(Minghui.org) Bonjour vénérable Maître ! Bonjour compagnons de cultivation !
Avant de commencer à pratiquer le Falun Dafa en 2003, je menais une vie difficile. Je viens d'une grande famille et quatre générations ont vécu sous le même toit. Je devais faire la plupart des travaux ménagers et exploiter un supermarché en même temps. J'étais très occupée. Comme j'ai subi beaucoup de stress chaque jour au cours des décennies, j'ai développé de nombreuses maladies. Parfois j'ai eu le sentiment que je pouvais mourir à n'importe quel moment. J'aurais préféré mourir plutôt que vivre une telle vie.
J'étais toujours pâle et semblais épuisée. Un jour, ma voisine a suggéré que j'essaie de pratiquer le Falun Dafa. Elle a dit qu'elle avait l'habitude de voir trois médecins, mais ne s'est pas rétablie de ses maladies et elle vivait une vie pleine d'amertume. Cependant, ses maladies ont été guéries après avoir commencé la pratique.
Il y avait un point de pratique près de mon domicile, alors j'y suis allée. Le deuxième jour où j'ai fait les exercices, le poids invisible que je sentais toujours peser sur ma poitrine a disparu, et je me suis sentie très légère. Toutes mes maladies ont disparu. Le Falun Dafa est vraiment incroyable. Quand j'ai commencé à lire le Zhuan Falun, j'étais très enthousiaste. Je savais que c'était un livre précieux. Plus je le lisais, plus je voulais le lire.
Cultiver diligemment
Je me suis levée à 3 h 30 et j'ai fait un bon bout de chemin à pied jusqu'au point de pratique pour faire les exercices avec les autres pratiquants. J'ai dû me dépêcher de rentrer après avoir émis la pensée droite parce que je devais ouvrir mon supermarché et préparer des petits-déjeuners à emporter. En raison de la pression économique, je devais faire plus d'affaires. Je devais préparer entre deux et trois cents hamburgers pour le lunch pour l'école et environ soixante boîtes à lunch pour l'usine. Je n'avais même pas le temps de respirer.
Mon mari m'aidait avant que je pratique le Falun Dafa, mais il ne m'a pas aidée du tout après que j'ai commencé la pratique. Il rentrait à la maison assez longtemps pour manger, puis il partait. Je pensais que c'était injuste et je me plaignais beaucoup dans mon cœur. Les travaux ménagers étaient sans fin. Je n'avais pas beaucoup de temps pour étudier le Fa. Mais j'ai fait de mon mieux pour suivre le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance.
Mon mari m'a empêchée d'aller au point de pratique pendant les sept premières années. J'étais très triste. Il ne comprenait pas pourquoi je voulais pratiquer et il interférait de toutes les manières possibles. Un jour, je lui ai remis toutes nos économies, le titre foncier, etc. et j'ai dit : « Le Maître m'a donné une seconde vie. Mais tu t'opposes à ma pratique. Je suis très triste. On va se séparer. Je ne veux rien. Je te laisserai toute notre propriété. Je prendrai seulement mes livres de Dafa. »
Il était ému aux larmes et a dit qu'il ne voulait pas divorcer. Je lui ai dit que je resterais s'il n'interférait pas avec ma cultivation. Il a vu que j'étais déterminée, alors il a cessé d'interférer.
Il a attrapé un rhume peu de temps après et toussait chaque nuit pendant deux mois. Un soir, il a dit qu'il dormirait en haut afin de ne pas me réveiller. J'ai dit que j'irais en haut. Après, il a cessé de se plaindre quand j'allais au point de pratique ou étudiais le Fa.
Passer les tests de karma de maladies avec la pensée droite
Je suis tombée dans les escaliers en me rendant au point de pratique. Les autres pratiquants ont demandé si j'allais bien. Je leur ai dit qu'il n'y avait aucun problème parce que je savais que c'était un processus de dissolution du karma et je ne devrais pas en tenir compte. J'ai continué à pratiquer les exercices, à émettre la pensée droite et à réciter « Lunyu » avec les autres pratiquants.
