(Minghui.org) Nous savons tous que le Maître est celui qui sauve les êtres. Nous ne faisons que faire les démarches et bouger nos bouches. Au cours de ce processus, certaines occasions peuvent sembler accidentelles. Si nous pouvons saisir ces occasions, avoir le cœur de sauver les gens, n’avoir aucun désir ou attachement et agir en accord avec le Fa, le Maître sauvera la personne. Je vais partager ci-dessous quelques-unes de mes expériences au cours desquelles j’ai saisi les occasions pour sauver des êtres.

Le parapluie

Je suis sortie un matin pour clarifier la vérité et je me demandais pourquoi je n’avais pas apporté un parapluie. J’ai alors vu un parapluie plié sur le sol, non loin de moi. Normalement, je n’aurais pas réfléchi à ce que je voyais par terre. Mais, ce jour-là, le ciel était sombre et le tonnerre grondait. J’avais l’impression que la pluie allait tomber à tout moment. « Est-ce un arrangement du Maître pour me donner un parapluie, puisque je n’en ai pas apporté ? » J’ai regardé le parapluie et une pensée a traversé mon esprit : « Le parapluie appartient à cette jeune femme qui vient de passer en trombe devant moi. »

J’ai ramassé le parapluie et j’ai couru après elle. Après avoir couru plus de 50 mètres, j’ai vu la femme faire demi-tour et revenir en courant pour chercher son parapluie. Je lui ai rapidement passé le parapluie et elle n’a cessé de me remercier. Je lui ai parlé d’un moyen efficace d’éviter de contracter le virus pendant la pandémie. La femme a dit avec un soupir : « Vous, les personnes ayant une croyance, vous avez tellement bon cœur ! » Elle a compris et a accepté avec plaisir de démissionner du Parti communiste chinois (PCC) et de ses organisations affiliées.

Cela m’a surpris pendant un certain temps. J’avais l’impression que c’était un test pour moi et que j’avais failli commettre une erreur. Le Maître s’est servi de ce parapluie pour me permettre de sauver des gens. Il ne s’agissait pas pour moi d’éviter la pluie. Après mon retour à la maison, il n’avait toujours pas plu. La pluie n’est tombée que dans l’après-midi. Maintenant que j’y pense, comment n’a-t-elle pas pu savoir que son parapluie était tombé de sa poche ? Comment n’a-t-elle pas entendu son parapluie heurter le sol ?

L’homme qui a failli tomber

C’était une journée neigeuse et le chemin était glissant alors que je marchais au milieu de la foule. L’homme à côté de moi a soudain titubé, et j’ai réussi à le rattraper. Voyant que ses jambes n’étaient pas très agiles et que le chemin était vraiment glissant, je l’ai soutenu pour qu’il puisse marcher.

En cours de route, je lui ai clarifié la vérité et il a accepté de démissionner du PCC. Il m’a ensuite dit qu’il avait atteint sa destination. Une femme qui vendait des objets au bord de la route a commencé à lui crier dessus furieusement et l’a grondé avec beaucoup de gros mots en exigeant de savoir qui j’étais. J’étais stupéfaite, car je me suis rendu compte qu’elle s’était trompée. Cependant, mon cœur était vertueux et je n’ai pas paniqué ni eu peur. Je voulais simplement lui expliquer les choses avec gentillesse. Cet homme a dit : « Pourquoi fais-tu tant d’histoires ? Elle me dit de démissionner du PCC pour avoir la paix et la sécurité ! » Le visage de la femme a immédiatement changé et elle a dit en souriant : « Ah, c’est le Falun Dafa ! »

Le chapeau

Un jour, je me suis rendue à un carrefour et j’ai vu deux femmes en train de discuter. J’ai pensé leur clarifier la vérité mais, après avoir attendu un moment, j’ai senti que je ne pouvais pas entrer dans leur conversation et je suis partie. Je venais de faire quelques pas quand un chapeau est passé à mes pieds au gré du vent. J’ai couru et j’ai ramassé le chapeau. Le chapeau appartenait à l’une des dames qui discutaient. Elle n’a cessé de me remercier et sur ce, je lui ai clarifié la vérité. Après avoir compris la vérité, elle a accepté de démissionner des organisations affiliées au PCC qu’elle avait rejointes quand elle était plus jeune. L’autre dame avait déjà compris la vérité et avait démissionné des organisations affiliées au PCC il y a longtemps.

