(Minghui.org) Avant de pratiquer le Falun Dafa, je souffrais de nombreux maux tels que des douleurs articulaires, des vertiges et des douleurs aux jambes. Mais ce qui était le plus difficile pour moi, c'était les conflits avec ma belle-famille.

Ma belle-sœur impitoyable

Mon beau-père vivait en face de chez moi. Une fois, j'ai voulu lui construire une pièce supplémentaire devant sa maison.

Après avoir entendu ça, la troisième belle-sœur de mon mari a mis un tas paille de blé à cet endroit en disant qu'elle possédait une partie de ce terrain. Elle vivait à un pâté de maison de là, ainsi sa réclamation était scandaleuse !

Par la suite, nous nous sommes battues. Elle m'a griffée le visage, mais je n'ai jamais osé me défendre. J'ai pleuré pendant un moment et je me suis sentie être une innocente victime. Je voulais simplement construire une pièce pour mon beau-père, pas pour moi !

La belle-sœur aînée de mon mari était connue pour se quereller avec les gens en public et même les autorités du village craignaient de la provoquer. Elle a répandu des rumeurs disant que je ne soutenais pas les personnes âgées et que je ne prenais même pas la peine de les accompagner quand elles mouraient.

Elle m'a souvent injuriée et mon beau-père nous a prévenus d'éviter de la voir. Des choses comme cela sont arrivées de nombreuses fois et ces conflits pesaient lourdement sur moi. J'avais l'impression qu'il n'y avait pas d'espoir dans la vie et je me sentais désespérée.

Je me réveillais souvent au milieu de la nuit, je m'installais dehors sur un petit tabouret et je pleurais. Je ne savais pas quand toutes les souffrances s'arrêteraient.

Dafa me transforme

En 1998, on m'a présenté le Falun Dafa. Maître Li (le fondateur) nous enseigne à être de bonnes personnes selon le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.

Peu à peu je suis devenue honnête, gentille, tolérante et paisible. Naturellement, j'ai commencé à m'entendre avec ma belle-famille et à considérer les autres d'abord. Je me suis finalement sortie de ce brumeux conflit de famille.

Une fois, mon fils a voulu acheter des pétards pour les revendre et m'a demandé : « Maman, vendons des pétards pendant le Nouvel An chinois. »

Je lui ai répondu : « On ne peut pas, c'est illégal, ne fais pas ça. » Mon fils a vu qu'il n'obtiendrait pas d'argent de ma part et à la place, il est allé vers son grand-père.

Il a acheté un gros sac de pétards. Contre toute attente, la police a confisqué les pétards quand il rentrait à la maison.

Je me demandais si je devais rendre l'argent à mon beau-père. Je me suis tout à coup rappelé un exemple cité dans le Zhuan Falun qui disait qu'un pratiquant avait été renversé par une voiture et qu'il n'avait pas demandé de compensation.

Cependant, je savais que les pratiquants devaient considérer les autres d'abord. Alors j'ai décidé de rendre l'argent à mon beau-père.

En fait, à ce moment-là, notre situation financière n'était pas bonne, alors j'ai emprunté de l'argent pour rembourser mon beau-père.

Cette nuit-là, j'ai senti des Faluns (roues de la loi) tourner dans mon abdomen pendant que je dormais. C'était la première fois que j'expérimentais cela ; j'étais très enthousiaste ! Je savais que j'avais fait ce qu'il fallait et le Maître m'encourageait.

À partir de ce moment-là, j'ai été plus déterminée dans la cultivation. Une année, pendant les vacances du Nouvel An chinois, le vent a provoqué un incendie chez un voisin qui brûlait ses ordures.

Ils sont vite venus demander de l'aide aux gens qui habitaient à proximité pour éteindre le feu. Malheureusement, le feu s'est propagé à toute la rue et a brûlé une maison après l'autre.

