(Minghui.org) J’ai commencé à pratiquer le Falun Gong, également connu sous le nom de Falun Dafa, en 1998. Au cours des vingt-deux dernières années, Maître Li, le grand et compatissant fondateur du Falun Gong, m’a sans cesse protégé des tribulations. Il m’a aussi donné des indices quand j’ai fait face à des tests. Sans le Maître, je ne serais pas ce que je suis aujourd’hui. J’ai tellement de chance d’être disciple de Dafa. Un grand merci au Maître !

L’acide sulfurique n’a pas ruiné mes doigts

J’ai perdu mon emploi et ma famille lorsque j’ai été libéré d’un camp de travaux forcés en 2005. Même si c’était douloureux, je ne me suis pas effondré, parce que j’avais Dafa dans le cœur. Plus tard, un parent m’a trouvé un emploi dans un laboratoire d’analyse.

À une occasion, le siège social a voulu vérifier le travail que notre laboratoire avait fait, donc nous avons dû faire des heures supplémentaires tous les jours. Mon travail impliquait beaucoup de réactifs chimiques, y compris de l’acide fort et de l’alcali, qui sont très corrosifs. Une goutte peut brûler du tissu et blesser la peau.

Un jour, les doigts de ma main gauche ont commencé à brûler même si je portais des gants. J’ai réalisé que l’acide fort avait touché mes doigts. Je les ai rincés avec beaucoup d’eau, mais il était trop tard. La douleur était insupportable. Je me sentais mal à l’aise et je ne savais pas quoi faire.

La douleur était si intense que je ne pouvais pas me calmer ni émettre la pensée droite. J’ai soudain pensé au Maître et demandé son aide et, instantanément, mes doigts ne m’ont plus fait mal. J’étais tellement émue que j’ai éclaté en sanglots. Je savais que le Maître avait supporté la douleur pour son disciple. Après un certain temps, j’ai pu méditer et émettre la pensée droite.

Échapper à l’arrestation

Avant l’ouverture des Jeux olympiques de Pékin en 2008, le Parti communiste chinois (PCC) a harcelé et arrêté des pratiquants de Falun Gong dans tout le pays. Je louais une maison à ce moment-là et n’avais pas d’adresse enregistrée, donc le Bureau 610 local ne savait pas où j’étais.

Je suis allé sur notre site d’étude collective en vélo un après-midi et j’ai été impliqué dans un accident de la circulation sur le chemin du retour. Je ne sais pas ce qui s’est passé. Quand je me suis réveillé, c’était le lendemain. Je me trouvais dans un lit d’hôpital raccordé à un tube d’oxygène dans mon nez, un cathéter urinaire et une intraveineuse. Deux policiers se tenaient à côté de mon lit.

J’étais un peu confus, mais j’ai vite réalisé ce qui s’était passé. Je n’accepterais jamais la persécution — le Maître a le dernier mot. J’ai demandé au Maître de m’aider à renforcer mes pensées. J’ai émis la pensée droite sans arrêt pour éliminer toute interférence et j’ai refusé de répondre aux questions des policiers.

Je sentais que je ne pouvais pas rester à l’hôpital, mais le médecin ne m’a pas libéré. Il a insisté sur le fait que ma famille devait signer les papiers de décharge. Ils ont demandé à mon frère aîné et à ma sœur cadette de venir à l’hôpital, mais les policiers voulaient d’abord leur parler.

J’ai attendu mon frère et ma sœur. Quand ils sont venus ce soir-là, ils avaient des expressions étranges sur leurs visages. Ils m’ont dit qu’on pouvait rentrer chez nous. En sortant de l’hôpital, le chef du Bureau 610 est venu et m’a dit : « Nous voulions à l’origine vous emmener au centre de lavage de cerveau, mais vous pouvez rentrer chez vous maintenant. »

Je savais que les forces perverses qui avaient essayé de me persécuter avaient été désintégrées. C’est le Maître qui a de nouveau résolu cette épreuve pour moi. Mon cœur était rempli d’une immense gratitude envers le Maître.

Survivre à un accident de la circulation

En juillet 2015, mon vélo électrique a été heurté par un taxi. J’ai été jeté à quelques mètres plus loin et j’ai atterri sur le sol, face contre terre. Alors que la chauffeuse de taxi m’aidait, ma tête bourdonnait et mon visage était chaud. Parce que j’avais heurté le sol si fort, j’avais perdu quelques dents.

La conductrice avait tellement peur que ses mains tremblaient. Elle a dit d’une voix tremblante : « Laissez-moi vous emmener à l’hôpital. »

J’ai dit : « Tu as heurté une bonne personne aujourd’hui. Je suis un pratiquant de Falun Gong. Je vais m’en sortir. Il n’est pas nécessaire d’aller à l’hôpital. Je suis le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Je ne vais pas vous extorquer d’argent. »

Je lui ai alors raconté les faits sur le Falun Gong. Quand je l’ai encouragée à démissionner du PCC, elle a dit que dans sa famille seulement sa fille avait rejoint les Jeunes Pionniers. Elle m’a demandé d’aider sa fille à démissionner de cette organisation. De son ton, je pouvais sentir qu’elle était plus calme et plus détendue.

Je lui ai dit de réciter sincèrement : « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » J’ai refusé son offre d’écrire son numéro de téléphone. Je suis rentré chez moi avec mon vélo électrique endommagé.

Sur le chemin du retour, un jeune vendeur de fruits a vu mon visage blessé et m’a demandé ce qui s’était passé. Il m’a demandé pourquoi je n’avais pas demandé au chauffeur une indemnisation.

J’ai dit : « Je suis un pratiquant de Falun Gong. Je vais m’en sortir. Les pratiquants ne prennent pas l’argent d’autres personnes. »

Il a dit : « Tous les pratiquants de Falun Gong sont de bonnes personnes. » Je lui ai expliqué les faits sur la pratique et il a pris les documents d’information que je lui ai offerts.

J’ai été choqué de voir mon visage dans le miroir. Le côté droit était enflé et meurtri, et mon menton saignait. J’avais deux écorchures dans la paume de ma main droite et elles saignaient encore.

Mes blessures ont complètement guéri en une semaine et il n’y avait aucune marque sur mon visage. J’étais très heureux. Le Maître m’a non seulement sauvé de cette tribulation, mais il m’a aussi aidé à rembourser beaucoup de karma.

Traduit de l’anglais