(Minghui.org)
Le Falun Dafa m’a donné une nouvelle vie
Au printemps 1998, lors du soixantième anniversaire de mon mari, beaucoup de membres de ma famille sont venus chez moi pour célébrer. Tout le monde passait du bon temps, mais moi j’étais alitée en raison de toutes sortes de maladies, et cela depuis longtemps. J’étais hémiplégique et incapable de m’occuper de moi-même.
Une des invitées était une cousine éloignée. Nous ne nous étions pas vues depuis longtemps. Je me souvenais que dans le passé elle avait été très malade et prenait toutes sortes de médicaments. Elle avait entendu parler de mon état et ce jour-là, elle est venue me trouver spécialement.
Elle est venue à mon chevet et j’ai vu qu’elle était remplie d’énergie et que sa peau était resplendissante. Elle semblait tout à fait différente comparativement à quand elle était malade, et son apparence avait beaucoup rajeunie par rapport à la dernière fois que je l’avais vue. Je lui ai demandé : « Quel genre de médicament as-tu pris ? » Elle a déclaré : « Je pratique le Falun Dafa. » Elle a expliqué que le Falun Dafa est une pratique spirituelle qui a des effets miraculeux sur la santé.
Elle m’a demandé si j’étais aussi disposée à pratiquer le Falun Dafa. J’ai dit : « J’ai essayé tous les médicaments et traitements au monde, et j’ai également consulté tous les docteurs renommés des plus grands hôpitaux. J’ai aussi vénéré les bouddhas dans les temples, mais rien ni personne n’a été capable de guérir mes maladies. Comment le Falun Dafa pourrait-il me guérir ? Je ne crois pas à ce que tu dis. »
Mon mari a insisté : « Regarde, les faits sont devant toi. Tu sais bien qu’elle était faible et malade dans le passé. Elle était à bout de souffle lorsqu’elle parlait. Mais tu vois à quel point elle va bien maintenant. Tu devrais vraiment essayer. » J’ai répondu : « Je suis paralysée à présent et je dois rester au lit. D’ailleurs, je suis illettrée et je ne peux pas lire. Comment pourrais-je apprendre les enseignements ? » Ma cousine a dit : « Tu peux écouter les enregistrements des conférences de Maître Li (le fondateur de Dafa). »
J’ai ainsi commencé à écouter les conférences du Maître pendant que j’étais au lit. En moins d’une semaine, j’ai pu me lever seule, alors que je n’avais pas pu me lever de mon lit depuis longtemps. Avec le temps, j’ai pu marcher librement, faire des travaux ménagers, et même aller aux champs pour accomplir des travaux agricoles. Par la suite, ma cousine m’a enseigné comment faire les cinq séries d’exercices. Cela fait plus de vingt ans et je suis totalement guérie ; je n’ai plus eu besoin de prendre de médicaments depuis. J’ai maintenant 77 ans.
Merci Maître de m’avoir donné une seconde vie.
Ayant été témoins des miracles qui m’étaient arrivés, toute notre famille et nos proches ont loué Dafa : « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. »
Des miracles au cours de la cultivation
Je dois beaucoup d’argent en raison des nombreux traitements médicaux que j’ai subis par le passé, je suis donc allée en ville pour travailler et ainsi payer mes dettes. J’ai trouvé un emploi en tant que gérante d’un magasin de vélo.
Je ne connaissais personne en ville, alors j’ai dit à Maître Li dans mon cœur : « Maître, je ne peux pas lire, et je ne connais aucun pratiquant de Falun Dafa ici. Comment puis-je étudier le Fa et faire les exercices ? »
De façon tout à fait inattendue, le lendemain vers 10 h, ma cousine est passée devant le magasin où je travaillais. Elle m’a vue et a dit d’un ton enjoué : « Je ne savais pas que tu travaillais ici. En me réveillant ce matin, j’ai senti que je devais venir en ville faire quelque chose aujourd’hui, alors je suis venue, et je te rencontre. »
Elle m’a remis un exemplaire du Zhuan Falun et m’a dit d’apprendre à le lire. J’ai dit que je ne savais pas lire et elle a répondu « Tu peux aller au centre de pratique local et les pratiquants là-bas vont t’enseigner à lire et le Maître va t’aider. » En tenant le livre à deux mains j’ai pensé en moi-même : « Comment vais-je apprendre tous les idéogrammes dans ce livre ? ».