Numéros de téléphone

J’ai rencontré une femme élégante et je lui ai clarifié la vérité. Elle n’était pas tout à fait d’accord avec ce que je disais. J’ai vu qu’elle était occupée à regarder des numéros de téléphone affichés sur des fenêtres du quatrième étage concernant des maisons à louer, je me suis tenue à l’écart et je l’ai observée tranquillement. Je voyais que malgré ses efforts elle n’arrivait pas à voir clairement les numéros. Je lui ai dit que j’allais essayer. Sur ce, j’ai fait de mon mieux pour regarder les chiffres, mais je ne pouvais pas les voir clairement.

J’ai supplié le Maître dans mon cœur de m’aider à voir les numéros clairement et j’ai commencé à lui lire les numéros de téléphone. Au fur et à mesure que je lisais les chiffres, je sentais que chaque chiffre que je lisais devenait plus grand. Elle m’a regardée d’un air perplexe. Voyant que je lisais les numéros avec une attitude si sérieuse, elle a entré les numéros dans son téléphone portable et a passé un appel avec succès. Elle était très reconnaissante envers moi. En fait, c’est parce que je l’ai aidée avec une attitude sérieuse et sans attentes qu’elle a accepté la vérité et démissionné du PCC. Elle ne savait pas que c’était le Maître qui l’avait sauvée.

Une averse

Un jour, j’ai clarifié la vérité à un arrêt de bus. Un homme d’âge moyen bien bâti se tenait à côté de moi avec un air solennel. Il bruinait un peu, j’ai donc ouvert mon parapluie et suis restée là à réfléchir à la manière dont je devais lui clarifier la vérité. La pluie devenant plus forte, je lui ai passé le parapluie d’une manière décente. J’ai montré du doigt le parapluie de l’autre pratiquant, lui faisant allusion au fait que je pourrais partager le parapluie avec le pratiquant à la place. Il a souri et a dit : « Merci ! Mais je n’en ai pas besoin, car le bus est déjà là. » Au moment où il faisait la queue pour monter dans le bus, je lui ai dit : « Les cieux vont anéantir le PCC, alors démissionnez du PCC pour jouir de la paix et de la sécurité. » L’homme avait seulement rejoint les Jeunes Pionniers et il a accepté de démissionner.

Un vieil homme qui court après un bus

Un jour, je marchais du nord vers le sud. Alors que j’étais sur le point d’atteindre un arrêt de bus, j’ai vu un homme courir après un bus qui avait déjà quitté l’arrêt et se dirigeait vers un village. Les jambes de l’homme n’étaient pas très agiles et il portait un grand sac. Le bus est passé à côté de moi et se dirigeait vers le nord. Je me suis retournée et j’ai commencé à courir après le bus. Le bus s’est arrêté. J’ai alors couru vers l’homme âgé, j’ai pris son gros sac et je l’ai porté jusqu’au bus pour lui. L’homme a démissionné des Jeunes Pionniers et a dit qu’il allait s’asseoir sur son lit et me remercier tous les jours en rentrant chez lui. Je lui ai dit de plutôt réciter « Falun Dafa est bon » tous les jours et que cela suffirait. Il a souri et hoché la tête, disant qu’il avait mémorisé la phrase. J’ai continué à marcher et je suis passée devant l’arrêt de bus. Un homme et une femme m’ont souri et ont hoché la tête. L’homme a levé le pouce. Je leur ai clarifié la vérité et les ai persuadés de démissionner de leur affiliation au PCC. L’homme m’a dit que de nombreuses personnes lui avaient parlé de cela, mais qu’il n’avait tout simplement pas démissionné. Aujourd’hui, il a vu que les gens du Falun Dafa sont vraiment très bons et il a accepté de démissionner.

En pensant à moi-même, il y a aussi eu de nombreuses fois où je n’ai pas bien fait et où j’ai manqué de nombreuses occasions précieuses de sauver des gens. J’ai rencontré une fois une ancienne collègue dans une boutique, elle avait emmené son enfant pour acheter des vêtements. Il semblait que son enfant allait se marier. Comme je voulais m’éviter de lui offrir un cadeau de mariage, je l’ai simplement félicité avec une certaine gêne et je ne lui ai pas clarifié la vérité. Je le regrette beaucoup. J’ai manqué l’occasion de sauver des gens à cause de mon attachement au gain personnel et de ma conception de réciprocité. J’ai laissé l’arrangement minutieux du Maître tomber à l’eau. Il y a aussi eu des moments où j’ai manqué des occasions à cause de la peur et de l’attachement à préserver ma réputation. Le fait d’écrire toutes ces choses me rappelle, ainsi qu’aux autres pratiquants, de chérir les occasions de sauver les êtres et de bien nous cultiver pour que davantage d’êtres puissent être sauvés.

Ce qui précède est ma compréhension limitée. Merci de me faire savoir s’il y a des améliorations à apporter.

Traduit de l’anglais