Je n'ai pas pu enlever mon gant quand je suis rentrée parce qu'il était collé avec du sang. J'ai trouvé une grosse bosse sur ma tête quand j'ai lavé mes cheveux ce soir-là. J'ai regardé à l'intérieur pour trouver où se trouvait mon omission. J'ai découvert que je me mettais en colère encore dans les conflits et je me plaignais de mon mari. Je ne me suis pas améliorée fondamentalement. J'étais toujours attachée aux intérêts personnels. J'ai décidé d'aller à Hong Kong pour aider à clarifier la vérité. Je vendrais mon supermarché et fermerais mon commerce ; après, j'aurais le temps de participer aux activités de Dafa locales.
Avant de revenir à Taïwan, j'ai développé une forte fièvre. J'ai demandé au Maître d'aider à rendre ma température normale quand j'ai traversé l'aéroport de Hong Kong afin que je puisse retourner à Taïwan. Effectivement, je suis rentrée chez moi sans problème. La forte fièvre a continué et j'ai dû m'allonger au lit. Mon mari m'a demandé de voir un médecin, mais je n'y suis pas allée. Je croyais au Maître.
Le Maître a dit :
« Ceux qui cultivent vraiment n’ont pas de maladie. » (« Enseignement du Fa pour les assistants de Falun Dafa à Changchun », Falun Dafa Yijie)
Mon mari a appelé ma fille à Taipei. Elle a essayé de me persuader d'aller voir un médecin. J'ai refusé. Elle s'est mise en colère contre son père et lui a dit que je pouvais décider de ce qu'il fallait faire. J'étais d'accord avec elle et je lui ai dit que je n'avais aucun problème. Elle était quand même inquiète pour moi et a mis de la pression pour que je prenne le médicament qu'elle a acheté à la pharmacie. Afin de la calmer, j'ai pris le médicament. Peu de temps après, j'ai commencé à vomir et à avoir la diarrhée. Ils ont cessé de mettre la pression sur moi quand ils ont vu cela. Elle a dit à son père : « Maman a sa croyance. Elle va bien. »
J'ai remercié le Maître d'avoir purifié mon corps. Les éléments empoisonnés dans mon corps ont été éliminés et ma forte fièvre a disparu. Merci Maître !
Un jour, je suis allée dans un magasin sur mon scooter et j'ai heurté un autre scooter. J'ai atterri au milieu de la rue. On a appelé une ambulance qui devait me transporter à un hôpital. Je leur ai dit que j'allais bien et je ne voulais pas y aller. Le policier m'a demandé de réfléchir à cela. J'ai dit que je n'en avais pas besoin et je l'ai remercié.
J'ai fait mes courses et je suis rentrée en scooter. De retour chez moi, j'avais mal partout et je ne pouvais pas bouger. Mon mari m'a demandé de voir un médecin. J'ai refusé. Je ne suis pas sortie pendant trois jours à cause de la douleur. J'ai étudié le Fa et émis la pensée droite. J'ai pratiqué le deuxième exercice pendant une heure. Je ne pouvais rien faire d'autre. Mon mari s'inquiétait pour moi. Il a demandé de l'aide à son ami, et ils m'ont forcée à aller à l'hôpital.
Le médecin a dit que deux côtes étaient fracturées et deux orteils étaient brisés. Le médecin pensait que j'avais de l'hémorragie interne, mais le sang a coagulé. Je n'ai pas tenu compte de ce qu'il a dit. Je savais que tout irait bien parce que le Maître s'occupait de moi. Je n'ai pas tenu compte de la douleur et je suis allée travailler dans ma ferme maraîchère. Je n'ai pas pris de médicaments et peu de temps après je me suis rétablie. Merci Maître de me protéger encore !
Le frère de mon mari a eu une forte fièvre quand il était enfant. En conséquence, il souffrait de troubles du développement et d'asthme grave. Je prépare ses repas pour lui. Mon mari devait l'aider à prendre des médicaments chaque jour. Il visitait souvent l'hôpital en raison de l'asthme. Nous nous sommes occupés de lui pendant des décennies.
