(Minghui.org) La première fois que j'ai posé les yeux sur le Zhuan Falun en 1995, il m'a été enlevé avant même que je puisse avoir la chance de le lire. Heureusement, ça n'a pas été la dernière fois sinon je ne serais pas cette cinquantenaire en bonne santé que je suis aujourd'hui.
Une première rencontre mystique
Quand j'ai découvert le Zhuan Falun, c'était en fait l'exemplaire de quelqu'un d'autre qu'ils ont rapidement repris. Mais même cette rencontre superficielle a eu un effet durable : à partir de ce moment-là, j'ai souvent rêvé que je voyais un énorme livre dans le ciel avec des mots sur la couverture. Ce n'est qu'avec le recul que je me suis rendu compte que les mots en fait indiquaient Zhuan Falun.
Dans ces rêves récurrents, je voyais aussi des chevaux célestes voler, tirer des chars - j'ai même rêvé de l'ouverture des portes du paradis. C'était un spectacle étonnant. Mais personne ne me croyait quand je leur en parlais.
Un jour de mars 1998, une collègue de travail m'a invitée à méditer dans un parc près de chez nous. C'est ainsi que j'ai repris contact avec le Falun Gong.
La deuxième rencontre et commencer la pratique
À l'époque, je ne savais pas ce qu'était vraiment le Falun Gong ; je savais juste qu'il était bon pour la santé. J'avais 37 ans à l'époque et je n'étais pas en très bonne santé.
Au début, je me fatiguais facilement. En montant les escaliers au sixième étage, je devais m'arrêter deux ou trois fois pour reprendre mon souffle et j'avais des vertiges. Mon visage était parsemé de marques sombres. Je n'arrivais pas non plus à bien dormir la nuit ; j'avais facilement froid et je devais porter des chaussettes quand je dormais.
Lorsque j'ai fait les exercices pour la première fois, j'ai eu des nausées et des vertiges. Grâce à l'étude du Fa, j'ai su que c'était Maître Li (le fondateur) qui purifiait mon corps ! Après avoir fait les exercices pendant une semaine, je pouvais sentir le Falun (roue de la Loi) tourner dans mon corps.
Un jour, alors que je faisais le deuxième exercice, j'ai soudain senti un courant d'énergie passer du bout de mon majeur à l'extrémité de mon autre main, puis à mes bras et à mon dos. J'ai senti que quelque chose tournait. Plus tard, je pouvais sentir plusieurs Falun tourner dans plusieurs parties de mon corps, en particulier au niveau de mon bas-ventre.
En étudiant le Fa j'ai compris que toutes les maladies humaines étaient causées par le karma. Ce n'est que lorsque l'on cultive selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance que l'on peut revenir à son vrai soi.
J'ai étudié le Fa et fait les exercices tous les jours ; j'ai même mémorisé et copié le Fa. J'ai cherché en moi lorsque j'étais face à des conflits. J'ai suivi le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance dans ma vie quotidienne. En conséquence, mon xinxing et ma santé se sont améliorés de manière significative.
Deux rêves de poisson
Je me souviens clairement de deux cas où le Maître a purifié mon corps du karma accumulé.
Une fois, j'ai fait un rêve très clair. Dans ce rêve, j'ai entendu une voix qui demandait : « Est-ce qu'on le lui enlève ? » Une autre voix a répondu : « Oui. »
Au son de ces mots, j'ai ressenti une sensation de frétillement dans mon mollet gauche et j'ai vu que deux à trois anguilles en étaient extraites.
En me réveillant, je me suis rendu compte que, petite, j'allais souvent à la rivière pour attraper des poissons. J'avais dû accumuler beaucoup de karma à cause de cela, et le Maître me l'avait enlevé.
Une autre fois, dans un rêve, j'ai senti une main sortir un petit poisson de mon estomac. On m'a même dit d'où venait le poisson. J'ai réalisé que le Maître avait enlevé la racine de mes maladies.
