(Minghui.org) Au début de 2020, le virus du PCC (Covid-19) s'est déclaré à Wuhan et s'est propagé finalement partout dans le monde. Je me suis rendu compte que c'était important de sauver les gens pendant la pandémie. En tant que disciple de Dafa, je crois que le Maître me protège en tout temps. Je savais que je devais sortir pour sauver les gens. C'était un test nouveau et plus sérieux pour nous, et c'était comme un tournant pour moi.
À l'exception de ceux qui étaient occupés à faire des courses dans le supermarché, presque personne n'était dans la rue. J'étais debout à l'extérieur du supermarché, tenant des amulettes du Falun Dafa dans ma main. Quand une personne passait, je souriais et disais que les amulettes dans ma main leur apporteraient la sécurité et la bonne fortune. Mais c'était comme s'ils ne me voyaient pas. Ils continuaient sans expression dans leurs yeux. Ils portaient des masques, et leurs yeux froids révélaient la panique et la pression à l'intérieur. Après une heure, je n'avais donné aucune amulette, sans mentionner mes documents clarifiant la vérité. J'étais contrariée, mais je ne savais pas quoi faire.
Je me suis assise sur un banc à l'arrêt d'autobus me sentant impuissante, pensant que je voulais sauver les gens, mais ils ne voulaient pas l'accepter. Le Maître a vu que je ne m'étais pas éveillée et il m'a donné un indice. Ce Fa m'est venu à l'esprit :
« Pour un pratiquant, regarder à l'intérieur est un trésor de la Loi. » (« Enseignement du Fa à la Conférence internationale de Loi de Washington DC 2009 », Enseignement de Fa dans les conférences IX)
Regardant à l'intérieur, je me suis tout de suite rendu compte de mon problème et j'ai pensé : « Maître, j'avais tort. Je dédaignais les gens. Je dois être bienveillante pour les sauver. » Je me suis éveillée au fait que je ne pouvais sauver les gens qu'avec la bienveillance. Ce n'est pas que les gens n'avaient pas accepté la vérité, mais que je n'avais pas un cœur bienveillant.
Clarifier la vérité avec bienveillance plutôt qu'avec dédain
À ce moment-là, une femme est arrivée et j'ai dit : « Allô, Bonne Année ! » Elle a répondu avec surprise : « Bonne Année ! »
Par sa voix, elle aurait pu avoir la trentaine. Je lui ai dit que nous sommes sûrement prédestinées, qu'elle était la première personne que je rencontrais à la gare d'autobus depuis que je m'étais assise. Elle m'a demandé ce que je faisais là, puisque tous les autobus s'étaient arrêtés. Je lui ai répondu que je n'attendais pas de bus. J'ai montré du doigt les gens dans le supermarché et j'ai dit : « Vous voyez, tout le monde est occupé à faire des courses. Le Parti communiste a dissimulé la situation réelle de la pandémie, et nous l'avons appris tardivement. Ainsi, les gens ne sont pas préparés à la pandémie. J'ai entendu dire que la pandémie est très grave. Il est important de faire des provisions maintenant, mais je pense qu'il est plus important de se protéger et d'être en sécurité. N'êtes-vous pas d'accord ? »
Elle a demandé si j'avais une solution, puisqu'il n'y avait pas encore de médicament pour le virus. Je lui ai dit que j'avais un parent qui souffrait du diabète, mais il a été guéri de la maladie en disant « Falun Dafa est bon ; Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Il n'avait plus besoin d'injections ni de médicaments ; tout est redevenu normal. Elle a été surprise d'entendre cela et a dit : « Le Falun Gong est si efficace. Le diabète est incurable ! »
Je lui ai dit que mon mari avait reçu un diagnostic de cancer du foie en 1995. L'hôpital a renoncé à le soigner parce que son cancer était à un stade si avancé. Les médecins ont dit qu'il n'avait que trois mois à vivre. Alors il est retourné à la maison et a pris la médecine traditionnelle chinoise pour rester vivant. Le cancer le torturait terriblement. Vers la fin de sa vie, un de ses collègues lui a recommandé le Falun Gong et lui a raconté quelques guérisons miraculeuses. Mon mari a immédiatement commencé à le pratiquer et il s'est complètement rétabli en trois mois. Je lui ai dit : « Le Falun Gong a guéri mon mari du cancer du foie. Le virus de Wuhan n'est pas aussi mauvais que le cancer. C'est pourquoi je vous dis de réciter “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”. Cela peut sauver votre vie. »
Je lui ai aussi dit combien c'était important de démissionner du Parti communiste chinois (PCC), ce qui lui apporterait la sécurité et la bonne fortune. Elle a accepté de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Puis je lui ai donné une brochure clarifiant la vérité et quelques amulettes. Je lui ai aussi parlé d'un homme à Wuhan qui a eu un test positif et qui était en train de mourir du virus. Sa femme lui a dit au téléphone de réciter « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Il a survécu. Je lui ai dit d'en parler à sa famille et à ses amis et de leur transmettre la brochure, afin qu'ils puissent tous en bénéficier également.
