(Minghui.org) Bonjour Maître ! Bonjour chers compagnons de cultivation !

Cela fait presque 16 ans que j'ai rejoint l'équipe de traduction du site web Minghui anglais à l'automne 2005. La première fois que j'ai entendu parler de ce projet, c'était par hasard lorsque j'ai rencontré un pratiquant qui ne participait pas du tout au site web Minghui. Après avoir discuté, il m'a dit : « Tu devrais rejoindre l'équipe de traduction du Minghui anglais. Tu as de l'expérience dans l'écriture en chinois et tu as un diplôme en anglais. C'est ce que tu devrais faire. » Peu de temps après, j'ai rencontré un pratiquant qui faisait partie de l'équipe de traduction du Minghui anglais. Cela semblait être une coïncidence que je me joigne à l'équipe de traduction du Minghui anglais.

Comme le Maître l'a dit :

« En réalité, ce que vous avez appris c’est aussi parce que vous avez eu ce genre de vœu, donc à l’époque, on a arrangé ainsi cela pour vous, c’est parce qu’il y en avait besoin dans la validation de la Loi, c’est tout. » (« Enseignements du Fa à la conférence de Loi de la région ouest des États-Unis en 2004 » Enseignement du Fa dans les conférences V)

Lâcher l'ego et l'égoïsme et remplir solidement ma mission

Le site web Minghui étant unique, les exigences en matière de sécurité et de confidentialité sont exceptionnellement élevées. Les participants au projet doivent faire profil bas et garder leur nom strictement confidentiel. Même dans les réunions, ils ne peuvent utiliser que des pseudonymes. Par conséquent, il peut sembler qu'il n'y a personne à qui parler ou avec qui communiquer. Les trois seuls autres compagnons de cultivation avec qui j'ai eu des contacts sont les coordinateurs de mon équipe. Au fil des ans, cette façon de travailler et les exigences sont devenues des épreuves de solitude et d'isolement. Les compagnons de cultivation locaux discutent souvent de leurs projets. Comme je devais éviter de parler du projet auquel je participais, cela entraînait parfois de l'incompréhension, de l'isolement et de la pression de la part de nos compagnons de cultivation.

Je n'ai pas ressenti le poids de la solitude pendant les deux premières années, mais année après année, il y a eu des moments où je me suis sentie très, très seule. Je ne savais pas quel rôle mon dévouement avait joué dans la période de la rectification de Fa. Je me suis demandé pourquoi je voulais être traductrice pour le site web Minghui et quelle était la signification d'être traductrice pour le site web Minghui. J'avais parfois envie de travailler sur un projet différent, où je connaissais les compagnons de cultivation.

J'ai eu quelques hauts et bas de ce genre, mais finalement, je suis restée parce que je voulais être responsable envers le projet. Mais le moment où je me suis stabilisée, c'est quand j'ai réalisé les attachements qui se cachaient derrière les pensées de vouloir quitter le projet et quand j'ai éliminé ces attachements.

J'ai réalisé que la solitude était un attachement qui pouvait user la volonté d'un pratiquant. Se sentir seul indique un cœur agité. La pensée qu'il n'y a personne avec qui communiquer est également un attachement qui regarde vers l'extérieur et recherche des raccourcis dans la cultivation. Derrière cet attachement se cache une réticence à regarder à l'intérieur.

De plus, l'idée de devenir plus diligent en communiquant avec les autres pratiquants n'est pas juste, car nous devrions avoir une croyance ferme dans le Maître et Dafa du point de vue du Fa.

Le Maître nous a dit il y a longtemps :

« Voulez-vous cultiver, pouvez-vous cultiver? Cela dépend entièrement de la manière dont vous allez élever votre xinxing. »

(Deuxième Leçon, Zhuan Falun)

D'autre part, quelles que soient les difficultés que nous rencontrons, elles reflètent nos attachements. Si nous n'avons pas d'attachements et ne cherchons pas à être valorisés, nous ne rencontrerons pas de situations qui remuent notre cœur. Au fond de moi, j'avais peur de perdre l'affection et l'attention des autres.

