(Minghui.org) Je suis au début de la soixantaine et je pratique le Falun Dafa depuis plus de vingt ans. En aidant les gens à comprendre Dafa au cours de ces années, ma vie a été remplie de douceur, de joie, et de diverses épreuves et tribulations. Cependant, sous la protection compatissante de Maître Li (le fondateur de Dafa), j’ai persévéré contre vents et marées.

De grands changements après le début de la cultivation

Ma vie était misérable avant de pratiquer Dafa. J’ai souffert de neuropathie à l’adolescence. J’avais du psoriasis sur tout le corps, une tension artérielle instable, des maux de tête, des vertiges, des maladies gynécologiques et de graves maux de gorge. Je transpirais abondamment pendant mon sommeil. J’ai essayé de nombreux médicaments occidentaux et traditionnels chinois, sans succès. J’étais tout le temps de mauvaise humeur à cause de ma souffrance physique. La plupart du temps, je me disputais et me battais avec mon mari.

C’est en assistant au mariage d’un parent en décembre 1998 que j’ai appris l’existence du Falun Dafa. Un parent m’a dit que le Maître, le fondateur du Falun Dafa, pouvait purifier mon corps et m’aider à éradiquer mes maladies. Dès que j’ai entendu cela, j’ai décidé de l’essayer puisque je n’avais rien à perdre.

J’ai obtenu une copie du précieux livre Zhuan Falun, l’enseignement principal du Falun Gong, et je l’ai lu en trois nuits.

En quelques jours, le Maître a purifié mon corps. Une fois, j’ai senti un courant chaud circuler de ma tête à mes orteils. C’était comme un flux d’énergie agréable qui circulait dans mon corps. Une vieille cicatrice, due à une morsure que mon mari m’avait infligée lors d’une bagarre il y a longtemps, est réapparue sur mon bras, puis a disparu quelques jours plus tard.

Toutes mes maladies ont disparu et je n’ai jamais été malade depuis. Je me sentais légère et en bonne santé. Ma famille était heureuse et mon mari m’a soutenue dans ma pratique.

Aujourd’hui, je suis joyeuse tous les jours. J’ai de bons enfants et petits-enfants, et mon fils a une belle carrière. Le Maître a donné ces bénédictions à ma famille !

Échapper à une arrestation grâce à la protection de Dafa

Je vivais dans une région montagneuse, où les villages étaient dispersés dans toute la région. Il n’y avait que quelques maisons dans chaque village. Je me rendais à pied dans les villages pour informer les gens sur le Falun Dafa et je distribuais des documents de Dafa. Je posais également des affiches la nuit.

Une fois, j’ai été signalée par un jeune homme alors que je distribuais des documents. Je suis partie et je suis allée dans un autre village. À la tombée de la nuit, je me tenais au bord de la route, espérant trouver un chauffeur. Soudain, un homme à moto est arrivé. Il a accepté de m’emmener, mais a refusé que je le paie. Il m’a déposée au pied de la colline. Je lui ai clarifié la vérité et lui ai donné une amulette de Dafa. Il m’a demandé d’être prudente et est parti.

Alors que je m’enfonçais dans les bois, j’ai vu passer une voiture de police. J’étais surprise, mon cœur battait la chamade. La voiture de police est repassée avant que je ne traverse les bois. Je l’ai échappé belle !

En rentrant chez moi, j’ai commencé à réfléchir à la façon dont ce motocycliste s’était miraculeusement présenté pour m’emmener. Je crois que le Maître a fait cet arrangement pour me protéger.

« Nous ne nous occuperons plus des pratiquants de Falun Dafa »

En 2008, je suis sortie pour clarifier la vérité avec deux autres pratiquants. Nous avons été signalés, puis encerclés par des policiers. J’ai été arrêtée avec un autre pratiquant. Le troisième pratiquant s’est échappé.

Alors qu’ils nous emmenaient au poste de police, les policiers nous ont battus. Nous avons été détenus dans un centre de détention pendant plus de vingt jours. Nous avons émis la pensée droite et clarifié la vérité aux personnes détenues dans le centre de détention. Plus de 20 personnes ont démissionné du Parti communiste chinois (PCC).

Un matin, nous avons été menottés et emmenés dans un camp de travail. J’ai émis la pensée droite tout au long du trajet, en espérant que nous ne serions pas admis. Lorsque nous sommes arrivés, on nous a forcés à passer un examen médical. Une maladie que j’avais eue quand j’étais enfant a récidivé alors que j’étais guérie depuis longtemps. Je ne pouvais plus bouger. Je crois que le Maître a créé cette condition pour me protéger.

La police a insisté pour m’admettre au camp de travail et m’a forcée à passer un examen. L’hôpital était déjà fermé lorsque nous sommes arrivés. Ils ont rencontré des connaissances dans le camp de travail et voulaient me laisser avec eux. Comme j’avais déjà été détenue dans ce camp, ces personnes m’ont reconnue et ont refusé de me garder.

Les policiers n’ont eu d’autre choix que de nous emmener, le compagnon de cultivation et moi, dans un autre camp de travail situé à des centaines de kilomètres de là, dans une autre ville. L’autre pratiquant a été admis et a reçu une peine d’un an, mais j’ai été refusée.

La police n’a pas abandonné et m’a ramenée au camp de travail précédent. J’ai continué à émettre la pensée droite sur le chemin. Les gardiens ne voulaient toujours pas me prendre, disant que j’avais déjà été rejetée le matin même.

La police a appelé un centre de détention local. Quand le centre de détention a su que je ne pouvais pas bouger, ils n’ont pas voulu me prendre de peur de devoir me porter. De plus, ils craignaient d’éventuelles poursuites judiciaires.

La police a alors appelé le poste de police du bourg, demandant au chef du village de venir me chercher. Le chef du village a refusé, arguant qu’il n’y avait pas de voiture disponible au milieu de la nuit. Il leur a dit de me ramener chez moi !

Les policiers étaient en colère. Ils ont dit : « Nous avons échoué. À partir de maintenant, nous ne nous occuperons plus du Falun Dafa. »

Miracles de Dafa

Je travaille dans les champs pendant la journée, et je clarifie la vérité à mes voisins et les aide à démissionner du PCC le soir. Je suis allée dans une maison où un gros chien beige était attaché à la porte. La plupart des gens n’auraient pas osé s’approcher de cette maison. J’ai dit au chien que j’étais là pour éveiller son maître à la méchanceté du PCC, qu’ils seraient tous deux bénis, et lui ai demandé de ne pas me mordre. Le propriétaire de la maison a été surpris de me voir et m’a demandé comment j’avais réussi à passer malgré le chien. J’ai répondu que le chien savait distinguer le bien du mal. Le propriétaire et sa femme étaient heureux et ont démissionné du PCC lorsque je le leur ai demandé.

Une fois, un villageois a vendu des marchandises en ville, à plus de 80 km de là. Un soir, en rentrant chez lui, il s’est rendu compte qu’il avait perdu sa carte bancaire qui contenait des centaines de yuans. Il s’est inquiété et a demandé conseil à son cousin qui est pratiquant. Son cousin lui a dit qu’un miracle se produirait s’il récitait sincèrement « Falun Dafa est bon, Authenticité-Bienveillance-Tolérance est bon ». Le villageois l’a récité toute la nuit. Avant l’aube, il s’est fait conduire en ville par un chauffeur de tracteur. Alors que l’employé municipal balayait la rue, il a jeté un coup d’œil et a vu sa carte bancaire sur le sol. Il était fou de joie et a remercié le Maître à plusieurs reprises. Il a dit que le Falun Dafa était incroyable !

Traduit de l’anglais