J’ai rapidement tourné les pages avec ma main droite et j’ai vu qu’une lumière dorée émanait du livre. Nous étions en plein jour, mais la lumière à l’intérieur du livre était beaucoup plus forte que le soleil à l’extérieur. J’ai regardé de nouveau avec attention, et chaque page était colorée et brillait de lumière dorée. J’ai pensé que peut-être mes yeux étaient éblouis, alors j’ai continué à tourner les pages, mais elles étaient toutes pareilles. J’ai aussi vu qu’il y avait des bouddhas et des bodhisattvas dans le livre, comme dans les images dans les temples. J’étais fébrile au-delà des mots. Je savais que je devais être en train de regarder un livre en provenance du ciel.
Le Maître m’a donné un endroit pour conserver les livres de Dafa
Après le début de la persécution du Falun Dafa en 1999, j’ai beaucoup trébuché sur le chemin d’assister le Maître dans la rectification de Fa. Quand je suis tombée, le Maître m’a encouragée encore et encore, m’a donné des indices, et m’a aidée à retourner sur le droit chemin.
En 2003, je vivais seule, mon mari était décédé et ma fille s’était mariée. Un jour, la police m’a arrêtée et emmenée dans un centre de détention où j’ai été maltraitée pendant un mois.
Quand on m’a relâchée et que je suis retournée chez moi, j’ai vu que la police avait saccagé ma maison et pris tous les livres de Dafa et les documents de clarification de la vérité.
Ma maison était vide et couverte de poussière. J’étais vraiment triste et seule, et je n’ai pu m’empêcher de pleurer. J’ai dit au Maître : « Je suis si pauvre que je n’ai nulle part où cacher les précieux livres de Dafa ou les documents de clarification de la vérité pour sauver les gens. Chaque fois que je suis persécutée, ils les emmènent avec eux. Que dois-je faire ? Où devrais-je cacher les livres et les documents, pour qu’on ne me les prenne plus jamais ? »
Je me suis endormie en pleurant sur le lit poussiéreux. Dans mon rêve, j’ai vu le Maître venir à ma porte. J’étais très enthousiaste : « Maître, vous êtes ici. S’il vous plait, entrez. »
Après qu’il est rentré, j’ai voulu demander au Maître de s’asseoir, mais j’ai pris conscience qu’il n’y avait aucune belle chaise pour qu’il puisse s’asseoir. J’ai éclaté en sanglots et j’ai dit : « Maître, vous voyez, ma maison est modeste. Je n’ai même pas une chaise décente pour que vous puissiez vous asseoir. De plus, il n’y a nulle part où garder mes livres de Dafa et mes documents de clarification de la vérité en sécurité. Chaque fois que ma maison est saccagée, je perds les livres et les documents. Maître, que dois-je faire ? »
Le Maître a souri et a pointé le mur entre la cuisine et la chambre. Je n’ai pas compris ce que cela signifiait, alors le Maître a marché vers le mur et l’a pointé tout en dessinant la forme d’un cadre de porte dans les airs, à environ la hauteur de la taille. Le cadre de porte que le Maître a dessiné est devenu une porte et le mur autour avait disparu. L’espace vide autour de la porte brillait d’une lumière dorée. Ensuite, le Maître m’a fait signe pour m’indiquer de mettre les livres de Dafa et les documents d’information derrière la porte du côté de la cuisine, puis il est parti.
Lorsque je me suis réveillée, je suis allée voir l’endroit que le Maître m’avait pointé dans le rêve. C’était l’endroit où je mettais le bois de chauffage dans la cuisine. Il y avait en effet un petit récipient discret. Le fond était vide. Je l’ai nettoyé et à partir de ce jour, j’y ai conservé les livres de Dafa et les documents. Pendant plusieurs années par la suite, jusqu’à ce que je déménage en ville, ce petit cabinet n’a jamais été vu par la police. Parce que le Maître avait mis une protection sur ce cabinet, la police ne l’a jamais découvert.
Le Maître : « Je n’ai pas reçu votre déclaration solennelle »
Une fois, on m’a signalée pour avoir parlé aux gens à propos du Falun Dafa. On m’a arrêtée et emmenée dans un centre de détention, où on m’a détenue pendant plus de vingt jours. Durant ce temps, la police n’a cessé de me menacer de m’envoyer en prison si je refusais de signer les trois déclarations. Toutefois, ils m’ont dit qu’ils me laisseraient retourner chez moi si je signais.
