(Minghui.org) Au cours du Nouvel An chinois, j'ai entendu parler du coronavirus et de la fermeture de la ville de Wuhan qui a suivi. J'ai également remarqué que peu de gens se trouvaient dans les rues autrefois très fréquentées.

Je ne savais pas quoi faire. Il était difficile de clarifier la vérité aux gens, même avant l'épidémie. Comment pouvions-nous continuer à le faire dans ces conditions ? Je savais que beaucoup de gens n'avaient pas encore été sauvés. En lisant les articles de partage d'expérience sur Minghui.org, j'ai vu que je devais faire mieux, et j'ai senti l'urgence d'aller de l'avant et de sauver les êtres. Le Maître nous a toujours demandé de le faire ; nous devons simplement faire ce que le Maître nous a demandé.

Le cinquième jour du Nouvel An chinois, je suis sortie. Il y avait peu de gens dehors et tout le monde se tenait à distance les uns des autres. Mais je n'étais pas découragée. J'étais déterminée à raconter aux gens les histoires miraculeuses sur l'épidémie que j'avais lues sur Minghui.

J'ai pu parler à une personne, puis à deux personnes. Chaque jour, j'ai parlé à davantage de personnes. Mes jambes ont commencé à être douloureuses avant le Nouvel An chinois et j'avais mal même quand je les touchais accidentellement. Il y a quelques jours, j'ai marché pendant près de trois heures pour distribuer des brochures. Par la suite, j'ai été stupéfaite de constater que mes jambes ne me faisaient plus mal.

J'avais l'impression d'avoir une mauvaise qualité d'éveil. J'ai tout de suite su que c'était un encouragement du Maître m'indiquant que je devais sortir pour sauver les gens. Tant que nous aurons le cœur de sauver les gens, le Maître s'arrangera pour que nous rencontrions ceux qui sont prédestinés.

Hier, une autre pratiquante et moi avons rencontré un homme âgé. J'ai souri et lui ai dit : « Vous ne portez pas de masque. N'êtes-vous pas inquiet ? » Il m'a souri aussi et a dit qu'il en avait un, mais que c'était trop difficile de respirer avec. Je lui ai rappelé qu'il devait quand même en porter un, juste pour se protéger. Il a accepté.

Puis je lui ai demandé s'il avait rejoint le Parti communiste chinois (PCC) ou l'une de ses organisations affiliées. Il a dit qu'il avait rejoint les Jeunes pionniers quand il était enfant. Je lui ai demandé s'il avait entendu dire que des millions de Chinois avaient démissionné du Parti. Comme il avait des difficultés d'audition, je devais lui parler à l'oreille. J'ai dit : « Beaucoup de gens ont découvert qu'en disant “Falun Dafa est bon” et “Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”, ils ont été bénis. »

Il a dit qu'il croyait en Bouddha. J'ai dit : « Même si vous croyez en Bouddha, vous devez quand même démissionner du Parti [parce que le PCC persécute ceux qui croient au divin]. Alors vous serez en sécurité quand le PCC sera traduit en justice pour ses crimes ». Il a accepté.

En rentrant chez moi, j'ai remarqué une femme âgée qui avait des difficultés à marcher. Tous les quelques pas, elle devait s'arrêter et s'appuyer contre le mur. Deux personnes sont passées, mais sont restées loin d'elle.

Je me suis dépêchée d'aller la voir et lui ai demandé : « Bonjour, comment allez-vous ? » Elle a dit qu'elle ne se sentait pas bien et que ses jambes étaient un peu faibles. Elle avait peur de tomber et espérait que quelqu'un l'aide à traverser la rue jusqu'à un endroit où il y avait une rampe, à environ 100 mètres. Elle irait bien si elle pouvait s'appuyer à la rampe, mais personne ne lui venait en aide.

J'ai pris son bras et nous avons bavardé pendant que nous marchions. Elle m'a dit qu'elle avait 72 ans. Elle n'a pas cessé de me remercier et m'a dit : « Tu es vraiment quelqu'un de bien. Tous les autres ont peur de m'aider ».

Je lui ai dit : « Je suis une pratiquante de Falun Dafa. Pouvons-nous réciter “Falun Dafa est bon” et “Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon” ? Il y a des bouddhas et des divinités derrière ces mots. Si vous les reconnaissez, ils vous aideront ».

J'ai prononcé les mots à nouveau, et la dame les a répétés après moi. En répétant les mots, ses pas sont devenus réguliers. Après avoir marché cent pas de plus, elle a pu se redresser et marcher seule. Elle n'avait plus besoin de s'accrocher à moi ou à la rampe ! Elle était emballée et n'arrêtait pas de dire : « Tu es vraiment quelqu'un de bien ! Une très bonne personne ! Merci beaucoup ! »

Je lui ai tendu un petit souvenir et lui ai suggéré de demander à toute sa famille de dire : « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » et « Falun Dafa est bon ». Elle m'a joyeusement souri et m'a promis qu'elle le ferait.

Traduit de l'anglais