Sauver les gens avec urgence pendant la pandémie

(Minghui.org) Les pratiquants de Falun Dafa de notre région se réunissent tous les vendredis à un arrêt de bus près du parc pour discuter de la manière de clarifier la vérité et de sauver les gens au milieu de la pandémie.

Nous avons décidé de faire trois choses. Premièrement, accrocher un grand nombre d’affiches avec des faits sur le Falun Dafa. Deuxièmement, parler avec les gens dans la rue, même s’ils sont moins nombreux que d’habitude ces jours-ci. Nous nous sommes rappelé de garder une certaine distance et de ne pas mettre les autres mal à l’aise. Troisièmement, nous avons décidé que chaque pratiquant devait clarifier la vérité et distribuer les brochures et autres documents d’information aux gens de son quartier.

Dans le quartier où j’habite, tous les bâtiments sont à la fois résidentiels et commerciaux, et chaque immeuble compte au moins 30 étages. Je sors habituellement le soir, et j’émets toujours la pensée droite et demande à Maître Li, le fondateur et enseignant du Falun Dafa, de me renforcer avant de sortir.

Lorsque j’arrivais dans un immeuble, je trouvais d’abord un endroit où je ne serais pas vu par les caméras de surveillance, puis je me changeais et je prenais l’ascenseur jusqu’à un étage qui est un ou deux niveaux plus bas que l’étage supérieur. Je prenais les escaliers jusqu’au dernier étage, je commençais à distribuer les documents et continuais le travail jusqu’au premier étage.

Il me fallait généralement environ une heure pour terminer. Ensuite, je me rhabillais et je rentrais chez moi. Le lendemain, j’allais vérifier les poubelles pour voir si les concierges ou les nettoyeurs avaient jeté des documents. Quand j’en trouvais, je les prenais et les emballais pour les redistribuer. Je parlais également aux concierges et aux nettoyeurs au sujet de Dafa et de la persécution. Je leur disais que les documents étaient des trésors de Fa pour sauver les gens et leur demandais de ne pas les détruire ou les jeter. Certains pratiquants ont insisté pour sortir et parler aux gens tous les jours. Bien que ce soit beaucoup plus difficile en raison de la distanciation sociale, nous avons tout de même rencontré des personnes ayant des affinités prédestinées.

Après le Nouvel An 2020, la pandémie s’est un peu calmée et l’environnement est devenu plus détendu. Nous avons repris notre étude collective du Fa. Après quelques discussions, nous avons décidé de distribuer les documents contenant des faits sur la pandémie dans plus de 100 villages et 100 quartiers résidentiels de nos zones locales. Nous avons divisé les villages et les quartiers en sections, et chaque groupe de pratiquants s’est chargé d’une section.

Un compagnon de cultivation et moi-même nous sommes occupés d’une section qui comprenait au moins 12 villages. Nous avons préparé suffisamment de documents pour le nombre de ménages dans chaque village. Une fois sur place, chacun d’entre nous a distribué les documents dans une rue différente, et nous avons bien travaillé ensemble.

Protégé par le Maître

Il y a beaucoup de chiens dans les villages. Une fois, alors que j’accrochais des informations sur une porte, j’ai vu un gros chien noir secouer la tête et la queue et se blottir contre moi, comme si j’étais son maître. Plus tard, quelqu’un m’a dit que ce chien était le plus vicieux et qu’il attaquait toujours les étrangers. Une autre pratiquante a vécu une expérience similaire : elle a vu un gros chien noir s’élancer vers elle, la gueule grande ouverte, elle a fermé les yeux et s’est dit : « Je ne pourrai pas éviter la morsure cette fois. » Mais rien ne s’est passé. Lorsqu’elle a ouvert les yeux, le chien était à environ un mètre et était incapable de bouger ou de fermer sa gueule. Elle a compris que le Maître la protégeait.

Parfois, lorsque nous croisions des passants ou des patrouilleurs, nous ne paniquions pas, nous leur disions simplement, d’une manière digne, que nous sauvions des gens. Nous leur donnions aussi les dépliants et ils en redemandaient souvent. Parfois, nous les aidions même à démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations pour la jeunesse. Nous savions que si nous nous enfuyions, ils penseraient que nous étions des voleurs et crieraient pour que des gens nous arrêtent.

Après avoir couvert les villages, nous avons commencé par les zones résidentielles. Le nombre de membres de notre groupe est passé de 2 à 11. Avant de sortir pour sauver les gens, nous émettions la pensée droite à 18 heures, puis nous étudiions une leçon du Zhuan Falun, nous émettions à nouveau la pensée droite, puis nous sortions.

Une fois, à la porte d’un quartier résidentiel, quelques gardes de sécurité nous ont dit que nous devions faire glisser nos cartes d’identité pour ouvrir la porte. Nous nous sommes retournés et nous étions sur le point de partir. Mais après nous être éloignés d’environ 10 mètres, les gardes nous ont appelés en criant, nous ont dit que nous pouvions entrer parce que quelqu’un avait ouvert la porte, et sont sortis. Nous avons compris que les êtres étaient désireux d’être sauvés, et que le Maître avait pris des dispositions parfaites pour nous.

