(Minghui.org) J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa pendant le Nouvel An chinois en 1999. Je suis allée faire appel pour le Falun Dafa le 25 avril 1999. Je suis allée à Pékin pour valider et sauvegarder le Fa après que le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter le Falun Dafa le 20 juillet 1999.

J’ai été persécutée par le PCC à de nombreuses reprises. Mes proches savaient que le Falun Dafa enseignait aux gens à être gentils, mais ils avaient peur des atrocités du PCC et ont gardé leurs distances avec moi.

Grâce aux efforts des pratiquants, les gens ont progressivement découvert la vérité sur la pratique et la persécution. Les gens ont pris conscience de la cruauté du PCC et se sont réveillés. Certains de mes proches ont essayé de me retrouver par divers moyens et ont voulu pratiquer le Falun Dafa.

Mon troisième oncle atteint d’un cancer de l’œsophage ne souffre plus de la maladie

Mon troisième oncle est tombé gravement malade au début de l’année 2005. Il est venu dans ma ville, accompagné de son fils aîné, pour consulter un médecin à l’hôpital. Ils voulaient rester chez moi. J’ai immédiatement compris qu’ils étaient venus pour que je leur apprenne le Falun Dafa. À l’époque, mon voisin voulait louer son appartement et je l’ai donc réservé pour que mon oncle et mon cousin puissent y séjourner.

Ils étaient contents de l’appartement. Mon oncle a souri et a dit : « D’accord, j’irai à l’hôpital pendant la journée et je reviendrai pour apprendre le Falun Dafa auprès de toi le soir. » C’était une connexion étonnante, en effet.

Mon oncle était prédestiné à pratiquer le Falun Dafa. En 1998, il passait tous les jours devant un parc sur le chemin du travail et voyait de nombreuses personnes pratiquer le Falun Dafa. Parfois, il s’arrêtait et écoutait les pratiquants qui lui présentaient le Falun Dafa, si bien qu’il a voulu l’apprendre. Un pratiquant lui a donné un exemplaire du Zhuan Falun. Après l’avoir lu, il a compris qu’il s’agissait d’un bon livre qui enseignait aux gens à être bons et à s’élever moralement.

La persécution a commencé en juillet 1999, avant qu’il ne décide de pratiquer le Falun Dafa. Il a vu comment le PCC arrêtait et persécutait les pratiquants, certains jusqu’à la mort, et comment les agents du PCC fouillaient les appartements des pratiquants et brûlaient les livres de Falun Dafa. Il était terrifié.

Malgré tout, il a emballé le livre Zhuan Falun et l’a mis en lieu sûr. Il ne voulait pas que les voyous du PCC détruisent un si bon livre. Cette fois-ci, il a apporté ce livre avec lui. C’était la première version du Zhuan Falun avec une couverture bleue et une fleur de lotus au dos de la couverture. Il était encore en bon état.

Je lui ai dit : « Merci, mon oncle, d’avoir si bien pris soin de ce livre. Ta bonne action t’a donné la possibilité de pratiquer le Falun Dafa à l’avenir. Tu devras en prendre soin. » Je lui ai expliqué pourquoi le PCC était déterminé à persécuter le Falun Dafa et de quoi parlaient les Neuf commentaires sur le Parti communiste. Je lui ai parlé du Falun Dafa plus en profondeur. Il m’a écoutée calmement et a hoché la tête pour montrer qu’il comprenait et qu’il était d’accord.

J’ai continué : « Mon oncle, tu es membre du PCC et tu portes la marque de la bête. Tu n’as pas démissionné du PCC, n’est-ce pas ? »

Il a dit : « Non, est-ce que je peux démissionner ? »

« Oui, bien sûr. Tu peux utiliser ton surnom ou un pseudo pour te retirer du PCC. »

Il a répondu : « Je ne savais pas que le PCC était un spectre. Personne ne me l’avait dit. Je comprends maintenant. S’il te plaît, aide-moi à me retirer du PCC et de ses organisations affiliées en utilisant mon vrai nom. »

Son fils, qui écoutait, n’a d’abord rien dit. Puis il a pris la parole : « Ma sœur, j’ai rejoint la Ligue pour la jeunesse et les Jeunes Pionniers. S’il te plaît, aide-moi à démissionner. Je ne veux pas de la marque de la bête. »

Je me suis sentie si heureuse pour eux parce qu’ils s’étaient choisi un avenir lumineux.

