(Minghui.org) Jiang Zemin est mort, mais les gens parlent encore de ses trois sobriquets.
Premier sobriquet : Jiang le traître
Quelle est la plus grande île de Chine ? La réponse a changé au fil du temps. Actuellement, la réponse est Taïwan. Mais avant que Jiang Zemin ne prenne le pouvoir en 1989, la réponse était Sakhaline, qui est deux fois plus grande que Taïwan. Alors, que s’est-il passé pendant cette période ?
Entre 1999 et 2001, Jiang a signé plusieurs traités avec la Russie, cédant officiellement la partie orientale de la frontière sino-soviétique, y compris Sakhaline, à la Russie. Dans la nécrologie de Jiang, le PCC a souligné ses « réalisations », sans mentionner la cession de terres. C’est pourquoi la plupart des gens n’étaient pas au courant de la plus grande trahison de l’histoire de la Chine, jusqu’à ce que la Russie ne rende cette information publique.
La Chine possède 9,6 millions de kilomètres carrés de terres au total. Mais 33 % de ces terres sont des déserts et des zones désertifiées, et 38 % sont gravement érodées. Cela signifie que moins d’un tiers seulement de toutes les terres est habitable. Jiang a donné à la Russie non seulement une grande partie de ses terres, mais aussi des terres fertiles. Ce territoire possède également les neuf puits de pétrole les plus profonds du monde en raison de ses importantes réserves de pétrole inexploitées.
Jiang Zemin a donné Sakhaline (marquée d’une flèche rouge), autrefois la plus grande île de Chine, à la Russie. La Russie se trouve à l’ouest, la Chine au sud-ouest et le Japon au sud de Sakhaline.
Pour aggraver les choses, Sakhaline (72 000 kilomètres carrés) représente moins de 10 % du total des terres cédées par Jiang. Les citoyens chinois l’ignoraient jusqu’à ce que la Russie rende cette information publique. Alors pourquoi Jiang a-t-il fait cela ?
La nature perfide de Jiang a commencé dans sa jeunesse. Selon le livre Real Story of Jiang Zemin (La véritable histoire de Jiang Zemin), son père était Jiang Shijun, un traître pendant l’invasion japonaise (1937–1945). Après l’établissement d’un régime fantoche traître aux Japonais à Nanjing, Jiang Shijun a envoyé Jiang Zemin étudier à l’Université centrale de Nanjing. Dans le cadre de la « Séance de formation des jeunes leaders de l’Université de Nanjing », Jiang Zemin et d’autres ont été formés comme agents spéciaux pour le régime fantoche.
Cela a été confirmé par le département des archives de l’université de Nanjing après que Jiang soit devenu le principal dirigeant en 1989. Bien que l’université ait contacté Jiang à l’époque pour rétablir la connexion, elle n’a jamais eu de nouvelles – Jiang a toujours évité cette partie de l’histoire impliquant son passé de traître.
Carte de bibliothèque de Jiang Zemin à l’Université centrale de Nanjing
Cependant, comme le programme de formation des agents spéciaux fonctionnait sous les ordres du général japonais Kenji Doihara, le dossier a été retrouvé lorsque l’Union soviétique a vaincu les Japonais dans le nord-est de la Chine en 1945. Lorsque Jiang s’est rendu en Union soviétique pour une formation technique en 1955, l’agence de renseignement soviétique a découvert le lien. Une maîtresse infiltrée nommée Klava est alors chargée de séduire Jiang. Après que Jiang soit tombé dans le piège, le KGB a promis de cacher l’histoire de trahison des Japonais et les liaisons, à condition que Jiang accepte d’agir comme un membre du KGB. Jiang a accepté.
Cela a conduit à une série de traités que Jiang a signés avec la Russie pour « céder » les terres. Pour avoir révélé cette histoire, le journaliste de Hong Kong Cheng Xiang a été arrêté en 2005 lors de sa visite en Chine continentale.
Deuxième sobriquet : meneur principal de la corruption
De nombreux hauts fonctionnaires chinois ont été arrêtés ces dernières années pour corruption. Mais selon un article du Global News Times de Hong Kong en septembre 2015, un grand nombre de ces affaires de corruption étaient liées à Jiang Zemin. Par exemple, Zhou Yongkang, Xu Caihou, Gu Boxiong et d’autres ont tous été promus par Jiang.
