(Minghui.org) Le 19 juillet 2020, les pratiquants de Falun Gong ont organisé un rassemblement devant le Parlement d'Australie-Occidentale pour demander la fin de la persécution de cette pratique par le Parti communiste chinois (PCC).

Les pratiquants qui ont souffert de la persécution et qui ont fui la Chine ont partagé leurs tristes histoires. Les représentants élus et des professionnels du droit se sont aussi exprimés pour montrer leur soutien, et faire appel au gouvernement australien pour qu'il aide à arrêter la persécution.

Rassemblement devant le Parlement d'Australie-Occidentale

Un invité prend la parole lors du rassemblement.

Un invité tient un exemplaire du Rapport de Minghui Les 20 ans de persécution du Falun Gong en Chine.

Dean Smith, sénateur fédéral d'Australie-Occidentale, et Robin Scott, membre du Conseil législatif d'Australie-Occidentale, ont envoyé des lettres et des vidéos préenregistrées pour exprimer leur soutien.

« Je me lève avec vous et votre groupe dans mon cœur et je défends votre droit à la liberté de croyance d'une façon pacifique », a dit le sénateur Dean Smith.

« [Le] gouvernement chinois empiète sur les droits de l'homme, tels que les travaux forcés, la torture, l'emprisonnement et les prélèvements d'organes », a dit Robin Scott, membre du conseil législatif l'Australie-Occidentale. Il a dit que nous devons continuer à protester et que même si une seule personne est secourue de la persécution, cela en vaut la peine. Il a encouragé chacun à avoir le courage de parler franchement.

« Je me lève ici pour sauvegarder la liberté avec vous », a dit le vice-maire Peter Abetz de la ville de Gosnells. Il a été membre de l'Assemblée législative d'Australie-Occidentale de 2008-2017.

« Les gens ont besoin de se tenir debout, épaule contre épaule, pour arrêter la violation des droits de l'homme du PCC. L'exécution de prisonniers de conscience du PCC pour prélever des organes à vif pour la transplantation est une violation des droits de l'homme et un crime terrible », a-t-il dit.

Il a dit que le gouvernement australien et ses partenaires commerciaux devraient prendre la responsabilité d'assurer la liberté de religion et la liberté de parole, et que garder le silence quand on fait face à la perversité n'est pas une solution.

« Je vous soutiens inconditionnellement puisque vous êtes des personnes courageuses. Vous vous battez pour la liberté et la justice », a dit le professeur Augusto Zimmerman, chef du Département légal à l'institut de plus haute éducation de Sheridan et président de l'Association de théorie du droit d'Australie-Occidentale.

« Les personnes qui se battent pour la justice sont dignes de respect », a dit M. Zimmerman. « En tant qu'ancien commissionnaire de la Commission de la réforme légale d'Australie-Occidentale [2012-2017] et professeur de droit, je suis votre ami. Ensemble, nous nous battrons jusqu'à la fin pour vos droits. »

L'avocate des droits de l'homme, Me Andrea Tokaji est née en Roumanie et est bien au fait de la brutalité des régimes communistes. Elle a exprimé son admiration pour la persévérance des pratiquants dans leur croyance. Lors d'une interview avec The Epoch Times et New Tang Dynasty, elle a dit que les pratiquants de Falun Gong endurent la torture et les traumatismes, physiquement, mentalement et psychologiquement, mais restent fermes dans leur croyance.

« Ces gens sont remarquables, incroyables », a-t-elle dit. « Nous devrions faire l'éloge de cette résilience, de ce courage et de cette force. En tant qu'êtres humains, s'il n'y a pas de croyance et de dignité, qui y a-t-il d'autre ? »

Me Tokaji a dit aux Australians qu'ils devraient soutenir et aider ceux qui combattent pour les droits de l'homme.

Traduit de l'anglais