(Minghui.org) Sanctionner les responsables de violations des droits de l'homme est devenu courant parmi les pays démocratiques. Après que les États-Unis ont adopté la loi Magnitsky en 2016, le Canada, le Royaume-Uni et l'Union européenne qui compte 27 pays membres ont promulgué des lois similaires. L'Australie et le Japon travaillent sur le sujet.

Conformément à ces lois, les pratiquants de Falun Gong ont dressé des listes de responsables impliqués dans la persécution du Falun Gong ces dernières années. Chaque année, ils présentent plusieurs listes aux gouvernements démocratiques, les exhortant à sanctionner les responsables cités.

À partir du 14 juillet 2021, les pratiquants de Falun Gong de plus de 30 pays ont remis à leur gouvernement respectif la nouvelle liste des personnes impliquées dans la persécution du Falun Gong. Les pratiquants demandent que des sanctions soient prises contre ces responsables de violations des droits de l'homme, y compris l'interdiction d'entrée dans leur pays et le gel de leurs avoirs à l'étranger.

Le nom de Ji Bingxuan figure sur cette liste.

Informations sur le responsable de la persécution

Nom complet du responsable : Ji (nom de famille) Bingxuan (prénom)

Sexe : Masculin

Pays : Chine

Date de naissance : Novembre 1951

Lieu de Naissance : District de Mengjin, province du Henan

Titre ou fonction

Novembre 1998 ‒ juillet 2001 : Vice-directeur de l'administration nationale de la radio, du cinéma et de la télévision (SARFT) et secrétaire adjoint de son Comité du Parti communiste chinois (PCC)

Août 2001 ‒ avril 2003 : Vice-directeur du Département central de la propagande du PCC et membre du Bureau central du maintien de la stabilité du PCC

Décembre 2002 ‒ mars 2003 : Membre du Groupe central de direction du PCC pour la prévention et le traitement des questions liées aux sectes

Avril 2003 ‒ mars 2008 : Directeur adjoint exécutif du Département central de la propagande du PCC, membre du Bureau central du maintien de la stabilité du PCC et membre du Groupe central de direction du PCC pour la prévention et le traitement des questions sectaires (jusqu'en avril 2004)

Novembre 2005 ‒ mai 2008 : Directeur du bureau du Comité directeur central pour la construction d'une civilisation spirituelle

D'avril 2008 à mars 2013 : Directeur du Comité permanent de l'Assemblée provinciale populaire et secrétaire du Comité du Heilongjiang du PCC

De mars 2013 à aujourd'hui : Vice-président du Comité permanent de l'Assemblée nationale populaire et membre du Comité du PCC de l'Assemblée nationale populaire

Dans le cadre de la persécution contre le Falun Gong, Ji Bingxuan a occupé de nombreux postes importants au sein du gouvernement central et des gouvernements locaux du PCC. Il était un membre important du groupe central du PCC dirigé par Jiang Zemin dans la persécution du Falun Gong.

Pendant son mandat de directeur adjoint de l'Administration nationale de la radio, du cinéma et de la télévision (SARFT) et de ministre adjoint du Département central de la propagande du PCC, il a utilisé l'appareil de propagande sous son contrôle pour concocter et diffuser des mensonges afin de calomnier le Falun Gong, ce qui a permis de « justifier » la persécution et de persuader les gens de haïr cette pratique.

Pendant son mandat de secrétaire du Comité du Heilongjiang et de directeur du Comité permanent du Congrès populaire provincial, il a activement mis en œuvre les politiques de persécution pour « ruiner la réputation des pratiquants, les détruire physiquement et les mettre en faillite financièrement ».

Au cours des vingt-deux dernières années, la persécution du Falun Gong dans la province du Heilongjiang s'est classée parmi les pires en Chine. En tant que membre clé du PCC et cohorte de Jiang Zemin dans la persécution du Falun Gong, les crimes de Jiang doivent faire l'objet d'une enquête approfondie, sans impunité.