Étant donné que j’avais peur, ma pensée droite était très faible, et je ne voulais pas être condamnée à la prison et faire face à davantage de persécution. Donc, contre ma volonté, j’ai mis mon empreinte sur les trois déclarations (parce que je ne sais pas écrire).
De retour chez moi, je savais que j’avais trahi Dafa et le Maître. J’ai vraiment regretté et j’étais fâchée contre moi-même. Je voulais admettre mon erreur au Maître et exprimer ma ferme détermination de cultiver dans Dafa ; alors j’ai demandé à une autre pratiquante de m’aider à écrire une « déclaration solennelle » et de l’envoyer au site Minghui. Par la suite, j’ai recommencé à m’impliquer pour faire les trois choses et je n’ai plus fait mention de la déclaration.
Un mois plus tard, j’ai vu de nouveau le Maître dans un rêve. Il était très sérieux et m’a dit : « Tu n’as pas rédigé de « déclaration solennelle ». J’ai dit au Maître : « Je l’ai fait. J’ai demandé à une compagne de cultivation de m’aider à l’écrire. » Le Maître a dit : « Je ne l’ai pas reçue. Va et vérifie qu’elle a bien été envoyée. » Puis, le Maître est parti.
En me réveillant, je me suis souvenue du regard sérieux sur le visage de Maître et j’avais juste le goût de pleurer. J’ai pensé : « Pourquoi est-ce que je fais toujours en sorte que le Maître s’inquiète pour moi ? » J’ai immédiatement parlé avec la pratiquante qui m’avait aidée à écrire la « déclaration solennelle » et je lui ai raconté mon rêve. Elle a dit qu’après l’avoir écrite, elle l’a donnée à une autre pratiquante qui devait la soumettre à Minghui. Ensemble, nous sommes allées trouver cette personne et elle a dit : « J’avais beaucoup d’autres choses à faire ce jour-là et j’ai perdu la tienne après avoir fait autre chose. Je ne te l’avais pas encore dit . » J’ai alors énoncé à nouveau ma « déclaration solennelle » et cette fois, elles l’ont rédigée et soumise immédiatement à Minghui.
À travers cet incident, j’ai réalisé que nous ne pouvons pas enfreindre à la légère notre vœu préhistorique que nous avons fait au Maître, même si quelqu’un essaie de nous y forcer. Dans une autre dimension, signer les trois déclarations est un acte de se séparer de Maître Li. Si nous écrivons une « déclaration solennelle », cela signifie que nous avons signé un nouveau vœu avec le Maître, ainsi les forces anciennes ne sont pas capables de profiter de notre faute et de nous détruire.
Assister le Maître dans la rectification de Fa et accomplir nos vœux
En 2015, la police locale s’est mise à ma recherche après que j’ai déposé une plainte pénale contre Jiang Zemin, l’ancien chef du Parti qui avait lancé la persécution du Falun Dafa. J’avais peur et je ne voulais pas faire face à la situation. Un jour, en septembre 2018, j’ai lu le poème du Maître « Qu’y a-t-il à craindre », qui est aussi le Fa :
Si tu as peur elle t’attrapera
Quand les pensées sont droites la perversité s’écroule
Ceux qui cultivent et pratiquent sont remplis de la Loi
En émettant la pensée droite les diables pourris explosent
Divinités dans ce monde validez la Loi
J’ai pensé : « Je suis une disciple de Dafa et le Maître m’a donné une deuxième vie. Je devrais valider le Fa et sauver les agents de police qui sont à ma recherche. De quoi ai-je peur ? »
Aussitôt que ma pensée droite a refait surface, j’ai mis quelques documents de clarification de la vérité dans une sacoche et j’ai pris le taxi pour me rendre au poste de police. Les documents incluaient la brochure qui parle des rétributions que reçoivent les gens qui commettent des crimes contre les disciples de Dafa, l’Hebdomadaire Minghui, Êtres du ciel et de la terre et d’autres.
Le directeur, un des directeurs adjoints et un autre agent de police étaient au poste de police. J’ai mis la sacoche sur le bureau et sans attendre qu’ils parlent, je me suis présentée directement au directeur et lui ai dit : « Depuis 2015 jusqu’à aujourd’hui, vous êtes à ma recherche. Aujourd’hui, je suis ici pour vous sauver et vous dire la vérité sur le Falun Dafa. Puisque je suis illettrée, j’ai peur de n’être pas capable de tout expliquer clairement et de façon compréhensible, ainsi j’ai amené ces brochures et d’autres documents pour que vous puissiez les lire. J’espère que vous allez les consulter avec attention. J’espère sincèrement que vous aurez tous un futur radieux. » Ensuite, j’ai pris les documents dans le sac.