Je pense souvent à ces pratiquants sur les sites de production de documents de Falun Dafa en Chine. Ils font face à de terribles épreuves de solitude et sont confrontés à l'épreuve de vie et de mort à chaque instant si leur chemin dévie même légèrement. En comparaison, la solitude à laquelle nous sommes confrontés n'est rien.

Éliminer la mentalité d'être bénévole à temps partiel

Pendant longtemps, je traduisais un ou deux articles par semaine. J'estimais que c'était le maximum que je pouvais faire, car je participais à d'autres projets. J'avais également un emploi très prenant. Le week-end, je participais généralement à d'autres activités de clarification de la vérité. Ainsi, même si j'ai longtemps voulu en faire plus, quelle que soit la force de mon désir, je n'arrivais pas à faire une percée. C'était comme si j'essayais très fort de voler, mais que je n'y arrivais pas.

J'ai réalisé que sans la puissance du Fa, il est impossible de s'élever simplement en le souhaitant, et seul le Fa peut nous changer soi-même et changer complètement notre état de cultivation.

Le Maître a dit :

« Le Fa peut briser tous les attachements, le Fa peut briser toutes les perversités, le Fa peut briser tous les mensonges, le Fa peut affermir la pensée droite. » (« Éliminer les interférences », Points essentiels pour avancer avec diligence II)

J'ai donc commencé à mémoriser le Fa. Pendant que je le mémorisais, notre Maître compatissant me révélait chaque jour quelques principes du Fa. Mon état de cultivation a également continué à s'élever rapidement.

J'ai d'abord surmonté le problème du manque de temps pour faire la traduction du site web Minghui. J'ai réalisé qu'à mon insu, j'avais poursuivi une avancée dans ma carrière dont je ne m'étais même rendu pas compte. Poussée par cet attachement, je suis devenue de plus en plus occupée au travail. Faire des heures supplémentaires était devenu ma routine quotidienne. Je rentrais tard tous les jours, et je pouvais à peine étudier un peu le Fa et faire quelques séries d'exercices avant d'émettre la pensée droite de minuit. Dans ces circonstances, si je voulais traduire, je devais sauter l'étude du Fa ou les exercices.

Après avoir détecté mon attachement aux avancées dans ma carrière, j'ai décidé de l'éliminer. J'ai également demandé l'aide du Maître. Le Maître a vu mon cœur et a arrangé le meilleur pour son disciple, comme il le fait toujours. Le moment décisif est arrivé. Un chasseur de têtes m'a contactée et m'a offert l'occasion de travailler pour une petite entreprise. Cependant, des tests sont arrivés en même temps. Peu après, j'ai également reçu des offres de postes plus élevés de grandes entreprises. Face à deux parcours professionnels opposés, j'ai hésité. Les attachements rusés ont pensé : « Pourquoi ne pas accepter l'offre de poste de niveau C ? Je serais alors en mesure d'interagir avec des personnes du courant principal, ce qui me permettrait de mieux valider le Fa et de promouvoir Shen Yun. » À la croisée des chemins, j'ai examiné mes intentions. Je savais que ma priorité était d'avoir plus de temps pour bien me cultiver et accepter plus d'affectations à traduire pour le site web Minghui anglais. (Note de l'auteur : il s'agit seulement de ma décision personnelle selon mon état de cultivation à cette époque).

Ainsi, j'ai rejoint une petite entreprise. Je suis maintenant très heureuse d'avoir pris la bonne décision, car j'ai deux heures de plus chaque jour pour faire la traduction, comme je l'ai promis au Maître dans mon cœur.

J'ai découvert que plus nous sommes diligents, plus nous vivons selon des critères élevés, plus il est facile de se sortir des tribulations. Par exemple, j'ai été longtemps déchirée entre faire la traduction ou faire les exercices après le travail. Une compagne de cultivation m'a dit qu'elle se levait tôt le matin pour faire des exercices afin d'avoir plus de temps pour faire des projets de Dafa et sauver des gens. J'ai pensé que ce n'était pas un hasard si j'entendais ses expériences. J'ai immédiatement modifié mes habitudes de sommeil et j'ai commencé à faire les cinq séries d'exercices soit après minuit, soit avant le travail. Ce n'était pas facile, mais quand je pouvais le faire, je devenais plus énergique et plus efficace.

