(Minghui.org) Ma mère était une enfant malade et faible à cause d'une tuberculose osseuse, une maladie qui a déformé sa colonne vertébrale en la courbant comme un bossu et l’a rendue incapable de marcher jusqu'à l'âge de neuf ans. Les traitements ont été inefficaces.
En vieillissant, elle a souffert de neurasthénie, de migraines et d'autres maladies. Après son mariage, elle a développé un kyste de la vésicule biliaire, une tumeur de la thyroïde et une maladie rénale. Elle ne pouvait ni travailler ni bien dormir à cause du kyste de la vésicule biliaire. D'aussi loin que je me souvienne, à la maison, ses médicaments étaient partout sur la table.
Après le décès de ma grand-mère, ma mère est devenue irritable, capricieuse, et se réveillait souvent en pleurant au milieu de la nuit.
En octobre 1998, un voisin qui pratiquait le Falun Dafa lui a recommandé la pratique, mais en raison de son athéisme, elle a refusé. À la suite des invitations persistantes du voisin, ma mère a fini par participer à un groupe d'étude du Fa dans un village voisin.
Après avoir commencé la pratique de Dafa, elle s'est remise de ses maladies, et elle n'a pas pris de médicaments depuis plus de vingt ans. Elle est également devenue plus enjouée et son humeur s'est nettement améliorée.
Les changements positifs vécus par ma mère ont incités mon père, moi, ainsi que d’autres personnes de notre village à commencer la pratique du Falun Dafa.
Les premières pensées déterminent un bon ou un mauvais résultat
Ma mère et une pratiquante âgée de 70 ans sont sorties en vélo électrique pour distribuer des documents d'information sur Dafa. Alors qu'elles traversaient à un feu de circulation, une voiture a tourné tout à coup et les a percutées. La tête de ma mère a heurté la voiture et ensuite elle est tombée par terre. La pratiquante âgée assise à l'arrière est également tombée de la bicyclette.
Au moment de l'accident, ma mère a pensé : « Je vais bien, je suis une pratiquante. » Lorsqu'elle s'est examinée, elle allait bien, à l'exception d'une petite égratignure sur la main. L'autre pratiquante n'avait qu'une bosse sur la tête. La bicyclette, cependant, était complètement abîmée.
Le conducteur est sorti de sa voiture et a dit : « Mon clignotant était allumé, pourquoi n'avez-vous pas fait attention ? » Il a alors vu que ma mère était blessée et a demandé : « Que puis-je faire pour vous ? » Ma mère a répondu : « Vous pouvez partir. »
Le conducteur a été surpris et a dit : « Je vous donnerai de l'argent pour la réparation du vélo. » Ma mère a répondu : « Je ne veux pas de votre argent, je pratique le Falun Dafa. »
Avant de partir, le chauffeur a dit : « Maintenant, je crois que les pratiquants de Falun Dafa sont de bonnes personnes. »
Deux femmes qui ont été témoins de l'accident ont reproché à ma mère d'avoir laissé le chauffeur partir. Ma mère leur a dit : « Je pratique le Falun Dafa. Mon Maître nous demande d'être de bonnes personnes. »
Une autre fois, ma mère et ma tante se sont rendues dans un bureau du gouvernement. Elle a dit qu'elle s’était sentie poussée et elle est tombée dans un escalier comptant 16 marches. Ma tante a essayé de l’agripper, mais elle n'y est pas arrivée. Elle a eu si peur qu'elle s'est mise à pleurer.
En bas de l'escalier, ma mère s'est relevée et ma tante a dit qu'elles devraient se rendre à l'hôpital pour la faire examiner. Ma mère a dit : « Je vais bien, ce n'est pas grave. » Ma tante ne l'a pas crue et a demandé à ma mère de faire quelques pas. Ma mère a fait ce qu'on lui demandait et a dit : « J'ai mon Maître pour me protéger, donc je vais bien. »
Le lendemain, ma tante a appelé ma mère pour lui demander comment elle allait. Après avoir appris que ma mère allait bien, elle a dit : « Vous, les pratiquants, vous êtes vraiment étonnants. Si j'étais tombée dans les escaliers comme ça, je n'aurais pas pu me relever. »
Traduit de l'anglais
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