Jiang a accédé au pouvoir en réprimant le mouvement étudiant démocratique en 1989. Pour gagner la loyauté des hauts fonctionnaires, y compris ceux de l’armée, Jiang les a encouragés à accepter des pots-de-vin et à se remplir les poches. Lorsqu’il s’est adressé à des journalistes de Hong Kong en octobre 2000, il a précisé : « Gardez le silence et faites fortune – c’est le meilleur moyen. »
On a rapporté que la famille de Jiang avait amassé une fortune d’au moins 1000 milliards de dollars américains et que la moitié de cette fortune avait été blanchie. Pour cette raison, Jiang a souvent été surnommé « le meneur principal de la corruption ».
En conséquence, la corruption était endémique pendant le mandat de Jiang. On a découvert que Lai Xiaomin, secrétaire du Parti et président du conseil d’administration de Huarong Asset Management, gardait chez lui 270 millions de yuans (soit 42 millions de dollars) en espèces provenant de pots-de-vin. Ren Shifeng, un fonctionnaire de village à Pékin, possédait 31 kilos de lingots d’or. Xu Changyuan, un secrétaire du Parti du district de la ville de Dalian, dans la province du Liaoning, possédait 2714 appartements à son nom.
Troisième sobriquet : Jiang le diable
Tout au long de l’histoire, il y a eu de nombreux chefs d’État notoires. L’empereur romain Néron a souvent été qualifié de démon pour sa persécution des chrétiens. Hitler était considéré comme l’incarnation du mal pour son génocide du peuple juif. Jiang a surpassé Néron et Hitler dans sa persécution du Falun Gong.
En tant que système de méditation pacifique, le Falun Gong incarne le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance et enseigne à ses pratiquants à devenir de meilleurs citoyens. Jiang a estimé que la popularité du Falun Gong constituait une menace pour son contrôle du peuple et a lancé une répression massive de cette méthode en juillet 1999.
Un grand nombre de pratiquants ont depuis été détenus, emprisonnés et soumis à diverses formes de torture (châtiments corporels, travail forcé, abus mental, administration involontaire de substances toxiques et abus sexuels). Jiang et le PCC ont également donné l’ordre de prélever de force les organes sur des pratiquants de Falun Gong vivants, un crime qualifié de nouvelle forme de perversité sur cette planète par les avocats des droits de l’homme.
Après des enquêtes et des audiences approfondies, le China Tribunal a conclu en 2020 que « des prélèvements forcés d’organes ont été commis pendant des années dans toute la Chine à une échelle significative et que les pratiquants de Falun Gong ont été une – et probablement la principale – source d’approvisionnement en organes ».
L’American Journal of Transplantation a publié un article intitulé « Execution by organ procurement : Breaching the dead donor rule in China » en avril 2022. L’article concluait : « Nous trouvons des preuves dans 71 de ces rapports, répartis dans tout le pays, que la mort cérébrale pourrait ne pas avoir été correctement déclarée. Dans ces cas, le prélèvement du cœur lors de l’obtention d’organes doit avoir été la cause immédiate de la mort du donneur », écrivent les auteurs. « Comme ces donneurs d’organes ne pouvaient être que des prisonniers, nos résultats suggèrent fortement que les médecins de la République populaire de Chine ont participé à des exécutions par prélèvement d’organes. »
Les prélèvements forcés d’organes ne sont pas un crime isolé. Pour mettre pleinement en œuvre la politique de persécution, Jiang a créé l’agence extrajudiciaire du Bureau 610 en juin 1999. Au cours des vingt-trois dernières années, cette agence a collaboré avec les responsables gouvernementaux à tous les niveaux, en particulier avec la police, les tribunaux et les procureurs, pour arrêter, inculper et condamner les pratiquants.
Au fil du temps, Jiang a également donné de nombreux ordres contre le Falun Gong, tels que « battre [les pratiquants] à mort est considéré comme un suicide. Envoyez le corps à la crémation directement sans vérifier l’identité » et « tuer sans pitié ». Il a également donné des ordres pour « diffamer leur réputation [des pratiquants], les mettre en faillite financièrement et les détruire physiquement. »
Les victimes ne se limitaient pas seulement aux pratiquants innocents et à leurs familles. En s’attaquant au principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance par le biais des médias, des agences gouvernementales, du système éducatif, de l’industrie du divertissement et d’autres professions dans toute la société, Jiang a également provoqué une corruption sans précédent, une déchéance morale et des dommages à l’environnement. Lorsque nous nous inquiétons des produits de contrefaçon, des aliments empoisonnés et des problèmes sociaux en Chine, nous devons être clairs : ils font partie de l’horrible héritage de Jiang.
Traduit de l’anglais
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