des trois organisations et être en sécurité. C'est pour votre propre bien. Pourquoi hésitez-vous ? »

Elle a été émue et a accepté de démissionner de la Ligue de la Jeunesse et des Jeunes Pionniers. Je lui ai dit que beaucoup de gens se sentaient bénis en se rappelant les mots « Falun Dafa est bon ! Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » Je lui ai donné un petit souvenir et un dépliant de clarification de la vérité.

Elle a souri et m'a remerciée à maintes reprises. Je lui ai dit de ne pas me remercier, mais qu'elle devait remercier Maître Li, le fondateur du Falun Dafa. Elle a immédiatement dit : « Merci, Maître du Falun Dafa ! » J'ai dit : « N'oubliez pas de montrer le dépliant à votre famille, pour que toute votre famille soit sauvée. » Elle m'a remerciée à nouveau.

Se cultiver tout en sauvant les gens

Je clarifie souvent les faits au marché d'alimentation. Parfois, j'attends près du parking que les clients sortent. Si je vois quelqu'un qui porte beaucoup de courses, je l'aide, par exemple en rapprochant son vélo, en tenant son enfant ou en tenant ses affaires. Pendant que nous bavardons, je clarifie les faits.

Un jour, il faisait extrêmement froid. J'ai vu un couple d'une cinquantaine d'années sortir du marché en portant beaucoup de marchandises pour le Nouvel An. Je me suis approchée pour les aider à déplacer leur moto. Je n'avais jamais rien déplacé d'aussi lourd. Ils étaient très heureux de mon aide. Je leur ai dit : « Saviez-vous que des millions de Chinois démissionnent du PCC ? » Le visage de l'homme est devenu tendu et il a crié : « Qu'est-ce que vous êtes ? Falun Dafa ? »

J'ai dit : « Le Falun Dafa est une grande voie de Bouddha qui offre le salut. » Je portais des lunettes de soleil parce qu'il venait de neiger et que le soleil brillait. Il m'a soudain envoyé sa main dans la face et a fait tomber mes lunettes de soleil à quatre ou cinq mètres de distance.

Je n'ai pas été contrariée. J'ai continué : « Ce n'est pas grave si vous ne voulez pas écouter. J'espère que vous vous souviendrez de “Falun Dafa est bon”. » Il a crié de façon hystérique : « Je crois seulement au Parti communiste ! Si vous dites un mot de plus, j'appelle la police ! » Dès qu'il a dit ça, « Bang ! » le pneu de sa moto a explosé.

Beaucoup de gens se sont rassemblés autour de moi et m'ont dévisagée. J'ai continué à émettre la pensée droite, et l'environnement est resté très paisible. J'ai eu pitié de cet homme. Il a continué à essayer de faire démarrer la moto, mais n'a pas réussi. Le couple a finalement abandonné la moto.

Certains spectateurs ont compati avec moi, d'autres ont été sarcastiques et d'autres encore m'ont regardée avec mépris. Je suis restée debout dans la neige et je n'ai pas bougé. Je n'avais de ressentiment envers personne. Quand tout le monde s'est dispersé, je me suis sentie triste. Les gens ont été si profondément empoisonnés par le PCC, quelle pitié ! Et leur avenir ? Des larmes coulaient sur mon visage. J'ai pensé : « Si seulement tous les êtres pouvaient entendre la vérité et être sauvés ! »

Pourquoi cet homme était-il si en colère ? J'ai regardé à l'intérieur. J'ai trouvé plusieurs attachements : la compétitivité, le ressentiment, le mépris et le fait de sauver la face. J'ai aussi réalisé que je n'avais pas assez de compassion, et que je ne pouvais pas maîtriser les éléments maléfiques qui manipulaient cette personne. Je me suis rappelé qu'il fallait étudier davantage le Fa et s'améliorer rapidement.

Je suis rentrée chez moi à midi. Mes mains étaient gelées et je n'arrivais pas à les tenir fermement pendant que j'émettais la pensée droite. J'ai grogné : « Pourquoi cultiver est-il si difficile ? Comme il aurait été confortable de rester à la maison ! » J'ai pleuré à nouveau.

Je me suis demandé : « Pourquoi pleures-tu ? Personne ne t'a forcée à sortir. Mais si tu ne sauves pas les gens, que fais-tu ici sur terre ? Des êtres dans d'autres dimensions regardent les disciples de Dafa ! Tu ne veux pas sauver les gens ? Cette souffrance n'est qu'un échelon sur l'échelle du ciel. Tu laisses une si petite tribulation se mettre en travers de ton chemin ? »

Quand j'ai eu cette pensée, mon cœur s'est immédiatement ouvert. Je me suis sentie mieux. J'ai dit au Maître : « Maître ! Peu importe la difficulté, je sortirai et je continuerai à sauver des gens. S'il vous plaît, faites en sorte que je puisse sauver d'autres personnes prédestinées. »

Un jour, j'ai fait équipe avec une compagne de cultivation pour clarifier les faits. Nous avons vu au loin un jeune conducteur charger une camionnette, alors nous sommes allées vers lui pour lui parler. Il s'est mis en colère, a dit des choses méchantes et a menacé de nous signaler à la police.

