(Minghui.org) En mai 2020, les pratiquants de Falun Dafa de Houston ont décidé de sortir tous les samedis pour parler aux gens de la méthode méditative du Falun Dafa et de sa persécution en Chine. Les pratiquants se tiennent le long du boulevard Bellaire à Houston et dans une rue de Sugar Land à midi le samedi, et tiennent des banderoles contenant des informations sur la persécution qui perdure depuis vingt et un ans. La police de Houston a officiellement approuvé les activités.

En août, la température dans la région de Houston atteignait souvent les 41 °C à midi. Les efforts continus des pratiquants ont attiré l'attention de nombreux conducteurs. Pour montrer leur soutien, plusieurs ont klaxonné ou ont gratifié les pratiquants d'un pouce levé. L'un d'entre eux est allé voir les pratiquants et leur a dit : « Vous êtes géniaux ! » Un autre a pris des photos et a félicité les pratiquants pour être « vraiment exceptionnels ».

La persévérance des pratiquants est respectée

Un homme et sa femme originaires de Chine ont vu la longue file de banderoles le long de la rue le 27 juin 2020. Il est passé lentement devant et, à l'aide de son téléphone, il a filmé chaque banderole et a enregistré les explications qui étaient données. Il a dit aux pratiquants qu'il admirait leur courage de se tenir debout dans la chaleur pendant la pandémie pour faire ce qu'ils croyaient être juste. L'homme produit des vidéos d'activités locales sur sa plateforme de médias sociaux. Il a dit qu'il était étonné de voir que tant de gens pratiquaient le Falun Dafa en dehors de la Chine et il voulait le documenter.

Les pratiquants de Falun Dafa tiennent des banderoles dans le quartier chinois de Houston pour dénoncer la persécution brutale dont font l'objet les pratiquants en Chine.

L'homme a interrogé deux pratiquants, il leur a demandé s'ils étaient payés. Une pratiquante, Mme Peng, a répondu : « Nous sommes venus volontairement ici pour qu'un plus grand nombre de personnes puissent davantage connaître le Falun Dafa. Avec cette terrible pandémie et la chaleur intense, nous voulons que les gens soient informés de la persécution. » M. Li, un autre pratiquant, a ajouté : « Pour être honnête, je ne partirais pas même si l'on me payait un million de dollars. » L'homme a ensuite demandé si ces pratiquants avaient un travail. Mme Peng a répondu : « Je travaille dans un centre médical et M. Li est ingénieur électricien principal. Nous avons des emplois. » M. Li a dit que plusieurs des pratiquants qui tenaient les banderoles étaient titulaires d'un doctorat. « Beaucoup d'entre nous sont très instruits et sont des professionnels de tous les domaines, tels que l'industrie pétrolière et les entreprises médicales et de haute technologie », a-t-il déclaré.

Le Chinois a dit qu'il avait entendu parler des prélèvements d'organes autorisés par l'État chinois sur les pratiquants de Falun Dafa emprisonnés pour leur croyance. M. Li lui a dit de visiter le site web de l'Organisation mondiale d’investigation sur la persécution du Falun Gong. « Vous y trouverez des rapports résultant de diverses enquêtes montrant que le Parti communiste chinois (PCC) vise et prélève systématiquement les organes des pratiquants vivants. » Mme Peng a ajouté : « Le temps d'attente pour les transplantations d'organes en dehors de la Chine est au moins de plusieurs années. En Chine, cela ne prend qu'un mois, voire quelques jours. D'où proviennent ces quantités importantes d'organes ? C'est en effet tuer à la demande. Pendant la pandémie, les hôpitaux affirment qu'ils pratiquent des transplantations pulmonaires bilatérales. Aucun donneur vivant ne peut survivre à cela ! »

Un camion avec des informations sur le Falun Dafa fait le tour du quartier chinois de Houston.

Des habitants de Sugar Land soutiennent et rejoignent les pratiquants

Le 11 juillet, Catherine Owings a dit aux pratiquants de Sugar Land qu'elle aimerait se joindre à eux et aider à tenir les banderoles. « Les pratiquants sont très courageux d'exprimer ouvertement leurs points de vue, et je veux être une des leurs. Je soutiens la liberté de croyance. » Catherine a dit qu'elle ne croyait pas au communisme : « Le but du communisme est de détruire les âmes humaines, c'est pourquoi je suis contre. »

Catherine Owings (2e à partir de la gauche) s'est jointe aux pratiquants le 11 juillet 2020, pour montrer son soutien à la liberté de croyance.

Attiré par l'activité, Terry s'est arrêté et a écouté comment les pratiquants en Chine sont torturés. Il était d'accord avec ce qui est écrit sur les banderoles, en particulier « La Chine n'est pas le PCC ». « Les atrocités de prélèvements d'organes sur des pratiquants vivants doivent cesser », a-t-il dit. « Ces crimes sont une menace pour le monde. »

Les pratiquants de Houston tiennent des banderoles à Sugar Land pour informer les gens de l’impact négatif du PCC sur le monde.

Elsa, une journaliste d'un journal local, est venue photographier les activités des pratiquants et a posé plusieurs questions. Après avoir appris la gravité de la persécution en Chine, elle a exprimé sa sympathie et admiré ce que les pratiquants faisaient pour faire connaître la vérité. Elle a dit qu'elle accorderait plus d'attention à cette histoire.

Tina, une militante communautaire, a dit à un pratiquant : « Vous faites ce qu'il faut pour révéler les nombreuses mauvaises choses que le PCC a faites.» « Je lis la version anglaise de The Epoch Times. Le journal dénonce courageusement ce qui se passe et dit la vérité. J'ai aussi appris comment le PCC a couvert la pandémie. » Elle a été particulièrement outrée d'apprendre que le PCC avait infiltré la communauté locale et menaçait les entreprises qui vendent le journal The Epoch Times. Elle a pris une photo de la banderole qui dit « Appelez le Covid 19 virus du PCC : la dissimulation du Parti communiste chinois a conduit à la pandémie » et l'a postée sur sa page de médias sociaux.

Traduit de l'anglais