(Minghui.org) Un jour en 2005, ma voisine du dessous est passée me voir et m’a présenté le Falun Gong. Elle m’a avertie de ne pas croire la fausse propagande que le Parti communiste chinois diffusait pour diffamer le Falun Gong. Je l’ai assurée que je ne croyais pas un seul mot diffusé à la télévision !
Auparavant, les médias avaient rapporté qu’il y avait énormément de pratiquants de Falun Gong répandus dans tout le pays. Si la pratique était mauvaise, comment aurait-elle pu attirer autant de pratiquants ? Après avoir appris l’existence de cette pratique, je me suis retrouvée inconsciemment debout au milieu de la rue, regardant le ciel avec ce vœu : « Je ne connais aucun pratiquant de Falun Gong. Si je les rencontre un jour, je dois leur demander de me parler de cette cultivation et pratique. »
Peut-être que lorsque le Maître a envoyé ma voisine du dessous qui était aussi une pratiquante de Falun Gong chez moi, c’était le destin. Ma voisine m’a offert de me prêter un livre du Falun Gong et j’ai accepté sans hésitation. Quelques jours plus tard, on m’a livré le livre.
À cette époque, j’étais occupée avec le travail et je ne pouvais lire que dans mon temps libre. Bien que j’aie relu plusieurs fois le contenu, j’avais du mal à en comprendre le sens. Même si je vivais juste un étage au-dessus de ma voisine, nous ne nous étions jamais rendu visite ni parlé auparavant. Je n’étais pas proche d’elle et j’avais du mal à lui demander de l’aide.
Trois mois plus tard, mon mari a mentionné qu’il y avait un pratiquant de Falun Gong à son travail qui avait une très bonne moralité. Je lui ai dit avec joie : « S’il te plaît, invite-le chez nous et demande-lui de me parler du Falun Gong. » Tout d’abord, mon mari a rejeté ma proposition. Son collègue était occupé avec son travail et il ne pouvait pas prendre du temps pour venir. En plus, nos logements étaient assez éloignés, ce qui ajoutait à la difficulté. Sans perdre espoir, j’ai continué à encourager mon mari à inviter son collègue.
Finalement, le collègue de mon mari et sa femme sont venus nous rendre visite. Il m’a dit que le Falun Gong est une pratique qui enseigne aux gens à être gentils et bons. Le coup monté de Tiananmen, parmi d’autres nouvelles, avait été fabriqué. Depuis, j’ai réalisé que le Falun Gong et Maître Li Hongzhi, le fondateur de la pratique, étaient innocents. Le PCC a initié une campagne pour diffamer la réputation du Falun Gong et persécute brutalement les pratiquants. J’étais stupéfaite d’apprendre comment le PCC employait des tactiques méprisables pour torturer les pratiquants de Falun Gong vertueux et gentils !
Comprendre la vérité n’a pas diminué ma détermination à apprendre le Falun Gong. À partir de ce jour, le collègue de mon mari et sa femme sont souvent passés me voir pour m’enseigner les exercices et me faire écouter les vidéos des conférences du Maître.
En regardant la vidéo de la deuxième conférence, j’ai commencé à avoir froid. Le lendemain, j’ai eu de la fièvre. Lorsque le collègue de mon mari est revenu, il m’a dit : « Il faudrait visionner chaque jour les vidéos des conférences de Fa du Maître. C’est mieux de les regarder en continu, sans pause. » Je lui ai parlé de ma fièvre et lui ai dit que j’avais pris un médicament. Il m’a dit : « C’est un signe que le Maître purifie ton corps. Si tu prends des médicaments, la maladie sera refoulée à nouveau dans ton corps. » En entendant ces mots, j’ai arrêté de prendre des médicaments.
Par la suite, j’ai commencé à avoir une forte diarrhée et à vomir. Je ne pouvais même pas garder de l’eau. Mon corps était très faible. J’hésitais à retourner au travail. Le collègue de mon mari m’a alors avertie : « Ne te couche pas chez toi et traite tes symptômes comme une maladie normale. Tu devrais continuer à travailler comme normalement. » J’ai écouté son conseil, bien que j’allais constamment aux toilettes à mon lieu de travail. Deux semaines plus tard, j’ai commencé à entendre la musique des exercices de Falun Gong, peu importe où j’étais. J’ai commencé à me demander si j’avais une hallucination.
Après avoir obtenu le Fa, le fait de cultiver et pratiquer m’a permis d’en comprendre la signification et de trouver le vrai bonheur, je me considérais bénie d’avoir obtenu Dafa dans cette vie ! J’ai commencé à m’aventurer dehors après le travail pour distribuer des documents clarifiant la vérité même s’il était très tard. Mon mari m’accompagnait fréquemment et m’aidait dans mes efforts de distribution. Ma voisine du dessous a commencé à m’envoyer des documents de cultivation supplémentaires et des exemplaires de l’Hebdomadaire Minghui. Si j’étais encore au travail, elle les laissait sur le pas de ma porte. Nous nous rencontrions rarement et n’étudiions pas le Fa ensemble.
Bien que j’aie obtenu le Falun Gong, je n’étudiais pas le Fa ni ne faisais pas les exercices avec diligence. Cultivant seule, isolée, je pratiquais comme une personne ordinaire.
Surmonter les épreuves de maladie
En 2011, j’ai eu des symptômes de karma de maladie qui se sont aggravés avec le temps. Chaque articulation me faisait mal, le reste de mon corps m’était toujours inconfortable et je me suis retrouvée à avoir de graves insomnies. En outre, j’ai eu une excroissance dure qui s’est développée au bas-ventre gauche qui m’empêchait de m’allonger ou de m’asseoir. J’ai perdu l’appétit pour la nourriture et j’avais constamment chaud et froid. J’ai fini par me rendre à l’hôpital, mais on m’a dit que mon état de santé était normal. Les médecins m’ont dit que je souffrais probablement de ménopause et de dépression.