Mon oncle, son fils, mes parents et moi-même avons regardé la vidéo de la conférence du Maître à Guangzhou cet après-midi-là. Par la suite, nous avons regardé une conférence par jour. Ils ont appris à faire les cinq séries d’exercices après avoir regardé les conférences.

Alors que nous regardions une conférence cet après-midi-là, mon oncle s’est levé, excité. Il a dit : « Oh mon Dieu ! Un grand nombre de Falun (roues de la Loi) sont sortis de la télévision, ont atterri sur mon épaule gauche et sont entrés dans mon corps. Que se passe-t-il ? »

J’ai répondu : « C’est une bonne chose. Tu as une relation prédestinée avec le Falun Dafa. Le Maître est en train d’ajuster ton corps. »

Il a demandé : « Est-ce que le Maître est en train de prendre soin de moi ? » Il était très excité et a regardé la vidéo attentivement.

Nous avons étudié le Fa et pratiqué les exercices tous les jours. Mon oncle a connu d’immenses changements en moins d’un mois. Lorsqu’il était arrivé, il était malade et avait une mine épouvantable. Maintenant, il avait les joues roses et était plein d’énergie. Il parlait d’une voix forte et n’avait pas l’air faible du tout.

Les examens ont montré qu’il n’avait pas de cancer. Il était très heureux. Il a dit : « Avant que je ne vienne ici, notre hôpital local a montré que je souffrais d’un cancer de l’œsophage. Mais en vingt jours, le Maître m’a purifié le corps. Je suis devenu une personne différente. Je n’ai plus de maladie ! Je ne m’attendais pas à cela. Je suis tellement reconnaissant envers le Maître. Je vous remercie également. Je vais commencer à cultiver. Le Maître prend soin de moi. J’ai tellement de chance ! »

Un mois plus tard, il allait rentrer chez lui. Il m’a demandé de lui trouver un groupe d’étude du Fa dans sa région afin que d’autres pratiquants puissent l’aider s’il avait des questions. Je ne connaissais aucun pratiquant là où il vivait, mais je lui ai dit : « Ne t’inquiète pas. Nous aurons un moyen de le découvrir. Le Maître s’occupera de nous. Nous devons demander au Maître de prendre des dispositions pour nous et lui demander son aide. » J’ai dit que j’allais le rejoindre deux semaines plus tard dans sa ville natale et trouver des pratiquants locaux.

Il est arrivé triste, mais il est reparti heureux et d’un pas vif. Il a emporté les 45 livres de Falun Dafa que je lui ai donnés.

Le Fashen du Maître m’a guidé pour trouver des pratiquants

Deux semaines plus tard, je suis allée en train dans la ville de mon oncle. Mon oncle et ma tante vivaient avec leur deuxième fils dans l’enceinte de la Banque de Chine. Leur deuxième fils était le directeur de la Banque de Chine locale. Ils m’ont accueillie chaleureusement.

Leur deuxième fils a été particulièrement chaleureux avec moi. Il m’a dit : « Merci, cousine, d’être venue ici pour aider mon père à pratiquer le Falun Dafa. » Auparavant, il était arrogant et me parlait à peine, même si je lui parlais ; c’était différent cette fois-ci. Il a continué : « Nous savions tous que la maladie de mon père était incurable. Nous nous sentions impuissants, mais mon père est devenu une personne différente après son retour. En tant que fils, je suis très reconnaissant envers le Maître. Le Maître a donné à mon père une seconde vie. Je suis complètement émerveillé par le Falun Dafa. Je soutiendrai inconditionnellement mon père dans sa pratique du Falun Dafa. »

Il m’a demandé de l’aider à démissionner du PCC et d’aider sa fille à quitter les Jeunes Pionniers. Son épouse a également dit que toute la famille était d’accord pour se retirer du PCC et de ses organisations affiliées.