Dans le passé, j'aurais fait demi-tour. Cette fois-ci, je ne l'ai pas fait. J'ai dit : « Je veux juste que vous compreniez la vérité et que vous soyez en sécurité. Beaucoup de gens sont déjà morts de ce virus, et j'essaie de vous aider. »

J'étais vraiment inquiète pour lui, et mes larmes ont coulé. La compagne de cultivation a également été émue aux larmes. Le jeune homme m'a regardée et a changé d'attitude. Il m'a dit : « Tata, ne pleure pas, j'ai tort. Je vais démissionner du PCC. J'ai rejoint les Jeunes Pionniers. »

L'hiver dans l'hémisphère nord est glacial, mais j'avais à cœur de sauver les gens - donc souvent je ne sentais pas le froid. Au lieu de cela, je ressentais de la chaleur. Un jour, j'ai rencontré une femme d'âge mûr qui avait l'air très triste. Après l'avoir saluée, je lui ai dit : « Savez-vous que des millions de personnes ont déjà démissionné du PCC ? »

Elle m'a répondu : « Je ne savais pas, mais je ne suis pas d'humeur. » J'ai dit : « Pourquoi êtes-vous si triste ? » Elle m'a dit : « Mon fils a été opéré à Pékin le mois dernier. Cela nous a coûté plus de 100 000 yuans (15 300 dollars US). Il a eu des complications et il est toujours hospitalisé. Personne ne veut en assumer la responsabilité. »

J'ai soupiré : « Sous la corruption du PCC, personne n'assume de responsabilités. » Je lui ai demandé : « Votre fils est-il conscient ? » Elle a répondu : « Oui, il ne peut pas marcher. » Je lui ai dit : « Il y a un moyen pour vous aider. »

Ensuite, je lui ai clarifié les faits et lui ai conseillé de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Je lui ai remis un petit souvenir : « Voici un petit symbole du Falun Dafa et un exemplaire du dépliant “Bénédictions du ciel” pour votre fils aussi. Demandez à votre fils de le lire attentivement et rappelez-vous : “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”. Il faudrait qu'il le dise tous les jours. Il se rétablira bientôt. »

Elle a eu l'air heureuse et a hoché la tête à plusieurs reprises : « Ok. D'accord. » Elle était très émue et m'a saisi la main. Elle a dit : « Je me demandais pourquoi la vie était si dure. Personne n'était là pour m'aider quand j'en avais besoin. Aujourd'hui, je vous ai rencontrée et vous m'avez dit cette grande chose. » Elle a éclaté en sanglots. J'ai été émue aux larmes aussi.

Environ une semaine plus tard, je suis retournée dans cette rue pour clarifier les faits. Il se trouve que j'ai vu la même femme sortir de l'hôpital. Elle était souriante, joyeuse et heureuse. Je voulais l'approcher, mais la rue était bondée. Quand je l'ai repérée, elle était déjà de l'autre côté de la rue. Je crois qu'elle et son fils ont été bénis.

Il y a eu plusieurs cas de ce genre. Quand notre clarification de la vérité se passe bien, il ne faut pas développer de fanatisme, parce qu'alors, l'effet ne sera pas bon ; quand vous êtes frustrés, ne vous découragez pas, parce que tout arrive pour une raison - c'est à vous de vous améliorer. Je me suis souvenue des paroles du Maître :

« Sans votre élévation, rien ne peut être fait, y compris le salut des êtres. Si vous n’arrivez pas à vous élever et à atteindre la plénitude parfaite, où iront les êtres que vous avez sauvés ? Qui les emmènera ? » (« Enseignement du Fa à la conférence de New York, 2008 », Enseignement du Fa dans les conférences VIII)

Les gens attendent d'être sauvés

La persécution contre les disciples de Dafa en Chine continentale est toujours sévère, mais à mesure que les êtres s'éveillent, la situation évolue rapidement.

Certains de mes compagnons de cultivation ont dit : « Il est difficile de sauver les gens. » Je pense que l’efficacité de sauver les gens est le reflet de son propre royaume. Si l'on pense que c'est difficile, on peut ne pas pouvoir avancer d'un pouce ; si l'on n'a pas peur de la difficulté et qu'on la voit comme sa responsabilité, la route deviendra de plus en plus large et l'on sentira que les tribulations sont de grandes opportunités.

Si je ne sors pas pour clarifier les faits un jour donné, je ressens un malaise et un sentiment de vide. Lorsque je sors, mon cœur est lumineux et joyeux. J'aide généralement entre trois et vingt personnes par jour à démissionner des grandes organisations communistes.

