(Minghui.org) C'est la véritable histoire de mon mari, de la façon dont le Falun Dafa lui a sauvé la vie.

Mon mari a eu du diabète pendant de nombreuses années. En juillet 2019, sa maladie s'est tout à coup aggravée et le 28 juillet il était désorienté mentalement. J'ai appelé mon fils qui était en voyage à ce moment-là et lui ai demandé de rentrer à la maison. Dès que mon fils est arrivé, il a appelé une ambulance et a emmené mon mari à l'hôpital.

Le médecin a dit que mon mari souffrait de complications de son diabète. Son taux de glycémie était hors-norme. Le médecin l'a tout de suite placé en soins intensifs. Le 2 août 2019, le médecin nous a demandé de le ramener à la maison disant qu'ils ne pouvaient rien faire pour lui.

Mon fils a appelé un autre hôpital. Le deuxième hôpital n'a pas pu non plus mesurer à quel point le taux de glycémie de mon mari était élevé. Son pied était enflé et il a commencé à pourrir et à saigner. La chair pourrie dégageait une mauvaise odeur et attirait les asticots. Il ne restait de son talon que l'os et une couche de peau. Il ne contrôlait pas son urine ou ses selles et souillait souvent le lit. Nous avons fini par changer ses draps plusieurs fois par jour.

Le médecin du deuxième hôpital a dit : « On ne peut pas guérir sa maladie. Il ne pourra plus marcher. Il sera grabataire et ne passera pas l'année. » L'hôpital nous a délivré trois avis de maladie grave et a insisté pour qu'il reste à l'hôpital.

Quelques jours plus tard, le médecin nous a dit que mon mari devait être amputé. Mon fils n'était pas d'accord. Nous n'avons pas annoncé la nouvelle à mon mari.

Peu de temps après que j'ai commencé à pratiquer le Falun Dafa, mes fibromes et d'autres maladies ont disparu. J'avais le corps léger. Après avoir vu la magnificence de Dafa, mon mari m'a soutenue dans ma cultivation.

Jiang Zemin a commencé à persécuter le Falun Dafa en juillet 1999. J'ai été emprisonnée parce que j'avais protesté contre la persécution à Pékin. À mon retour, la police et les agents communautaires sont souvent venus à notre porte nous harceler. Mon mari n'a pas coopéré avec eux. Il a discuté avec eux et leur a dit que le Falun Dafa est bon. Il leur a parlé de l'amélioration de ma santé physique et mentale depuis que je cultive.

J'ai créé un centre de production à la maison pour fabriquer des documents d'information sur Dafa. Mon fils m'a soutenue et m'a acheté le matériel. J'ai également distribué des dépliants sur Dafa, posé des affiches et accroché des banderoles. Mon mari s'est également porté volontaire pour travailler avec moi.

En repensant à tout ça, j'ai réalisé qu'il est aussi une vie venue ici pour le Fa. Il devait pouvoir cultiver dans Dafa. Je devais l'aider à étudier le Fa et faire les exercices. Il ne devrait pas être amputé. C'est au Maître, pas au médecin, qu'il revient de décider s'il vivra.

Un mois plus tard, le médecin a dit que mon mari était trop âgé et son taux de glycémie était trop élevé pour amputer le membre. Il était dans un état critique. À l'hôpital, le médecin et les infirmières lui faisaient ceci et cela toute la journée et, à cause de cela, il ne pouvait pas écouter les conférences du Maître dans la journée ; il n'a pu le faire que pendant la nuit.

Mon fils et moi avons partagé le travail entre nous. Je m'occupais de mon mari le jour et mon fils s'en occupait le soir, quand je rentrais à la maison pour étudier le Fa. Je me levais à 3 heures du matin pour faire les exercices et émettre la pensée droite, puis j'allais à l'hôpital pour prendre soin de mon mari. Mon fils allait au travail.

