(Minghui.org) Quand mon beau-père était âgé de 80 ans, il a eu une hernie discale et il souffrait énormément. À cause de son âge et de l'état de sa colonne vertébrale, la chirurgie n'était pas possible. Alors il restait alité chez lui le plus possible.

Puisqu'il savait depuis longtemps à quel point j'avais bénéficié du Falun Dafa, alors il a été d'accord quand je l'ai encouragé à réciter « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ».

Pendant deux semaines, il a continuellement récité les phrases. Un jour, il a dit qu'il avait la sensation que ses os le démangeaient. Je l'ai réconforté et je lui ai dit que c'était le signe que quelque chose de bon se passait.

Une nuit, j'ai vu en rêve une substance noire qui s'échappait des vêtements de mon beau-père. Je savais que Maître Li purifiait son corps. Le jour suivant quand je lui ai demandé comment il se sentait, il a dit que ses douleurs dans le dos avaient disparu. Depuis lors, il est en très bonne santé.

Ma belle-sœur survit au cancer

Fin 2006, mon neveu m'a appelée pour me dire : « Ma mère sera opérée demain. Pourrais-tu s'il te plaît venir ? » Je suis tout de suite allée à l'hôpital et j'ai vu que ma belle-sœur était très inquiète. Elle a dit qu'elle n'avait rien mangé depuis deux jours.

Bien que je lui avais parlé plusieurs fois de la persécution de Falun Dafa par le Parti communiste chinois, elle refusait d'écouter parce qu'elle était membre du Parti et qu'elle avait peur d'être visée par le régime. Mais maintenant qu'elle vivait un moment vraiment difficile, j'ai décidé d'essayer encore une fois.

Je lui ai rappelé qu'elle m'avait vu pratiquer pendant toutes ces années et que le Falun Dafa n'était pas du tout ce que le régime communiste présentait dans sa propagande diffamatoire. Je lui ai encore parlé de personnes malades à un stade avancé qui avaient complètement guéri en récitant « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Je l'ai encouragée à réciter ces phrases elle aussi.

Cette fois, elle n'a pas immédiatement rejeté mon conseil, mais elle doutait encore un peu.

Le lendemain, juste avant l'opération, je lui ai rappelé de réciter les phrases. Je n'étais pas vraiment sûre si elle allait prendre mon conseil au sérieux. Après la chirurgie, son médecin a confirmé qu'elle avait un cancer très avancé et qu'elle n'avait plus que deux ou trois mois à vivre.

En général après une intervention chirurgicale, les patients ne peuvent pas manger avant d'avoir évacué leurs gaz intestinaux. Sept jours plus tard, ma belle-sœur n'avait toujours pas eu de gaz. Elle n'était donc pas autorisée à manger normalement. Encore une fois, j'ai essayé de la persuader : « Tu n'as rien à perdre si tu récites ces phrases. Rien n'est plus important que ta vie. »

Elle a finalement accepté mon conseil. Vers 20 h, elle a enfin été autorisée à manger. Plus tard, elle a dit : « Après avoir récité ces phrases, soudain mon corps est devenu plus léger, comme si quelqu'un desserrait une corde qui avait été attachée et serrée autour de moi. »

Deux ans se sont écoulés depuis son opération, et elle est toujours en vie.

Je ne pourrai jamais remercier assez le Maître d'avoir sauvé mon beau-père et ma belle-sœur.

Traduit de l’anglais