Voici une sélection de certains des crimes commis par Ji Bingxuan dans la persécution du Falun Gong.

Les crimes commis pendant le mandat de Ji à l'Administration nationale de la radio, du cinéma et de la télévision (SARFT)

Le 20 juillet 1999, après que le PCC a lancé publiquement sa répression du Falun Gong, la SARFT a immédiatement annoncé son soutien. Sous le contrôle de la SARFT, les entités de radiodiffusion et de cinéma du PCC à tous les niveaux, du central au local, ont produit et diffusé un grand nombre d'émissions de radio et de films qui diffamaient et attaquaient le Falun Gong.

Le 21 mars 2000, la télévision centrale chinoise (CCTV) a tenu sa réunion annuelle de 1999. Ji Bingxuan, en tant que directeur adjoint de la SARFT, a prononcé un discours affirmant et louant le rôle joué par CCTV dans la diabolisation du Falun Gong.

En particulier, après que CCTV a diffusé la fausse histoire des auto-immolations sur la place Tiananmen en 2001, la SARFT lui a ordonné, ainsi qu'à d'autres stations de télévision locales, de produire une série de films, de programmes télévisés, de drames et d'autres produits audiovisuels pour vilipender davantage le Falun Gong.

Cette propagande a jeté de l'huile sur le feu de la persécution, incitant les gens à haïr les pratiquants de Falun Gong et donnant l'impulsion au PCC pour le supprimer. Ji Bingxuan, qui était alors directeur adjoint de la SARFT et secrétaire adjoint du Comité du Heilongjiang du PCC, doit être tenu pour responsable de ces activités.

Les crimes commis pendant son mandat au Département central de la propagande du PCC

Ji Bingxuan a occupé, d'août 2001 à mars 2008, les postes de directeur adjoint et de directeur adjoint exécutif du Département central de la propagande du PCC, de membre du Bureau central du maintien de la stabilité du PCC et de membre du Groupe central de direction du PCC pour la prévention et le traitement des problèmes liés aux sectes (mars 2003-avril 2004).

En tant qu'organisation relevant directement du Comité central du PCC, le Département de la propagande a un contrôle total sur ce que les médias nationaux diffusent et donc sur ce à quoi le pays tout entier est exposé. Le Département de la propagande a manipulé les médias pour concocter des centaines de mensonges diffamant le Falun Gong afin d'inciter à la haine et de tromper le public. Le Département central de la propagande est devenu important pour influencer l'opinion publique dans la répression du Falun Gong par le PCC. Ji Bingxuan a occupé le poste de directeur adjoint du Département central de la propagande pendant près de sept ans et il porte l'entière responsabilité de tous les dénigrements du Falun Gong qui ont eu lieu pendant cette période.

Le 21 août 2003, Ji Bingxuan a écrit la préface de plus de dix mille mots du livre Interview focus livre rouge publié par l'émission « Interview focus » de CCTV. Dans cette préface, il applaudit l'émission pour son rôle important dans « l'exposition et la dénonciation » du Falun Gong. L'émission « Interview focus » a joué un rôle clé dans la diffusion de la propagande. Pour attirer l'attention sur la répression, la station a produit et diffusé de nombreux épisodes de « Interview focus » discréditant le Falun Gong.

De plus, de mars 2003 à avril 2004, Ji Bingxuan était également membre du Bureau central du maintien de la stabilité et membre du Groupe central de direction pour la prévention et le traitement des problèmes de secte. Pendant cette période, un grand nombre de pratiquants de Falun Gong ont été persécutés dans tout le pays.

Les crimes commis pendant son mandat dans la province du Heilongjiang

Arrestations massives de pratiquants de Falun Gong

Ji Bingxuan a été directeur du Comité permanent de l'Assemblée provinciale populaire et secrétaire du Comité du Heilongjiang du PCC d'avril 2008 à mars 2013. À cette époque, la persécution du Falun Gong dans la province du Heilongjiang était l'une des pires du pays.