En même temps, j'ai éliminé mon sentiment de non-appartenance au projet en faisant tous les efforts possibles pour participer quotidiennement à l'étude collective du Fa. Encore une fois, ce n'était pas facile au début. Cependant, une fois que j'ai décidé d'en faire une habitude, j'ai été plus consciente de ma mission de faire de la traduction pour Minghui pendant la période de la rectification de Fa.

Ce n'est qu'en cultivant bien que l'on peut bien faire le projet

Il est facile pour un travail de traduction de tomber dans une répétition mécanique : recevoir un travail, le traduire, le soumettre, recevoir un autre travail, le traduire à nouveau et le soumettre à nouveau. Si notre esprit n'est pas dans un bon état de cultivation, le processus devient une tâche répétitive et ennuyeuse au fil du temps. Pour sortir de cette situation, nous devons nous rappeler à tout moment que nous sommes des pratiquants. En fait, le Maître a utilisé toutes les occasions pour exposer nos attachements afin que nous puissions les détecter et les éliminer.

Parfois, je suis tombée sur des articles comportant de nombreux détails que je jugeais inutiles. Dans certains articles, la logique semblait inexistante. Je me plaignais souvent dans mon coeur en traduisant. Pendant longtemps, cet état d'esprit consistant à critiquer les autres et à les regarder de haut est devenu naturel, et je ne m'en suis même pas rendu compte.

Un jour, j'ai traduit un court article de moins d'une page. L'auteur essayait de sortir de son état de paresse. Je ne savais pas ce qu'il essayait de dire, même après l'avoir lu à maintes reprises. Mon impatience et mon mécontentement devenaient de plus en plus forts. J'ai même voulu demander au chef d'équipe de changer de texte. Plus tard, j'ai à peine réussi à le traduire. Je n'ai même pas osé revoir la version peaufinée. Lorsque j'ai enfin eu le courage de lire la version peaufinée, sans surprise, elle était pleine de révisions. J'ai compris qu'il était temps de regarder en moi et de me changer.

Je savais que le fait de mépriser les autres résultait de la jalousie. Je voulais me débarrasser de ces pensées, mais je n'arrivais pas à m'en défaire. J'ai réalisé que je n'avais fait aucun effort pour m'en débarrasser, même si j'en avais l'intention. Il ne suffit pas non plus d'avoir simplement le désir de s'élever. Ce qui compte, c'est notre pensée droite et comment nous la mettons en pratique par des actions.

J'ai réalisé que la jalousie est enracinée dans l'attachement au soi. À cause de mon égocentrisme, je ne pouvais pas voir les forces des autres et je ne voyais pas toujours les autres sous un angle positif. Lorsque j'ai regardé plus loin à l'intérieur, j'ai réalisé que c'est la nature de l'ancien univers. Comment pouvais-je m'accrocher à la conception égoïste de l'ancien univers, et comment pourrais-je devenir un être appartenant au nouvel univers du Maître si je n'éliminais pas l'égoïsme ?

En réalisant cela, j'ai pu mieux comprendre l'enseignement du Maître sur le fait de bien se cultiver ainsi que de faire un bon travail pour sauver les gens. Petit à petit, j'ai appris à saisir chaque pensée qui surgit, pour voir d'où elle provient. De cette façon, je pouvais détecter de nombreux attachements cachés, les distinguer de mon vrai moi, les rejeter, les supprimer, ne pas suivre ces mauvaises pensées, et les éliminer progressivement.

Notre état de cultivation affecte la qualité et l'efficacité de la traduction. Avec un bon état de cultivation, les traductions s'avèrent généralement rapides et bien faites, avec peu de changements de la part des relecteurs. Un mauvais état de cultivation entraîne des interférences. Par exemple, lorsque je me relâchais, mon cerveau ne fonctionnait pas du tout, j'étais endormie et fatiguée, et je ne pouvais traduire que mot à mot, et la qualité n'était pas bonne.