Elle m'a remerciée. En la regardant partir, je me suis rendu compte que je ne pouvais sauver les gens qu'avec une bienveillante compassion.
Ma liste de ceux qui ont démissionné du PCC était différente
Après un certain temps, j'ai rencontré quelqu'un d'autre. Tout d'abord, j'ai émis la pensée droite pour éliminer les facteurs pervers dans son esprit qui pouvaient résister à Dafa et toute interférence dans d'autres espaces. J'ai aussi demandé au Maître de le sauver. Par conséquent, il a accepté la vérité et a démissionné du PCC. Vers 11 h, sept personnes avaient démissionné du PCC après leur avoir clarifié la vérité. L'un d'eux était un jeune homme qui avait l'air d'être un étudiant d'université.
Il portait un sac à dos et un grand masque quand je l'ai hélé à quelques mètres de moi : « Allô ! Bonne Année ! » Il s'est approché et a dit : « Allô, que puis-je faire pour vous ? » Je lui ai dit qu'il semblait être un jeune homme gentil et qu'il avait un beau cœur. J'ai dit : « Dans la pandémie, l'entraide est importante. Je pratique le Falun Gong, et seul le Falun Gong sauve les gens. » J'ai sorti une amulette et je la lui ai donnée.
Il l'a prise, l'a regardée et a dit : « Je sais que le Falun Dafa est bon. » Je lui ai dit de se rappeler : « Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ! » Je lui ai dit de réciter ces deux phrases, afin qu'il puisse survivre en sécurité à la pandémie. Il a fait oui de la tête et a demandé pourquoi le régime ne permet pas aux gens de pratiquer le Falun Gong. Je lui ai dit que les principes directeurs du Falun Gong sont Authenticité, Bienveillance et Tolérance, tandis que le PCC prône le contraire : les mensonges, l'animosité et l'impatience. Les pratiquants de Dafa demandent aux gens de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées pour ne pas s'approcher de son karma. Ce serait merveilleux si les gens pouvaient s'éloigner du PCC.
Il a demandé s'il devait démissionner du PCC parce qu'il s'était joint uniquement à la Ligue de la jeunesse il y a de nombreuses années et n'avait rien fait de mal pour l'organisation. De plus, il avait largement dépassé l'âge requis pour être membre de la Ligue de la jeunesse. Je lui ai rappelé que lorsqu'il avait rejoint la Ligue de la jeunesse, il avait dû lever le poing et jurer de donner sa vie au PCC. Il devait démissionner, afin de ne pas être affecté lorsque le ciel détruira le PCC. Je lui ai dit qu'il méritait un avenir brillant, et qu'il devait donc démissionner du PCC. Mais il était dubitatif et a demandé s'il était possible que le ciel détruise le PCC.