Un point de pratique a été ouvert près de mon domicile. Son frère s'est rendu là-bas pour étudier le Fa et faire les exercices. Pendant une décennie, il arrivait toujours à l'heure. Quand d'autres pratiquants critiquaient ses mouvements d'exercices, il ne répliquait pas. Le jour de l'étude du Fa, il était habituellement le premier à arriver, il ouvrait les fenêtres et mettait en marche les ventilateurs. Petit à petit, sa santé s'est améliorée. J'ai partagé mes compréhensions avec lui du point de vue du Fa et lui ai dit qu'il n'avait plus besoin de médicaments parce que sa santé s'était améliorée. Alors il a cessé. Mon mari s'est mis en colère et a dit que je devais subir les conséquences si son frère avait une crise d'asthme. J'étais d'accord. Mais son frère a été guéri et est maintenant en très bonne santé.
Clarifier la vérité et sauver les êtres
Les coordinateurs sont venus à notre point de pratique et ont encouragé tout le monde de sortir et de clarifier la vérité aux gens et de bien faire les trois choses. Je me suis dit que je n'étais pas en retard dans l'étude du Fa, la pratique des exercices ou l'émission de la pensée droite. Ils ont dit qu'assister au groupe d'étude du Fa et partager étaient le format laissé aux pratiquants par le Maître.
J'ai surmonté beaucoup de difficultés et j'ai assisté au groupe d'étude du Fa et au partage. J'ai découvert que c'était urgent de clarifier la vérité et de sauver des êtres. J'avais honte de moi. J'ai toujours pensé que c'était suffisant de participer aux activités de Dafa et de faire don d'un peu d'argent pour l'impression des documents d'information. J'étais attachée à la sentimentalité des personnes ordinaires. Mon fils et mon petit-fils sont venus chez moi pour le dîner pendant les vacances, et j'ai préparé de bons plats pour eux. J'aimais passer du temps avec mon petit-fils et m'amuser. J'ai utilisé cela comme excuse pour ne pas assister au groupe d'étude du Fa et au partage. Je me suis repentie devant la photo du Maître pour mon mauvais état de cultivation et j'ai demandé au Maître si j'étais qualifiée pour être une disciple de Falun Dafa.
Le Maître a dit :
« En tant que Maître, je ne tiens pas compte de ce que vous avez fait comme erreurs pendant votre cultivation et pratique, je ne retiens que ce que vous faites de bon et ce que vous avez accompli. » (« Sortir d’une passe mortelle », Points essentiels pour un avancement diligent III)
J'ai demandé à un pratiquant de m'acheter un ordinateur et j'ai demandé à un assistant de me montrer comment clarifier la vérité aux Chinois au téléphone. Je ne savais pas comment manipuler la souris et je ne connaissais pas le Pinyin ou comment taper des caractères chinois. Un pratiquant m'a donné une copie de la transcription téléphonique. Je l'ai copiée à la main. Lorsque j'ai téléphoné en Chine, les gens n'ont pas décroché le téléphone ou m'ont raccroché au nez. Quand les gens ont juré après moi, je n'ai pas su comment répondre. J'ai senti que ces êtres étaient si pitoyables. Parfois, je me suis demandé pourquoi il était si difficile de sauver les gens.
Le Maître a dit :
« Ta responsabilité est considérable ! Comment ça rien d’important ? ! Même si tu ne fais qu’être une bonne personne parmi les gens ordinaires, et que tu ne cultives et ne pratiques plus, tu es en train de commettre un crime immense ! C’est parce que tu ne sauves pas les êtres que tu dois sauver !! Tu ne réalises plus la promesse que tu as faite avant l’histoire !! Ne s’agit-il pas d’une telle question ? ! Auparavant je n’ai jamais utilisé un tel ton pour vous parler lorsque j’enseignais le Fa. Le Maître est inquiet, on approche de la fin. » (Enseignement du Fa à la conférence de Fa de New York 2016)
En lisant ce Fa, je me suis rendu compte que je dois écouter le Maître. Peu importe combien c'est difficile, je dois sauver les êtres. Un jour, j'ai parlé à un membre du PCC. Il n'a pas voulu renoncer à son adhésion au PCC. J'ai raccroché et j'ai composé un autre numéro. Quand on a décroché le téléphone, je me suis rendu compte que c'était la même personne. Il a dit qu'il a été ému par la sincérité de mon cœur et a accepté de démissionner du PCC. Je savais que le Maître m'encourageait et renforçait ma confiance dans le salut des êtres. Après, j'ai aidé plusieurs personnes à démissionner du PCC.