Le lendemain, après le petit-déjeuner, j’ai pris mon scooter avec mon cousin pour me rendre dans un village à la recherche d’un pratiquant. En arrivant au village, nous avons vu un homme d’âge mûr, mince, grand et gentil, avec un tonneau de médicaments sur le dos. Mon cousin l’a reconnu. C’était le pratiquant de Falun Dafa qui avait donné le Zhuan Falun à son père. C’était un timing parfait. Le Maître avait dû arranger cela pour nous.

J’ai arrêté mon scooter et je l’ai salué : « Frère, j’ai entendu dire que vous aviez pratiqué le Falun Dafa avant 1999. Est-ce que vous pratiquez toujours ? »

Il m’a répondu : « Oui, c’est une très bonne méthode de cultivation. La persécution était brutale en 1999. J’avais peur et j’ai caché mes livres de Falun Dafa. Je n’osais pas pratiquer, mais je sortais parfois les livres pour les lire », a-t-il dit, impuissant.

J’ai dit : « Nous avons tellement de chance de pratiquer le Falun Dafa. C’est une occasion qui n’arrive qu’une fois en mille ans. Frère, vous avez encore cette occasion, mais vous devez la saisir. Vous feriez mieux de revenir pour pratiquer le Falun Dafa. Si vous manquez cette occasion, vous la manquerez pour toujours. »

Il a dit : « Bien, merci ! Ce doit être le Maître qui vous a utilisée pour me donner un indice. Le Maître ne m’a pas abandonné. Merci, Maître ! Je vais recommencer à pratiquer le Falun Dafa à partir d’aujourd’hui. » Il était enthousiaste.

Je lui ai demandé s’il savait où se trouvait un coordinateur en particulier. Il a dit qu’il ne le savait pas, mais qu’il viendrait avec nous pour le chercher. Lorsque nous sommes arrivés dans le village en question, j’ai garé mon scooter près de la première intersection. J’ai regardé au nord et à l’est, mais il n’y avait personne. Quand j’ai regardé vers le sud, j’ai vu deux hommes qui se tenaient devant une porte non loin de là. Ils avaient l’air d’être père et fils, et gentils. Le père nous a fait signe.

Quand je l’ai vu, une pensée m’a traversé l’esprit : « C’est le coordinateur que nous cherchons. » Nous sommes allés le voir.

Il a dit : « Pratiquants, veuillez entrer. » Il savait intuitivement que nous étions des pratiquants. C’était le coordinateur du centre local d’assistance du Falun Dafa.

J’en ai été tellement émue que j’en ai pleuré. Nous étions très reconnaissants envers le Maître de nous avoir emmenés chez ce pratiquant. C’était vraiment miraculeux !

Lorsque nous sommes entrés, j’ai vu un exemplaire de l’Hebdomadaire Minghui sur la table. Je lui ai dit pourquoi nous étions venus. Il m’a répondu : « Il y a un site d’étude du Fa juste en face du quartier résidentiel où vit votre oncle. C’est très proche. Il y a un pratiquant coordinateur là-bas. » Il les a contactés rapidement et s’est arrangé pour que mon oncle étudie le Fa et pratique les exercices avec eux.

Ma tante a commencé à pratiquer le Falun Dafa

Ma quatrième tante a voulu pratiquer le Falun Dafa lorsqu’elle a appris que sa sœur et son mari s’y étaient mis.

Je me souviens qu’elle aimait se prosterner et brûler de l’encens pour vénérer les divinités après son mariage. Sa belle-mère (ndt : qui vivait avec le jeune couple) conservait précieusement des animaux tels que des renards, des belettes, des fantômes et des serpents. Mais elle ne savait pas que ce n’était pas une bonne chose à faire. Je n’osais pas aller chez elle quand j’étais petite. Même quand j’y allais, j’avais peur et j’avais froid.

Une fois, elle a dit à mon père qu’il se passait des choses étranges chez elle. Ses voisins savaient que sa maison n’était pas propre et qu’elle était agitée par des choses désordonnées. Elle a commencé à douter de la bonne influence des animaux que sa belle-mère avait conservés religieusement. Elle a fermé la porte à clé et n’est plus retournée dans cette maison.