Je lui ai demandé de faire une recherche en ligne pour lire des informations sur la pierre vieille de 270 millions d'années située dans le district de Pingtang, dans la province du Guizhou. J'ai dit : « La pierre présente à sa surface plusieurs caractères ressemblant à des glyphes qui ont été identifiés comme “le Parti communiste chinois périt”. Des experts de l'Académie chinoise des sciences ont déclaré que ces caractères ont été formés purement par la nature. La fin du PCC est imminente. Vous serez en sécurité si vous démissionnez du PCC. Vous verrez sûrement le jour où le PCC sera détruit par le ciel. »
Il a compris et a démissionné du PCC et de ses organisations affiliées. Tenant l'amulette, il a dit avec émotion : « La Chine a de l'espoir en raison de bonnes personnes comme vous. Tout le monde essaie d'éviter le virus chez soi, mais vous n'avez pas peur de la menace de mort et vous êtes sortie pour sauver les gens. »
Quand j'ai écrit la liste des personnes qui ont démissionné du PCC ce jour-là, j'ai vu que six des huit jeunes hommes étaient dans la vingtaine. Pour être honnête, j'ai toujours été disposée à clarifier la vérité aux gens âgés. Je pensais qu'ils retenaient encore quelques conceptions traditionnelles et culturelles. La plupart d'entre eux croyaient aux divinités et bouddhas. Aussi, ils ont vécu les différents mouvements politiques du PCC, donc ils pouvaient accepter la vérité. Mais les jeunes semblaient différents – ils ont eu le cerveau lavé par le PCC depuis qu'ils étaient petits. Ils croyaient à l'athéisme et à l'évolution. Ils n'acceptaient pas facilement les documents clarifiant la vérité. J'ai pensé que c'était difficile de les sauver. Donc, dans le passé, la plupart des gens sur ma liste de gens qui ont démissionné du PCC étaient âgés.
Depuis le début de la pandémie, 80 % des gens dans mes listes qui veulent démissionner du PCC sont des jeunes. Je remercie le Maître de me donner la sagesse et de m'aider à briser mes conceptions humaines. J'ai essayé de mon mieux pour sauver les gens en leur disant la vérité et en leur demandant de démissionner du PCC. Le nombre de personnes que j'ai aidées à démissionner du PCC a augmenté d'une dizaine à plus de vingt personnes chaque jour. Je ne recherchais pas la quantité, mais je l'ai fait sans réserve. Je sais que le Maître a tout arrangé et j'ai juste fait de mon mieux.
J'ai réagi comme je l'ai fait pour une raison
J'ai aussi rencontré quelques situations difficiles. Par exemple, en mars 2020, il y avait peu de personnes dans les rues. J'ai salué une personne qui marchait dans ma direction : « Allô ! Je souhaite sincèrement la paix et le bonheur à vous et à votre famille. » Il a dit quelque chose de dédaigneux quand il est passé devant moi et en s'éloignant.
J'étais complètement sidérée. J'ai pensé que c'était ridicule et je n'ai pas pu m'empêcher de rire. J'ai ri pendant que je marchais. De toute façon, il n'y avait personne en vue.
Le Maître a dit :
« Vous devez aussi savoir que le « naturel » n’existe pas, et l’« inévitable » a aussi sa raison. » (« Dao Fa (Parler de la Loi) », Points essentiels pour avancer avec diligence)
Après avoir émis la pensée droite à midi, j'ai réfléchi sur ce qui s'était passé ce jour-là. Je me suis demandé si je pouvais rester calme si cela se produisait dans un endroit animé, où il avait beaucoup de gens. Peut-être je me sentirais blessée. En cherchant plus profondément, j'ai trouvé que j'avais encore une forte peur d'être blessée.
J'ai été réprimandée, signalée à la police et arrêtée plusieurs fois dans le processus de la clarification de la vérité aux gens. Tout cela est dans le passé et j'oublie le passé. Mais ce qui s'est passé récemment était différent. Ce regard dédaigneux continuait à me venir à l'esprit et m'attristait. Cela m'a rappelé qu'avant de pratiquer le Falun Gong, j'étais très fière. Si quelqu'un me faisait perdre la face devant les autres, j'étais vraiment vexée. Après plus de vingt ans de cultivation, j'ai vraiment enlevé beaucoup de cet attachement. Ce qui s'est passé cette fois m'a rappelé cet attachement, qui était encore là. Je me suis rendu compte que je devais regarder à l'intérieur, m'améliorer et me débarrasser de cet attachement complètement.
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Traduit de l'anglais
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