J'ai également éliminé l'attachement à regarder à l'extérieur et à être stricte avec les autres. Dans mon équipe de traduction, les trois seuls compagnons de cultivation avec lesquels j'ai eu des contacts étaient mes coordinateurs d'équipe. Grâce à eux, j'ai fait l'expérience du pouvoir de la compassion, et je comprends que seul le pouvoir de la compassion peut changer les gens.

Au fil des années, lorsque je me relâchais − lorsque j'étais impatiente ou que je faisais des erreurs, je me disais parfois : « Je vais être critiquée cette fois-ci. » Mais chaque fois que j'étais prête à être blâmée, tout ce que j'entendais de leur part était de la compréhension et des encouragements. Chaque fois que je recevais ces courriels, j'étais surprise et touchée. J'étais alors déterminée à rester dans l'équipe, quelles que soient les difficultés que je rencontrais.

Un jour, je me suis demandé pourquoi j'étais surprise par la façon dont les chefs d'équipe parlaient et agissaient. Je savais qu'à leur place, je n'aurais pas traité les erreurs des membres de l'équipe de cette manière. Comment aurais-je traité le problème ? Je les aurais comparés à des critères que je croyais justes, et je les aurais critiqués sans hésiter s'ils ne répondaient pas à mes critères. Je leur aurais dit : « Ne sais-tu pas comment et quoi ? » « Je ne te l'ai pas dit ? » ou « Pourquoi fais-tu encore ça ? ».

Ils parlent tous pacifiquement et doucement et n'élèvent jamais la voix. J'ai appris à utiliser leurs paroles et leurs actes droits comme des miroirs pour détecter la culture du Parti en moi et pour me rectifier progressivement. À mesure que je faisais cela, mon esprit devenait plus calme et mes traductions plus efficaces.

En outre, à mesure que je me débarrassais de plus d'attachements, je devenais plus coopérative et plus prévenante à l'égard des autres. J'ai appris à lire attentivement la liste de contrôle des traducteurs, et j'ai commencé à lire l'article plusieurs fois avant de commencer la traduction. Si je sentais que les lecteurs de l'article n'étaient pas des pratiquants, je faisais attention à réécrire l'expression pour que les non-pratiquants puissent comprendre le caractère merveilleux de Dafa. Après avoir traduit, je n'ai plus la mentalité de me dire que je peux enfin soumettre mon travail. Au lieu de cela, je relis mon brouillon au moins deux fois pour voir s'il a du sens pour les lecteurs et s'il existe une meilleure façon de l'exprimer.

J'ai également découvert une autre mauvaise habitude, à savoir que je suis impatiente. Je suis une personne au rythme rapide qui s'habitue à l'environnement de travail rapide. Je parle et je marche vite, et donc mes doigts, la plupart du temps, sont plus rapides que mon cerveau. Cette habitude se reflète également dans la traduction. Je commençais à traduire dès que je recevais une affectation de document et je le faisais dans l'urgence. Je n'ai jamais eu la patience de lire attentivement les listes de contrôle des traducteurs. En conséquence, je commettais souvent des erreurs de bon sens, qui faisaient perdre du temps à mes compagnons de cultivation. J'ai regardé à l'intérieur et j'ai réalisé que l'impatience était également ancrée dans la culture du Parti. Je n'ai pas encore complètement éliminé cette substance d'impatience, mais je me concentre à éliminer ces mauvaises matières, et je crois que je vais faire encore mieux.

Améliorer mes compétences en traduction

En ce qui concerne mes compétences en anglais, je dois admettre que je ne me suis pas améliorée pendant un bon moment, ou plutôt, je n'ai pas fait d'efforts pour améliorer mes compétences du tout. Je pensais que je faisais de mon mieux en me couchant tard, en sautant des repas, et même en prenant des jours de congé pour respecter les délais serrés pendant les congés et les anniversaires spéciaux. Je me suis dit : « J'ai fait de mon mieux, et je ne peux pas améliorer la qualité de mon travail et de mes compétences du jour au lendemain, et c'est vraiment hors de mon contrôle de toute façon. »

Cependant, après m'être élevée dans ma cultivation, et lorsque je me suis imposé des critères plus élevés, je n'osais plus dire que j'avais fait de mon mieux, parce que je me rendais compte que je n'étais pas prête à consacrer un peu plus de temps et d'efforts pour améliorer mes connaissances professionnelles. Je ne lisais pas attentivement la version peaufinée, et souvent je ne lisais pas le site anglais de Minghui. Si je l'avais fait, la qualité de ma traduction aurait été bien meilleure.