Les médecins ont émis un diagnostic de dépression majeure. Ma mère avait également souffert de ce même état à mon âge. La gravité de ma maladie m’a obligée à arrêter de travailler. Au même moment, des problèmes sont apparus dans mon mariage, auparavant harmonieux. Mon mari a commencé à me frapper et à me gronder et notre relation s’est dégradée. Petit à petit, il a cessé de parler et a commencé à m’éviter, au point de rester chez ses parents au lieu de rentrer chez nous. Bientôt, mes beaux-parents ont commencé à me lancer des regards désobligeants.
À ce moment-là, j’avais été torturée physiquement et mentalement jusqu’à l’extrême limite. J’étais extrêmement maigre, avec des cernes sous les yeux et un teint sombre. Mes collègues m’évitaient et je me retrouvais plongée dans la solitude et la peur. L’aggravation de mon état a également causé beaucoup de chagrin à mes parents, qui versaient souvent des larmes d’inquiétude.
Peu à peu, je suis devenue suicidaire au point d’entendre même une voix disant : « Saute de l’immeuble et tu seras libérée de la douleur et de la souffrance. » Je savais que c’était le travail des forces anciennes des autres dimensions et je retournais immédiatement du balcon au salon. Je savais que je ne pouvais pas me suicider, car je voulais toujours pratiquer le Falun Gong. Comme je désirais que quelqu’un m’accompagne dans la cultivation et la pratique ! À ce moment-là, j’avais perdu le contact avec le collègue de mon mari. Je me suis calmée assez pour continuer à étudier le Fa et émettre la pensée droite. Cependant, je me suis mise à regarder la photo du Maître, lui demandant en silence de l’aide pour trouver un groupe local d’étude collective du Fa.
Un jour, mon linge est tombé sur l’étendoir de ma voisine du dessous. N’ayant pas d’autre choix, je suis descendue et j’ai frappé à sa porte. La personne qui m’a ouvert était un autre pratiquant qui était de passage. Je lui ai décrit ma situation et il m’a immédiatement présenté un groupe d’étude collective du Fa chez un pratiquant voisin. À ma grande surprise, ce groupe d’étude du Fa état juste dans l’immeuble en face du mien. Le Maître a exaucé mon vœu et a arrangé que je trouve ce groupe d’étude du Fa. J’étais si contente et j’ai remercié Maître Li.
À partir de ce moment-là, j’ai assisté fréquemment à des sessions d’étude du Fa avec des compagnons de cultivation et ma compréhension s’est rapidement améliorée. Les autres pratiquants m’ont encouragée à étudier le Fa et à émettre la pensée droite avec diligence, sans faillir. En plus de l’étude collective du Fa, j’ai également étudié le Fa seule, pratiqué les exercices et émis la pensée droite à la maison à une plus grande fréquence.
Une nuit, j’ai rêvé d’un gros crocodile et de petits poissons. Je ramassais les petits poissons et j’ai placé le gros crocodile dans une boîte. Lorsque je frappais le crocodile avec un petit bâton, il bougeait. Lorsque je laissais le crocodile seul, il restait immobile, faisant semblant d’être mort. Des compagnons de cultivation ont suggéré que cela pouvait être un message envoyé par le Maître. Je devais continuer à émettre la pensée droite afin d’assurer la mort du crocodile. Si je m’arrêtais, le crocodile reviendrait à la vie, car ce mal n’avait pas encore été éliminé. Après ce rêve, j’ai commencé à émettre quotidiennement la pensée droite. J’ai également arrêté de prendre des médicaments. En tant que pratiquante de Dafa, j’étais résolue de traiter mon état comme une élimination du karma arrangée par le Maître plutôt qu’une maladie normale. J’étais déterminée à passer cette épreuve avec succès.
Après avoir arrêté de prendre mes médicaments, mes symptômes se sont manifestés encore plus fortement. Pendant des jours, j’ai eu les yeux creusés et j’ai perdu beaucoup de poids. Soucieuse de mon état de santé, une compagne de cultivation m’a conseillé de réduire mes médicaments et de diminuer le dosage au lieu d’arrêter tout en une seule fois. Je lui ai dit fermement : « Je refuse, quitte à en mourir, de prendre des médicaments ! » En entendant mes mots, cette pratiquante a répondu joyeusement : « Ta détermination et ta pensée droite sont très fortes. Tu surmonteras cela sans problème. »
Par la suite, peu importe combien mon corps me faisait souffrir, je ne voulais pas hésiter dans ma croyance dans le Maître et dans le Fa. Avec le temps, mon état s’est amélioré. Mon teint pâle est devenu rosé et j’ai repris du poids peu à peu. J’ai commencé à mieux dormir et ma santé est rapidement revenue à la normale.
Ma mère, très croyante, a vu mon rétablissement miraculeux et a changé son état d’esprit. Au lieu de s’opposer, elle a commencé à soutenir ma cultivation dans le Falun Gong. Mon mari et mon enfant ont aussi eu plus de respect pour ma cultivation et pratique. Notre famille a été réunie dans la joie et ma relation avec mon mari est devenue harmonieuse.
Avec l’aide bienveillante du Maître, j’ai acquis ma santé et ma joie actuelles ainsi qu’une vie de famille épanouie. Je dois ma chance entièrement à Maître Li. À ce jour, j’ai instauré un groupe d’étude du Fa à mon domicile. Je travaille avec des compagnons de cultivation qui font bien les trois choses et je marche sur mon chemin de cultivation.
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Traduit de l’anglais
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