Parfois, des gens sont même venus à ma porte pour écouter la vérité. Un soir, dès que je suis rentrée de l'étude du Fa, quelqu'un a frappé à la porte. J'ai ouvert la porte et j'ai vu quatre dames. Elles m'ont demandé : « Cet appartement est-il à vendre ? » J'ai répondu : « Il n'est pas à vendre. » Elles ont insisté : « Mais apparemment, cet appartement est à vendre ! »

Je n'avais jamais passé d'annonce pour dire que mon appartement était à vendre. Pourquoi étaient-elles ici ? Je les ai invitées à entrer.

L'une d'elles a dit : « Cette dame a l'air très gentille. » J'ai tout de suite compris qu'elles n'étaient pas venues pour acheter l'appartement, elles étaient venues pour entendre la vérité. J'ai demandé en silence au Maître de me fortifier pour qu'elles puissent être sauvées.

J'ai dit : « Laissez-moi vous dire pourquoi des millions de personnes quittent les trois principales organisations communistes. » Elles m'ont regardée avec surprise, et m'ont dit : « Jamais entendu parler. Vraiment ? »

Je leur ai expliqué les faits. Elles m'ont écoutée très attentivement et toutes ont accepté de démissionner de la Ligue de la Jeunesse communiste et des Jeunes Pionniers. J'ai donné à chacune d'elles un souvenir. Elles m'ont dit avec joie : « Nous croyons tout ce que vous nous avez dit. On voit bien que vous êtes une personne très gentille. »

J'ai dit : « Pourquoi ne pas vérifier à l'étage si quelqu'un vend son appartement ? » Elles m'ont répondu : « Pas besoin. Il est temps que nous partions. » J'ai réalisé qu'elles avaient dû être envoyées par le Maître pour entendre la vérité. Après leur départ, j'ai serré les mains en heshi et j'ai remercié le Maître !

Une autre fois, une pratiquante m'a dit : « Mon enfant suit des cours de musique privés. Je veux clarifier les faits à la professeure, mais je n'ai pas confiance en moi. » J'ai dit : « Allons-y ensemble. Tu émettras la pensée droite, c'est moi qui parlerai. »

En chemin, nous avons rencontré un homme. Je lui ai clarifié les faits tandis que l'autre pratiquante émettait la pensée droite. L'homme a accepté de démissionner des trois organisations communistes. Quand je lui ai donné un souvenir et un document de clarification de la vérité, il a voulu me payer. Je lui ai dit: « C'est pour vous, gratuitement. » Il nous a remerciées à répétition. Je n'oublierai jamais le regard de gratitude sur son visage.

Lorsque nous sommes arrivées chez la professeure de musique, elle donnait une leçon sur Internet et n'était pas disponible. Sa mère nous a reçues. Pendant que l'autre pratiquante émettait la pensée droite, j'ai clarifié les faits à la mère. Elle a démissionné des trois organisations communistes. Elle a accepté avec joie un souvenir et des documents de clarification de la vérité.

Sur le chemin du retour, l'autre pratiquante m'a félicitée : « J'ai presque été émue jusqu'aux larmes pendant que tu lui parlais. » J'ai dit : « En émettant constamment une très forte pensée droite, toi aussi tu as été formidable ! » Elle m'a dit : « Je suis toujours timide quand je clarifie les faits par moi-même. Je n'ai pas aussi confiance en moi que toi. » Je lui ai dit que j'étais pareille quand j'avais commencé.

Je lui ai dit : « Nous devons suivre notre propre chemin. Même si la personne ne veut pas démissionner, nous devons lui demander de se souvenir que “Falun Dafa est bon” et lui laisser notre compassion. C'est la validation du Fa. »

Le Maître a dit :

« Si vous ne faites pas cette affaire de sauver les êtres, vous n’accomplissez pas votre responsabilité en tant que disciple de Dafa et votre cultivation et pratique sera réduite à rien, car si on vous permet d’être disciple de Dafa, ce n’est pas pour votre plénitude parfaite personnelle, mais parce que vous endossez une mission considérable. » (« Enseignement du Fa à la Conférence internationale de Loi de Washington DC 2009 », Enseignement du Fa dans les conférences IX)

Je me relâche parfois en pensant qu'il est trop fatigant de courir toute la journée. Je veux prendre un jour de congé. Mais le Maître nous a demandé de sauver les gens. C'est notre mission, notre honneur et notre responsabilité. Je n'ai jamais osé me relâcher dans la clarification de la vérité.

J'ai commencé tard dans la cultivation, mais je suis une disciple du Maître. Il n'y a aucune raison pour que je ne réussisse pas, et aucune raison pour que je ne m'améliore pas. Je dois être encore plus diligente pour rattraper les progrès de la rectification du Maître.

Chaque étape que j'ai franchie dans la clarification de la vérité a été guidée par la compassion du Maître. Sans le Maître, je ne pourrais même pas me sauver moi-même, et encore moins sauver les autres. Je suis extrêmement reconnaissante du salut et de la protection miséricordieuse du Maître !

(Dix-septième conférence de partage d'expériences par Internet pour les disciples de Dafa de Chine continentale)

Traduit de l'anglais