J'ai réalisé que ma réticence à consacrer du temps à l'amélioration de mes compétences en anglais était due à mon égoïsme. J'ai également réalisé que la qualité de la traduction est également liée à notre capacité à considérer les autres. Supposons qu'un traducteur puisse faire un bon travail. Dans ce cas, cela peut naturellement faire gagner beaucoup de temps à l'équipe de relecture, ce qui fait également gagner du temps à l'ensemble des disciples de Dafa.

J'aimerais également rappeler à tous les compagnons de cultivation participant à d'autres projets d'améliorer leurs compétences professionnelles, quels que soient les projets auxquels ils participent. J'entends souvent la déclaration suivante : « De toute façon, j'ai fait ma part, ils peuvent donc corriger ou réviser ce qu'ils veulent. » Ou un commentaire du genre : « Je participe au projet pour cultiver et non pour apprendre les compétences des gens ordinaires. » Mais en fait, cela reflète également un manque de responsabilité pour le projet et de la paresse. Tant que nous voulons nous améliorer professionnellement, nous affinerons nos compétences rapidement et facilement, car le Maître nous donnera la sagesse.

Les bénéfices de la traduction

Au cours des seize dernières années, j'ai lu le site chinois de Minghui tous les jours. C'est comme participer quotidiennement à une conférence de partage d'expériences. J'ai beaucoup profité de la lecture des articles de partage des compagnons de cultivation.

À partir des récits sur la façon dont les compagnons de cultivation surmontent les tribulations avec une ferme croyance dans le Maître et Dafa, j'ai compris profondément la pensée droite et les actions droites. J'ai été témoin de la compassion infinie du Maître, encore et encore.

Il n'est pas surprenant que, bien souvent, mes affectations étaient des articles sur la façon dont les autres pratiquants avaient traversé les mêmes tribulations que moi. En traduisant les articles, j'ai pu regarder à l'intérieur de moi et voir mes failles. Je me suis relevée et j'ai repris le chemin de la cultivation.

Conclusion

En regardant en arrière, j'ai senti du fond de mon cœur que le chemin de la cultivation que le vénérable Maître a arrangé pour moi est le plus approprié pour moi.

Je voudrais également profiter de cette occasion pour remercier les compagnons de cultivation qui travaillent sur le site web chinois de Minghui et tous les autres compagnons de cultivation oeuvrant pour les sites web de Minghui dans d'autres langues. La plupart des compagnons de cultivation travaillant pour les projets Minghui ne peuvent pas partager leurs expériences avec d'autres afin d'éviter les questions superflues. La charge de travail des pratiquants sur le site chinois de Minghui est particulièrement lourde pendant les congés et les anniversaires spéciaux, lorsque les félicitations, les partages et les rapports du monde entier inondent leurs bureaux. Beaucoup d'entre eux travaillent jour et nuit pendant ces journées.

Merci, chers compagnons de cultivation. Rappelons-nous mutuellement de bien étudier le Fa et de bien travailler à nos postes pour être à la hauteur des attentes du Maître. Peu importe la longueur du chemin à parcourir, travaillons dur pour rembourser la miséricorde et la souffrance de notre Maître.

Merci, Maître, de nous avoir protégés dans les tribulations, de nous avoir donné des indices lorsque nous étions confus, de nous avoir encouragés lorsque nous étions déprimés, et de nous avoir guidés sur le chemin du retour à nos véritables foyers. Merci, vénérable Maître, de m'avoir fourni une telle occasion de me cultiver et de faire ma part pendant la période de la rectification de Fa.

(Extrait sélectionné de la conférence de Fa de Minghui 2021)

Merci bienveillant Maître ! Merci chers compagnons de cultivation !

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Traduit de l'anglais