Nous avons souvent rencontré des situations similaires. Dans certains quartiers résidentiels haut de gamme, il fallait glisser une carte pour ouvrir la porte. Nous attendions juste un peu et quelqu’un sortait et nous ouvrait la porte.

Une fois, alors que je distribuais des documents à un certain étage, j’ai vu un vieux couple sortir de l’ascenseur avec une petite fille. Ils sont restés derrière moi. Lorsque j’ai accroché les informations à une poignée de porte, ils se sont arrêtés de marcher aussi. Lorsque j’ai accroché le document sur la dernière porte, ils m’ont souri. L’homme s’est approché et m’a dit : « Vous êtes si bon. » Il s’est avéré que le dernier appartement était le leur, ils étaient restés derrière moi pour ne pas me déranger.

Une fois, alors que je distribuais des documents dans un immeuble d’habitation, un adolescent a passé la tête et le haut du corps par la porte et a dit : « Monsieur, que faites-vous ? » J’ai répondu : « Nous vous apportons la sécurité. Voici un dépliant, veuillez le lire attentivement. Lorsque vous connaîtrez les faits, vous serez béni. » Il a accepté le dépliant et a dit : « Merci, monsieur. » Lorsque j’ai terminé cet étage, je me suis retourné et j’ai vu qu’il me regardait. Il m’a fait signe et m’a dit : « Au revoir, monsieur, prenez soin de vous. » J’ai été ému par sa politesse, des larmes ont coulé dans mes yeux, et j’ai su que les êtres avaient vraiment hâte d’être sauvés.

Lorsque j’ai franchi le portail, j’ai vu un jeune homme qui se trouvait à environ un mètre de moi crier dans son téléphone : « Les pratiquants de Falun Dafa distribuent à nouveau des documents. » Qu’il parle à un membre de sa famille ou qu’il me signale à la police, j’ai considéré que ces mots étaient une reconnaissance de nous par les gens ordinaires : ils avaient déjà vu beaucoup d’activités de clarification de la vérité réalisées par les pratiquants de Falun Gong. En réalisant cela, je me suis senti honoré.

Nous avons également rencontré des dangers, mais nous les avons surmontés grâce à notre pensée droite. Une fois, sur le chemin du retour, une pratiquante de 70 ans était sur un vélo électrique conduit par son fils de 50 ans. Comme le lampadaire était éteint, ils sont tombés dans un fossé de plus d’un mètre de profondeur sur le bord de la route. La mère avait une forte pensée droite et a immédiatement dit : « Nous allons bien. » Nous l’avons aidée à sortir du fossé et effectivement, elle n’était pas blessée. Son fils a poussé la bicyclette hors du fossé, et il allait bien aussi. Nous sommes rentrés chez nous sans aucun autre incident.

Une autre fois, trois pratiquants se sont réunis pour distribuer des informations dans un quartier résidentiel où vivaient des responsables du gouvernement. Une personne s’est rendue dans un bâtiment où nous avions distribué des informations la veille. Lorsqu’ils se sont rendus dans le quartier le lendemain, ils ont été arrêtés à l’entrée par la sécurité. Le jeune pratiquant a réussi à s’échapper, mais les plus âgés ont eu moins de chance. Ils ont maintenu la pensée droite et un comportement droit, et ont clarifié les faits concernant le Falun Dafa aux agents de sécurité et au directeur. Le directeur a appelé la police. Après un certain temps, quatre policiers sont arrivés. Les pratiquants âgés ont également parlé du Falun Dafa avec les policiers. Les policiers ont pris quelques notes et les ont laissés partir. Sous la protection miséricordieuse de Maître Li, la persécution apparemment sérieuse a été dissoute.

Depuis que j’ai commencé à cultiver le Falun Dafa en 1995, j’ai attaché la plus grande importance à l’étude du Fa. Je comprends parfaitement l’importance de l’étude du Fa, je sais que la réussite de chaque test, l’élimination de chaque attachement humain et l’élévation à chaque niveau reposent sur l’étude du Fa et le fait de regarder à l’intérieur. J’ai mémorisé le Zhuan Falun trois fois, et je l’ai écrit à la main trois fois, une fois à l’aide d’un stylo, et deux fois à l’aide d’un pinceau et d’encre. Maintenant, presque sans exception, je lis chaque jour une leçon et la récite de mémoire.

Mon cœur est plein de gratitude envers le Maître pour son salut bienveillant, et la seule chose que je puisse faire en retour, c’est d’être plus diligent et de bien marcher sur le chemin de la rectification de Fa. Je me cultiverai bien, je sauverai plus d’êtres, j’accomplirai ma mission et je retournerai chez moi avec notre Maître.

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Traduit de l’anglais