Clarifier la vérité dans un lycée de province en France

(Minghui.org) Frédérique, professeur d’anglais dans un lycée de province en France, est pratiquante de Falun Gong. À l’occasion de la semaine de la solidarité (du 27 février au 3 mars 2023), il a été décidé de tenir un stand de clarification pendant une journée complète dans l’enceinte du lycée. Une compagne de cultivation s’est jointe à elle pour cette journée.

Au cours de cette journée, les pratiquantes ont vu des enseignants, des élèves, des étudiants, du personnel encadrant. Certains sont venus en groupe, en curieux, seuls, emmenés par une tierce personne, certains sont venus plusieurs fois, des jeunes, des plus âgés. Toutes ces personnes étaient si différentes et pourtant toutes ont été profondément choquées d’apprendre la persécution réservée aux Falun Gong en Chine.

Frédérique échange avec des étudiants.

Certains professeurs et certains élèves se sont dits touchés par la beauté et la lumière de Dafa. Beaucoup de personnes ont souhaité signer la pétition appelant à la fin de la persécution du Falun Gong et ont dit qu’elles allaient en parler autour d’elles.

Le matin, pendant la récréation, beaucoup d’élèves se sont retrouvés autour du stand. Une pratiquante a fait les exercices et plusieurs élèves ont filmé ou pris des photos.

Willy, un collègue, a signé la pétition et a dit qu’il irait voir Shen Yun, car sa fille aînée « adore tout ce qui a trait à la Chine ».

Françoise, une autre collègue, en apprenant le sort réservé aux Falun Gong en Chine, a dit : « Je ne pensais pas que ça pouvait arriver dans un pays comme ça. » Elle a été profondément choquée et a dit qu’elle allait prévenir des collègues et des élèves pour qu’ils viennent rencontrer les pratiquantes. Elle a également signé la pétition.

De nombreux élèves se sont arrêtés au stand de clarification et ont posé des questions.

Des élèves de seconde écoutent attentivement une pratiquante qui leur explique ce qu’est le Falun Dafa.

Pour Rose, élève de terminale, la persécution est inadmissible, car le Falun Gong prône Authenticité, Bienveillance, Tolérance, qui sont, selon ses propres mots « des bonnes valeurs ».

Gaëlle, une collègue venant d’un lycée en Espagne a dit, après avoir signé la pétition : « Empêcher les pratiquants de parler, c’est comme le médecin qui a alerté sur la COVID et qu’on a fait taire. » Cela montre à quel point les personnes sont sensibles à la vérité.

Manon, élève de première, connaissait déjà le problème des prélèvements forcés d’organes, car son enseignante de chinois lui en avait parlé lorsqu’elle était au collège.

Une collègue enseignante a amené deux de ses classes de BTS. Certains de ses étudiants ont signé la pétition. Ils ont écouté avec beaucoup d’attention les explications données et ont été assez choqués de ce qu’ils ont appris.

Hugo, un élève de seconde, a compris que les pratiquants « sont persécutés pour leur pensée ».

Une enseignante qui coanime une émission de radio locale a invité les pratiquantes à parler du Falun Gong lors d’une émission. Elle va aller voir l’exposition Zhen Shan Ren lors de son prochain séjour à Paris. Elle aussi a signé la pétition.

À la fin de la journée, trois employés d’entretien sont allés directement au stand de clarification pour apporter leur soutien et signer la pétition. Les pratiquantes leur ont parlé et l’une des femmes de ménage a dit, après avoir signé : « Avec ma signature, j’apporte ma goutte d’eau ! »

Qu’est-ce que le Falun Dafa et pourquoi le PCC le persécute-t-il ?

Le Falun Dafa (également connu sous le nom de Falun Gong) a été présenté pour la première fois au public en 1992 par M. Li Hongzhi à Changchun, en Chine. Cette discipline spirituelle est maintenant pratiquée dans plus de 100 pays et régions du monde. Des millions de personnes ont adopté les enseignements basés sur le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance ainsi que sur cinq exercices doux, et ont constaté une amélioration de leur santé et de leur bien-être.

Jiang Zemin, ancien dirigeant du Parti communiste chinois (PCC), a perçu la popularité croissante de cette discipline spirituelle comme une menace pour l’idéologie athée du PCC et, le 20 juillet 1999, a émis un ordre interdisant cette méthode.

Sous la direction personnelle de Jiang, le PCC a créé le Bureau 610, une organisation de sécurité extralégale ayant le pouvoir d’outrepasser les systèmes policier et judiciaire et dont la seule fonction est d’orchestrer la persécution du Falun Dafa.

Au cours des vingt-trois dernières années, Minghui.org a confirmé la mort de milliers de pratiquants suite à la persécution. On pense que le nombre réel est beaucoup plus élevé. Beaucoup plus ont été emprisonnés et torturés en raison de leur croyance.

Il existe des preuves concrètes que le PCC organise le prélèvement des organes de pratiquants détenus, qui sont assassinés pour alimenter l’industrie de transplantations d’organes.

Traduit du chinois