Elle s’était sentie contrariée et en avait parlé à ses amies. L’une d’elles lui avait dit : « Mes parents pratiquent le Falun Dafa. J’ai également lu le livre de Dafa une fois. Je me souviens que le livre disait que le Maître de Dafa pouvait nettoyer les possessions par les renards, belettes, fantômes et serpents. »

Très enthousiaste, elle s’était exclamée : « Vraiment ? C’est formidable. Ma nièce pratique le Falun Dafa. Je vais l’appeler et lui demander. J’ai envie de pratiquer quelque chose. »

Elle m’a appelée. J’ai dit : « Si tu veux vraiment pratiquer le Falun Dafa, le Maître t’aidera à nettoyer ton environnement domestique. Si tu veux seulement que ton environnement domestique soit nettoyé, le Maître ne t’aidera pas parce qu’il ne s’occupe que des pratiquants. »

Elle a répondu : « Je comprends maintenant. Je veux vraiment pratiquer le Falun Dafa. »

J’habitais à une certaine distance de ma tante. Je suis arrivée chez elle le lendemain matin avec le Zhuan Falun et une boîte à musique pour les exercices (ndt : les pratiquants ont conçu un appareil spécialement dévolu à l’écoute de la musique des exercices et des enseignements de Maître Li). Quand elle a ouvert sa porte, j’ai senti une forte rafale de vent froid m’engloutir. Je ne m’y attendais pas et j’ai failli tomber. J’ai immédiatement émis la pensée droite. Elle a compris que ces choses désordonnées m’attaquaient.

J’ai nettoyé sa maison et jeté ces mauvaises choses. Elle était un peu inquiète. Je lui ai dit : « Tu ferais mieux de te débarrasser de ta peur. À l’avenir, tu seras une pratiquante. Les corps de Loi du Maître te protégeront. Personne n’osera te toucher. Tu devrais croire en Maître Li maintenant. J’écrirai “Falun Dafa est bon” sur ton mur. C’est la Loi de Bouddha. Chaque mot est brillant. C’est encore mieux si tu peux les répéter tous les jours. Cela te convient-il ? »

Elle a répondu : « Oui, bien sûr. Quand tu as prononcé ces mots, je n’ai pas eu peur du tout. Je me suis sentie forte. »

Je lui ai appris à pratiquer les exercices l’après-midi et je lui ai donné un exemplaire du Zhuan Falun et une boîte à musique contenant la musique des exercices du Falun Dafa. Je lui ai dit : « Il est préférable d’étudier davantage le Fa, au moins une leçon par jour. Le Fa nous guide dans notre cultivation. Je reviendrai dans un mois. »

Un mois plus tard, je suis allée chez elle. Elle m’a dit : « Je lis une leçon du Zhuan Falun chaque jour. Je recommence depuis le début une fois que j’ai fini de le lire. J’ai appris beaucoup de principes. J’aime lire ce livre. C’est un livre céleste. Je me sens légère et je marche d’un bon pas. Un jour, en traversant la rue, j’ai vu un grand Bouddha dans le ciel. Un groupe de petits bouddhas suivait le grand bouddha qui volait dans le ciel. C’était spectaculaire. Cela ressemblait au premier tableau de Shen Yun. »

J’ai dit : « Tu as vu des scènes aussi splendides. Le Maître t’encourage. S’il te plaît, dis à tes amis et à tes parents à quel point le Falun Dafa est merveilleux et clarifie la vérité pour les sauver. » Elle a dit qu’elle allait essayer. J’ai clarifié la vérité à ses enfants et les ai aidés à démissionner du PCC et de ses organisations affiliées.

Je me suis sentie bien en rentrant chez moi. Mes proches ont commencé à pratiquer le Falun Dafa l’un après l’autre et marchent sur le chemin vers leur origine. Je remplirai ma mission, je sauverai davantage d’êtres et je suivrai le Maître pour retourner chez moi.

Traduit de l’anglais