Voyant le feu qui faisait rage, j'ai prié le Maître : « Maître, c'est la réserve de bois de chauffe de ma famille pour un an. Je vous en prie, ne le laissez pas être brûlé ; je vous en prie, aidez-moi ! »

Étonnamment, quand le feu s'est dirigé vers notre réserve de bois, il a fait un détour. Le feu a également évité la maison de mon beau-père.

Aucune des maisons, excepté les nôtres, n'a échappé à l'incendie.

La nouvelle de ce miracle s'est vite répandue dans le village. Les gens qui luttaient contre le feu ont dit : « Toutes les maisons ont brûlé, mais les vôtres sont restées intactes ! Il doit y avoir des dieux qui protègent votre famille. Cela prouve vraiment que le bien est récompensé par le bien ! »

Je savais dans mon cœur que c'était le Maître qui avait protégé mon foyer. Je suis extrêmement reconnaissante pour son immense bienveillance !

Mon mari était aussi ému et s'est exclamé : « C'est incroyable ! »

Accepter d'être responsable de mon beau-père

En 2012, mon mari est décédé dans un grave accident de voiture. À cette époque, mon beau-père avait 83 ans. Il avait trois fils et deux filles.

Mon mari était le plus jeune de sa famille. Selon le bon sens, je n'aurais pas dû m'attendre à être la seule personne à prendre soin de mon beau-père. Aucun de ses enfants ne le voulait, cependant, alors je l'ai pris à la maison.

J'ai pensé : « Je suis une disciple de Dafa ; je ferai ce que le Maître a dit et j'utiliserai le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance pour me mesurer et valider la magnificence de Dafa par mes actions.

En mai 2014, mon beau-père a eu soudain une entérite et il déféquait partout. Je ne me suis pas plainte et j'ai commencé à nettoyer ses draps, sa literie et ses habits.

À midi, les membres de ma belle famille sont tous venus et nous l'avons emmené à l'hôpital. Pendant son traitement, mon beau-père était torturé par la maladie. Il criait comme s'il allait mordre quelqu'un. Le troisième beau-frère et la belle-sœur aînée n'osaient pas s'approcher de lui.

Je n'avais pas peur et je comprenais que ses symptômes étaient le résultat de son karma. Il payait ses dettes. Quand il était jeune, il abattait des porcs.

Je lui ai dit : « Récite avec moi : Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » Il a répété la phrase avec moi, encore et encore.

Puis il y a eu un miracle, il a arrêté de crier, son expression est devenue sereine et elle est restée ainsi jusqu'à sa mort. Je savais que le Maître lui avait enlevé de nombreuses douleurs.

Au moment d'enterrer mon beau-père, personne ne voulait payer les frais et se charger des funérailles. Un de ses enfants a pris les 22 000 yuans que mon beau-père avait laissés dans sa chambre.

J'ai payé les factures médicales de mon beau-père et même le coût des repas de ses enfants quand ils lui rendaient visite à l'hôpital. Toutes les dépenses m'ont coûté plus de 20 000 yuans, mais je n'ai jamais demandé un centime.

Grâce à cela, mes relations avec ma belle famille sont devenues harmonieuses. Tout le monde dans notre village comprend que les gens qui pratiquent Dafa sont bons.

Ma deuxième tante m'a dit : « Je t'admire ! » Je lui ai répondu : « C'est parce que je pratique le Falun Dafa, sinon, je n'aurais pas pu faire cela. C'est Maître Li Hongzhi et Authenticité-Bienveillance-Tolérance qui m'ont changée ! Le Maître m'a appris à prendre en considération les autres d'abord, à regarder à l'intérieur pour voir si j'ai fait quelque chose de mal et la corriger. »

Non seulement il a guéri mes maladies, mais il m'a aussi appris comment être une bonne personne et il a fait beaucoup de miracles. Chaque fois que j'avais des épreuves, le Maître les résolvait pour moi et me donnait un indice pour bien faire.

Je verse des larmes de joie chaque fois que je pense à ce qu'il a fait pour moi ! Je ne suis pas capable de le rembourser ; je ne peux qu'être plus diligente dans la cultivation.

Traduit de l'anglais