Des épreuves et des tribulations
En faisant de plus en plus les exercices, j'ai vécu des choses étonnantes : mon œil céleste s'est ouvert et j'ai pu sentir que mon circuit céleste se mettait en place.
Un jour, j'ai vu pendant la méditation que le site d'exercice était entouré d'un bouclier de lumière rouge. Même lorsque je suis rentré chez moi et que je suis allée travailler, le bouclier a continué à me couvrir - cela a duré quelques jours. J'ai senti des courants chauds circuler dans tout mon corps, surtout dans mes jambes. Il est devenu plus facile de me rendre au travail à vélo ; mon visage est également devenu plus lisse et plus propre.
Mais tout n'a pas été aussi facile. Une fois, en mars 2003, j'ai présenté des symptômes intenses de rhume. J'avais des frissons partout, mes os me faisaient mal et j'avais mal à la gorge. J'ai perdu la voix.
J'ai pensé au Fa du Maître :
« À une certaine étape, on vous amènera à ne plus savoir ce qui est vrai ou ce qui est faux, on vous fera douter de l’existence du gong, de la possibilité de cultiver, de votre capacité à vous élever par la cultivation et la pratique, de l’existence des bouddhas et de l’authenticité de tout cela. À l’avenir, ce genre de situation pourra se produire, cela créera en vous de fausses impressions qui vous feront douter de l’existence de tout cela, qui vous feront croire que tout est faux, c’est pour voir si vous pouvez tenir bon. » (Sixième Leçon, Zhuan Falun)
Cette fois, j'ai été durement touchée. Tout mon corps - les pores de ma peau, le bout de mes doigts et mes chevilles - dégageait une forte odeur de médecine chinoise. Cette odeur s'est répandue dans ma chambre et sur mes vêtements. Je lisais tous les jours des conférences du Maître et je suivais les conseils du Fa. Au bout d'une semaine, les symptômes se sont atténués. Mais de temps en temps, pendant quelques années encore, je pouvais encore détecter cette odeur qui persistait au bout de mes doigts.
Une autre fois, en août 2008, j'ai ressenti un engourdissement soudain dans un de mes bras alors que je faisais la lessive. Bientôt, cette moitié-là de mon corps était engourdie.
« Dois-je aller à l'hôpital ? » ai-je pensé, avant de réaliser tout de suite après que ce n'était pas bien de penser de cette façon. Les pratiquants ne devraient pas avoir de maladies ; ces symptômes n'étaient que des signes de l'élimination du karma.
Le lendemain matin, en me brossant les dents, je me suis rendu compte que je ne pouvais pas fermer complètement la bouche - la moitié de ma langue était paralysée. Un liquide, qui avait un fort goût de médicament, s'écoulait de mes lèvres.
Pourtant, je suis restée imperturbable. J'ai continué ma journée comme d'habitude et je suis allée travailler. Au bout d'une semaine, les choses sont revenues à la normale.
Enfant, mon père me donnait souvent des médicaments. Je savais que le Maître purifiait à nouveau mon corps et qu'il purgeait les substances que j'avais prises auparavant.
Le Maître a dit :
« Cette purification du corps ne concerne que ceux qui sont vraiment là pour apprendre la méthode, qui sont vraiment là pour étudier la Loi. Nous insistons sur un point : si vous ne pouvez pas vous débarrasser de cette préoccupation et mettre de côté votre maladie, nous ne pourrons rien faire, dans votre cas nous serons incapables de faire quoi que ce soit. » (Première Leçon, Zhuan Falun)
Aujourd'hui, j'ai presque la soixantaine et je suis en très bonne santé ; j'ai l'air très jeune. Je sais que ce sont toutes des bénédictions qui m'ont été données par le Maître. Je suis très reconnaissante du salut bienveillant du Maître !
Traduit de l'anglais
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