(Minghui.org) Après plus de deux décennies d’efforts pacifiques des pratiquants de Falun Gong pour dénoncer la persécution de leur croyance par le Parti communiste chinois (PCC), de plus en plus de gens ont compris à quel point la persécution est terrible et à quel point le Falun Gong est merveilleux.
Le Falun Gong, également connu sous le nom de Falun Dafa, est une discipline méditative et spirituelle basée sur Authenticité-Bienveillance-Tolérance que le régime communiste chinois persécute depuis 1999.
Voici trois exemples de personnes montrant leur soutien au Falun Gong, racontés par trois pratiquants de deux provinces différentes.
Une femme souhaite que les pratiquants puissent aider à gérer la pandémie
Je suis un pratiquant de Falun Gong de la province du Liaoning. Récemment, chaque fois que je clarifie les faits aux gens, la plupart approuvent avec un hochement de la tête et un sourire.
Un jour, j’ai rencontré une femme qui était très heureuse quand elle a découvert que j’étais un pratiquant de Falun Gong. Elle m’a dit qu’elle avait déjà démissionné du PCC et de ses organisations. Lorsque nous avons parlé de la pandémie du coronavirus, elle a déclaré : « J’aimerais que les pratiquants de Falun Gong puissent participer au groupe de travail sur la pandémie. »
Quand je lui ai demandé pourquoi, elle a répondu : « Si vous travaillez sur les lignes de front dans la lutte contre la pandémie, vous aurez beaucoup plus de chances de dire aux gens les phrases de bon augure ”Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon“ et aider plus de gens à démissionner du PCC, donc plus de gens seront bénis. »
Cela m’a vraiment surpris. Elle m’a dit qu’elle savait comment accéder à des informations non censurées en ligne. Elle savait que la peste visait le PCC.
Un policier dit à sa mère de démissionner du PCC
Outre le grand public, de nombreux policiers ont également compris les faits concernant la persécution du Falun Gong par le PCC, comme dans cet incident raconté par une pratiquante dans la province du Hebei.
Le 21 décembre 2020, la pratiquante Hai s’est adressée à plusieurs personnes qui attendaient dans une gare routière. Elle a remis un calendrier du Falun Gong à une femme et a demandé : « Avez-vous entendu parler de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées ? Vous serez bénie si vous le faites. »
« Je sais », a répondu la femme dans la cinquantenaire. « Je l’ai déjà fait avec l’aide de mon fils. Il m’a dit que si je démissionnais de l’organisation des Jeunes Pionniers (une organisation du PCC) que j’ai rejointe quand j’étais petite, ma santé pourrait s’améliorer. J’ai accepté et, depuis, je me suis rétablie. »
Quand j’ai demandé ce que son fils faisait, elle m’a répondu : « Il est un policier. »
Elle a même pris un calendrier supplémentaire pour sa nièce.
Le chef de police libère une pratiquante
Alors qu’une pratiquante de la ville de Baoding, dans la province du Hebei, parlait du Falun Gong sur un marché en octobre 2018, elle a été suivie par le chef du poste de police local et trois autres policiers. Quand ils ont commencé à l’emmener, elle a crié : « La police m’arrête ! » Les gens se sont rassemblés et certains ont condamné les policiers, mais ils l’ont emmenée quand même.
Au poste, elle a refusé de répondre à leurs questions et leur a plutôt dit comment elle avait bénéficié de la pratique du Falun Dafa à la fois physiquement et mentalement, à quel point le Falun Dafa est merveilleux, et que des gens dans plus de cent pays le pratiquent.
Elle a dit à la police que ce qu’ils faisaient était illégal, car il n’y a pas de loi en Chine qui dit que pratiquer le Falun Dafa est un crime. Et, selon les lois récemment adoptées sur la fonction publique et la police, chaque policier sera tenu responsable de toutes les affaires qu’il aura traitées au cours de sa vie. Elle a dit qu’elle ne voulait pas qu’ils deviennent complices du crime sans le savoir et qu’ils soient tenus responsables à l’avenir.
Cet après-midi-là, ils allaient l’emmener à l’hôpital pour un examen afin qu’elle puisse être admise au centre de détention local. Lorsqu’elle a été mise dans une voiture de police, son mari a essayé de la sortir de la voiture, leur demandant : « Pourquoi arrêtez-vous ma femme ? Elle veut juste être une bonne personne. C’est un crime ? Vous ne pouvez pas l’emmener ! »
Lorsque les policiers l’ont repoussé, il s’est tenu devant la voiture et a dit : « Si vous voulez emmener ma femme, vous devrez d’abord passer sur mon corps ! »
Après un certain temps, le chef est sorti de la voiture et a dit à la pratiquante : « Vous pouvez partir. Je sais que les pratiquants de Falun Dafa sont de bonnes personnes. Nous ne pouvons pas agir contre notre conscience. »
Le couple a récupéré tous ses effets personnels confisqués et est rentré chez eux.
(Un article connexe est disponible dans la version chinoise.)
Traduit de l’anglais
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