Après avoir pris ses fonctions, Ji Bingxuan a dirigé des arrestations massives de pratiquants dans la province et a donné des ordres pour qu'ils soient détenus, emmenés dans des centres de lavage de cerveau, placés dans des camps de travaux forcés et condamnés à des peines de prison. Voici quelques exemples d'arrestations massives qui ont eu lieu dans la province du Heilongjiang pendant son mandat.

-De fin juin 2008 à début juillet 2008, au moins 43 pratiquants de la ville de Daqing ont été arrêtés, et nombre d'entre eux ont été emmenés dans des camps de travaux forcés ou condamnés à des peines de prison, tout cela au nom du « maintien de la stabilité pendant les Jeux olympiques ».

-Le 14 mai 2009, entre 2 et 6 heures du matin, des policiers de la ville de Jixi ont fait irruption au domicile de plus de 20 pratiquants et les ont arrêtés. Au total, au moins 27 pratiquants ont été arrêtés et une grande quantité de biens personnels ont été confisqués.

-Le 13 novembre 2011, le Département de la sécurité publique de la province du Heilongjiang et le Bureau de la sécurité publique de la municipalité de Harbin ont dépêché plus de 100 policiers spéciaux au domicile d'un pratiquant de Falun Gong dans la ville de Shuangcheng et ont arrêté 56 autres personnes qui participaient à une réunion de partage d'expérience. Trente-six d'entre eux ont été emmenés dans des camps de travaux forcés et sept ont été condamnés à des peines de prison.

-Du 7 au 28 décembre, plus de 50 pratiquants ont été arrêtés à Shuangcheng, à Harbin, et dans les cantons et villes voisines.

-Le 31 décembre 2011, le Département de la sécurité publique de la province du Heilongjiang et le Bureau municipal de la sécurité publique de Harbin ont lancé la campagne « Plan zéro ». Au cours de cette opération, plus de 30 pratiquants ont été arrêtés à Harbin avant minuit le 1er janvier 2012. Près de 20 d'entre eux, dont Zhang Shengguo, Hou Yinghua, Xiao Kun et Xiao Yang, ont été condamnés à des peines allant jusqu'à neuf ans de prison. De nombreux autres, dont Zeng Shuling, Liu Yan et Tian Qingling, ont été emmenés dans des camps de travaux forcés.

-Le 10 septembre 2012, des dizaines de policiers de la ville de Jiamusi ont utilisé la violence pour arrêter quinze pratiquants, dont dix ont été emmenés dans des camps de travaux forcés.

-Le 2 novembre 2012, les autorités de la ville de Mudanjiang ont déployé un grand nombre de policiers pour arrêter 39 pratiquants.

-Dans la soirée du 29 mars 2013, les autorités du canton de Yilan, du district de Fangzheng et du district de Tonghe dans la ville de Harbin ont dépêché un grand nombre de policiers qui ont arrêté au moins 61 pratiquants locaux. Leurs maisons ont été saccagées et 14 d'entre eux ont été condamnés à des peines de prison allant de trois à treize ans.

Soumettre les pratiquants à un lavage de cerveau

Le PCC peut envoyer un pratiquant de Falun Gong dans un centre de lavage de cerveau sans suivre aucune procédure légale. La plupart de ces installations de lavage de cerveau sont identifiées comme des « écoles d'éducation juridique » ou des « classes d'apprentissage », alors qu'elles sont en réalité un autre moyen par lequel le Bureau 610 tente de contraindre les pratiquants à abandonner leur croyance.

Pendant le mandat de Ji Bingxuan dans le Heilongjiang, il a ordonné que les pratiquants de Falun Gong soient détenus dans des centres de lavage de cerveau pour tenter de les forcer à abandonner leur croyance.

Il existe pas moins de dix centres de lavage de cerveau dans la province du Heilongjiang, et un grand nombre de pratiquants y ont été détenus. Par exemple, le centre de lavage de cerveau de la ville de Mishan a été créé en avril 2011. Avant la fin de cette année-là, au moins 16 pratiquants avaient été arrêtés et y étaient détenus.