J'ai pensé : « Je suis une pratiquante de Dafa. Je dois bien prendre soin de mon mari, mais clarifier les faits et sauver les gens sont des activités qui ne peuvent pas être retardées. Tant que mon mari veut cultiver, le Maître arrangera tout pour lui. Je dois juste suivre les exigences du Maître ; ainsi tout ira bien. »

Je courais entre la maison et l'hôpital tous les jours. Pourtant, je n'ai pas pris de retard dans les trois choses à faire. Je prenais des tricycles taxis le matin et le soir pour aller à l'hôpital et en revenir, et je clarifiais la vérité au chauffeur sur le fait de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées. Quand mon mari était sous transfusion, j'allais faire des achats au marché. J'ai parlé aux paysans et aux autres personnes chanceuses des faits concernant Dafa. Le soir quand mon fils venait, je faisais écouter les conférences du Maître sur MP3 à mon mari.

Mon fils lui a dit : « Maintenant, seul Maître Li Hongzhi peut te sauver. Tu es resté plusieurs mois à l'hôpital, est-ce que tu vas mieux ? Les économies de notre famille sont presque épuisées. Nous ne pouvons pas guérir ta maladie en continuant comme ça, même si nous vendons notre maison. Tu dois y réfléchir ; est-ce que tu crois en Dafa ou dans l'hôpital ? »

Les compagnons de cultivation sont aussi venus lui rendre visite et l'ont encouragé à cultiver Dafa. Un jour, mon fils m'a raconté qu'alors qu'il dormait, il a entendu mon mari dire : « Maître, je ne veux pas rester à l'hôpital. Je veux rentrer à la maison, étudier le Fa et faire les exercices. Je veux vous suivre chez vous. » La voix de mon mari a réveillé mon fils.

Mon mari a dit au médecin qu'il voulait quitter l'hôpital. Le médecin n'était pas d'accord, disant qu'il était trop malade, qu'il fallait lui transfuser trois grandes bouteilles par jour et qu'il avait besoin de beaucoup de médicaments.

J'ai pensé : « Laissez mon mari rentrer. Cela dépend du Maître. Ce que dit un médecin ne compte pas. »

Le médecin a finalement été d'accord de nous laisser rentrer chez nous à l'approche du Nouvel An chinois, mais seulement pour trois jours. J'ai dit au Maître : « Ce que le docteur a dit ne compte pas. Tout dépend du Maître. »

Mon mari n'est plus jamais retourné à l'hôpital. Le coronavirus a explosé à Wuhan le lendemain de son retour à la maison.

Ils ont confiné les petites communautés, mais ils n'ont pas pu empêcher les pratiquants de dire la vérité sur Dafa et de sauver les gens. Le deuxième jour du Nouvel An chinois, avec les autres pratiquants, j'ai commencé à distribuer des documents concernant Dafa, à clarifier les faits et à presser les gens pour qu'ils démissionnent du PCC et de ses organisations affiliées. Malgré la météo et l'atmosphère, nous ne nous sommes pas arrêtés un seul jour.

Mon mari a écouté les conférences du Maître, a récité « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon » et il a écouté la musique des pratiquants de Dafa et la radio Minghui. La chair de son pied a commencé à pousser et sa peau à rosir. Puis il a pu marcher en utilisant le fauteuil roulant comme déambulateur. Sa santé s'est améliorée de plus en plus. Il a pris du poids et a été capable de marcher sans aucune aide.

Son médecin était émerveillé par ce miracle. Des parents et des amis sont venus lui rendre visite. Il leur a parlé de Dafa et du fait que le Maître lui a sauvé la vie. Il leur a également demandé de démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Ce qu'ils ont tous fait.

Mon mari a échappé à la mort et a bénéficié d'une nouvelle vie. Le Maître l'a sauvé. Toute notre famille est immergée dans la grâce incommensurable du Maître. Nous suivrons bien le chemin que le Maître a arrangé pour nous, sauverons davantage de gens et rentrerons avec le Maître.

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Traduit de l'anglais