Je clarifiais la vérité aux gens chaque jour même si c'était difficile. Je me sentais comblée chaque jour.
J'avais honte de moi à propos d'une chose, c'était le fait que je lisais le Fa vite et manquais des mots ou ajoutais des mots pendant l'étude collective. Les pratiquants au centre d'appel me corrigeaient quand je lisais les mots incorrectement. L'assistant a dit que l'étude du Fa était très sérieuse et nous ne devrions pas la prendre à la légère, car chaque mot est le Fa – donc j'aime étudier le Fa au centre d'appel. Les pratiquants partagent leurs compréhensions les uns avec les autres, ils étudient le Fa et cultivent ensemble. Nous nous élevons vite.
J'avais l'habitude de cuire de bons repas pour mon fils et mes petits-enfants pendant les vacances et je ratais l'étude collective du Fa. Mais après avoir abandonné ma sentimentalité pour mon fils et mes petits-enfants, et insisté à assister au groupe d'étude du Fa et au partage, mon fils a dit qu'ils ne resteraient pas jusqu'au lendemain à mon domicile et est rentré chez lui samedi soir. Donc, j'ai pu assister à l'étude du Fa et au partage d'expériences le lendemain.
Récemment, j'ai assisté à un groupe d'étude du Fa toute la journée. Quand je suis rentrée chez moi, ma belle-fille m'a servi un plat de boulettes de pâte chaudes qu'elle avait préparé. Je me suis rendu compte que je m'inquiétais inutilement que mon fils et mes petits-enfants n'auraient rien à manger quand je n'étais pas chez moi. C'était mon attachement à la sentimentalité. J'ai réalisé que tant que je mettrais le Fa comme ma première priorité, tout se passerait bien autour de moi.
Mon mari commence à pratiquer
Quand je fais des appels téléphoniques en Chine, mon mari m'aide parfois en disant que le PCC est très mauvais. Il a remarqué que mon xinxing s'est élevé après une décennie de cultivation et a vu comment son frère a été guéri de sa maladie. Il a dit à tous ceux qu'il a rencontrés que sa femme n'a pas eu besoin de prendre des médicaments quand elle a été malade ou a eu un accident de voiture.
Un soir, j'ai descendu l'escalier pour aller prendre un peu d'eau. La lumière était allumée. J'ai pensé que mon mari regardait la télévision. À ma surprise, il lisait le Zhuan Falun. Il a dit qu'il l'a lu six fois. Il ne regardait plus la télévision. Il étudie le Fa chaque jour et pratique les exercices avec moi. Quand je me rends au centre d'appel pour étudier le Fa ou faire des appels téléphoniques en Chine, il n'a plus d'objection. Il a complètement changé. Il a commencé à cultiver. Je suis maintenant la personne la plus chanceuse et heureuse dans le monde. Merci bienveillant Maître !
J'aimerais terminer mon article avec le Fa du Maître :
« Quoi qu’il en soit, en tant que disciples de Dafa, je veux juste dire à tout le monde que vous devez savoir à quel point votre responsabilité est grande, ce n’est pas un jeu d’enfant. Cette affaire arrive déjà à son terme, je suis extrêmement inquiet, or vous ne le prenez pas au sérieux, cependant, vous n’aurez même pas le temps de pleurer à la fin. » (Enseignement du Fa à la conférence de Fa de New York 2016)
C'est mon partage d'expérience. Veuillez me signaler avec bonté tout ce qui serait inapproprié.
Merci Maître ! Merci compagnons de cultivation !
(Présenté au Fahui 2020 de Taïwan)
Traduit de l'anglais
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