-À la mi-octobre 2012, près de 20 pratiquants des villes Daqing, Qiqihar, Qitaihe, Mudanjiang et Lindian dans la province du Heilongjiang ont été arrêtés et emmenés au centre de lavage de cerveau de Qiqihar.

-Vers octobre 2010, sept pratiquants de la ville de Jixi, dont Wang Wenying et Mu Rongmin, ont été emmenés au centre de lavage de cerveau de Jixi.

-De juin à août 2012, au moins neuf pratiquants, dont Liu Fenglin, Dijie et Zhang Shuyun de la ville de Daqing, ont été arrêtés et emmenés au centre de lavage de cerveau de la ville de Daqing.

-Entre sa création en 2000 et novembre 2011, le centre de lavage de cerveau de la ville de Wuchang a détenu et persécuté plus de 400 pratiquants de Falun Gong.

Dans les centres de lavage de cerveau, les pratiquants sont forcés de regarder des vidéos qui calomnient le Falun Gong. Ils sont également battus, reçoivent des décharges électriques, sont suspendus par les poignets et sont obligés de rester debout et/ou accroupis pendant de longues périodes. Les responsables insultent et intimident les pratiquants, les privent de sommeil et les gavent s'ils font une grève de la faim pour protester contre la persécution.

-Le 29 juin 2012, Mme Li Cuiling de la ville de Yichun a été arrêtée et emmenée au centre de lavage de cerveau de la ville de Yichun. Le personnel du centre de lavage de cerveau lui a donné des coups de pied dans la poitrine et lui a cassé des côtes. Ils l'ont également suspendue par les poignets à plusieurs reprises, lui causant des blessures permanentes aux mains.

-Huo Jinping, un pratiquant de la ville de Jiamusi, a été secrètement enlevé du centre de détention de Jiamusi dans la nuit du 21 mars 2012, et emmené au centre de lavage de cerveau de la montagne Qinglong, où il a été battu et privé de sommeil. Le personnel du centre de lavage de cerveau lui a brûlé le visage avec des bougies, ce qui a laissé des cicatrices. Lorsque M. Huo a fait une grève de la faim pour résister, il a été gavé cinq fois par jour pendant six mois. La sonde d'alimentation était insérée par sa narine dans son estomac et n'était remplacée qu'une fois tous les deux mois. En conséquence, son estomac a été gravement endommagé et il était au seuil de la mort.

Décès de pratiquants

Selon les statistiques disponibles, pendant le mandat de Ji Bingxuan dans la province du Heilongjiang (avril 2008-mars 2013), un total de 88 pratiquants de Falun Gong ont été torturés à mort dans la province du Heilongjiang. 14 sont morts d'avril à décembre 2008 ; 22 sont morts en 2009 ; 15 sont morts en 2010 ; 19 sont morts en 2011 ; 14 sont morts en 2012 ; et 4 sont morts au cours du premier trimestre 2013.

Voici quelques exemples.

Le 25 février 2011, M. Qin Yueming, qui purgeait une peine de dix ans à la prison de Jiamusi, a été emmené dans les toilettes de l'hôpital de la prison. Cinq détenus lui ont tenu la tête pendant qu'un médecin a saisi sa langue avec des forceps, l'a sortie, et a entré de force un tube d'alimentation dans sa gorge et dans ses poumons, puis l'a gavé de lait salé. M. Qin a hurlé de douleur, mais personne n'y a prêté attention et il a continué à le gaver. De retour dans sa cellule, il a gémi de douleur toute la nuit et est mort le lendemain matin. Ses lèvres étaient bleues. Il avait saigné de la bouche et du nez, et il était couvert d'ecchymoses. Il était âgé de 47 ans.