J’ai continué : « Monsieur le directeur, j’ai beaucoup bénéficié de la pratique du Falun Dafa. Dans le passé, j’étais très malade et tout l’argent de ma famille passait dans mes traitements médicaux. Mais mon état ne faisait qu’empirer. J’étais alitée et devais dépendre des autres pour prendre soin de moi. Pour prolonger ma vie, la plus grande partie du salaire de mon mari allait dans mes traitements. Ce qui restait ne pouvait soutenir la famille que pour une période de deux semaines. Dans la deuxième moitié du mois, je devais emprunter de l’argent à des proches et des amis pour qu’on puisse survivre. Ma famille est devenue un puits sans fond de dettes. En fin de compte, même mes sœurs ne voulaient plus nous prêter d’argent.
« Au moment où ma famille et moi étions désespérées, j’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa. C’était en 1998. Le Falun Dafa est une pratique spirituelle de l’école de Bouddha et demande à devenir une bonne personne, puis une personne encore meilleure, en suivant le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Cela fait plus de vingt ans que j’ai commencé à pratiquer et je n’ai pas eu à prendre un seul comprimé. C’est le Falun Dafa qui m’a sauvé la vie et m’a donné une autre vie. Pensez-vous que je puisse arrêter de pratiquer ? Je vous parle de mon expérience personnelle, “Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon”. Je veux aussi vous dire que l’incident des auto-immolations de la place Tiananmen était un coup monté complètement faux et tout ce qui a été diffusé à la télévision pour dénigrer le Falun Dafa n’est que mensonges.
« Monsieur le directeur, pour que vous puissiez avoir un avenir brillant, j’espère que vous pourrez calmer votre esprit et lire ces documents. Lorsque vous verrez et comprendrez la vérité, vous serez sauvés. » Les trois m’ont écoutée silencieusement. Ils ne m’ont pas interrompue.
Puis j’ai dit : « Une autre chose que j’aimerais vous dire est que si vous voulez rester en sécurité, vous devez démissionner du PCC. Vous n’avez qu’à y penser dans votre cœur pour démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. » Avant que je finisse de parler, le directeur a grimacé et dit à haute voix : « Ne crois-tu pas que je vais t’arrêter et t’envoyer au centre de détention maintenant ? » Je n’ai pas été ébranlée par ses mots et j’ai immédiatement dit aux trois hommes : « Le Falun Dafa enseigne aux gens à être bons. Le Falun Dafa est bon. » Le directeur a de nouveau dit d’une voie forte qu’il voulait m’arrêter, alors j’ai continué de réciter à voix haute : « Falun Dafa est bon. Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon. » J’ai aussi supplié le Maître de me sauver.
Le directeur adjoint a dit : « Bon, bon, vous l’avez récité pendant un moment et nous l’avons tous entendu clairement. Je vais vous reconduire chez vous. » Il a remis les documents dans le sac et m’a demandé de les prendre avec moi. J’ai dit : « Je les ai apportés pour que vous puissiez les lire, afin que vous soyez sauvés. J’espère que vous les garderez. Je ne partirai pas si vous ne les acceptez pas. Je fais vraiment cela pour votre bien, et aussi pour celui de votre famille, de vos parents et de vos amis. Une fois que vous aurez compris ce qu’est le Falun Dafa, vous voudrez que les autres voient ces documents. » Le directeur adjoint a dit : « Cela semble bien. Laissez-les ici avec nous et nous les lirons. »
Depuis, sous la protection du Maître, je fais avec droiture les trois choses chaque jour. Je traîne des sacs remplis de documents de clarification de la vérité et je les distribue dans les rues et dans les communautés, les marchés, les écoles et ainsi de suite, remplissant avec joie mon vœu préhistorique d’assister le Maître dans la rectification de Fa et de sauver les êtres.
Un jour, lors d’un festival traditionnel local, j’ai distribué beaucoup de documents de clarification de la vérité et j’ai aidé plus de cent personnes à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées. Depuis, que ce soit les agents de police, les employés communautaires ou les fonctionnaires du village, personne ne m’a harcelée depuis. Même durant la prétendue campagne « Plan zéro » au cours des trois dernières années, ils ne sont pas venus vers moi.
Je ne peux qu’être de plus en plus diligente et remercier le Maître de m’avoir sauvée.
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Traduit de l’anglais
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