Le 1er mars 2011, vers 15 heures, M. Yu Yungang a perdu connaissance après avoir été torturé par l'équipe de gestion stricte de la prison de Jiamusi. Il a été transporté d'urgence à l'hôpital pour subir une craniotomie. Après l'opération, il est resté dans l'unité de soins intensifs de l'hôpital, surveillé de près par des gardes de la prison. Sa famille n'a pas été autorisée à le voir jusqu'à ce qu'elle proteste. Même alors, la police n'a autorisé que deux membres de sa famille à lui rendre visite. M. Yu regardait droit devant lui et ne pouvait reconnaître personne. Il est décédé à 15 heures le 5 mars. Des dizaines de gardiens de prison entouraient sa chambre d'hôpital, empêchant les membres de sa famille d'entrer jusqu'à ce que la police emmène son corps.

Le 8 mars 2011, vers 1 heure du matin, M. Liu Chuanjiang est décédé à l'hôpital pénitentiaire de Jiamusi après avoir été torturé. Il avait été choqué par quatre matraques électriques et son dos était écrasé. Il a également eu un bras cassé à cause des violents coups reçus. Les autorités pénitentiaires ont forcé sa famille à signer un accord d'incinération deux jours après sa mort.

M. Li Hongkui a été arrêté par le Bureau de la sécurité publique de Harbin le 23 septembre 2005 et condamné à sept ans de prison par le tribunal du district de Daoli. Il a été emmené à la prison de Daqing le 15 février 2007 et torturé à mort le 28 août 2012.

Dépression et incapacité physique

Pendant le mandat de Ji Bingxuan dans le Heilongjiang, de nombreux pratiquants de la province du Heilongjiang ont été persécutés si sévèrement qu'ils ont souffert de troubles mentaux ou d'un handicap physique. En voici quelques exemples.

Le 22 novembre 2008, Mme Fei Jinrong a été arrêtée et condamnée à quatre ans de prison. Dans le deuxième centre de détention de la ville de Hegang, Mme Fei a été enchaînée sur une chaise métallique pendant plusieurs jours et n'a pas été autorisée à dormir. Elle a été battue et agressée verbalement par les détenues de la même cellule. En seulement six mois, elle est devenue désordonnée mentalement à l'âge de 60 ans.

Mme Xiang Xiaobo, de la ville de Jiamusi, province du Heilongjiang, a été arrêtée le 10 septembre 2012 et condamnée à deux ans dans un camp de travaux forcés. Au camp de rééducation pour toxicomanes et de travaux forcés du Heilongjiang, elle a été placée à l'isolement et menottée, avec une main tirée vers le bas par-dessus son épaule et l'autre vers le haut derrière son dos. Les gardes l'ont obligée à s'asseoir sur un petit tabouret pendant de longues périodes et l'ont privée de sommeil. Elle était également nourrie avec des drogues inconnues. Après huit mois de torture, elle a fait une dépression et a été libérée. Elle est décédée deux ans plus tard à l'âge de 55 ans.

M. Zhang Puhe, ancien employé de la ferme de Jiansanjiang, a été arrêté en décembre 2002 et condamné à dix ans de prison. Dans la prison de Jiamusi, il a reçu des décharges électriques à haute tension, a été battu et placé à l'isolement. En conséquence, M. Zhang a souffert d'une atrophie cérébelleuse. Il a également contracté la tuberculose dans les deux poumons et a eu des calculs biliaires, une cholécystite et une occlusion par artériosclérose des deux extrémités inférieures. Le 24 décembre 2012, M. Zhang, alors âgé de 48 ans, a été libéré en fauteuil roulant après dix ans de torture.

M. Lin Zehua a été arrêté le 12 septembre 2007 et condamné à sept ans de prison en mars 2008. Le 10 juillet 2008, il a été emmené à la prison de Jiamusi. Pour le forcer à abandonner le Falun Gong, les gardiens ont incité les détenus à insulter, abuser et torturer M. Lin. Le 7 novembre 2008, les gardiens ont ordonné au détenu Li Yansong de le pousser dans les escaliers. Paralysé à partir de la poitrine, M. Lin a perdu la capacité de marcher et ne pouvait plus s'occuper de lui-même.

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Traduit de l'anglais