(Minghui.org) J’ai commencé à pratiquer le Falun Dafa en 1998 et je n’ai plus besoin de prendre de médicaments depuis plus de vingt ans. J’aimerais partager certaines de mes expériences avec vous.

Je n’ai pas commencé à pratiquer pour guérir mes maladies ou pour rester en forme, même si ma santé était mauvaise avant de commencer à pratiquer. À l’âge de quatre ans, j’ai contracté la coqueluche et je ne m’en suis jamais complètement remise.

Comme mon mari était le plus jeune enfant de sa famille, il n’avait aucune expérience de la prise en charge d’autrui. J’attrapais souvent des rhumes et mon mari se mettait en colère lorsque cela arrivait, et quittait la maison. Il refusait de m’aider. J’avais le cœur brisé. Je ne m’attendais pas à ce qu’il me traite ainsi.

Après la naissance de notre enfant, mon mari me réprimandait constamment. Je me sentais très mal. Je souffrais d’insomnie sévère, d’arthrose cervicale et de problèmes gynécologiques. Mes mains et mes pieds étaient toujours gercés. La peau morte sur mes pieds avait un centimètre d’épaisseur et se fissurait souvent, saignant abondamment. Quand les gens voyaient mes pieds, ils avaient pitié de moi.

Peu de temps après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, tous mes problèmes de santé ont disparu.

« Maman, je suis tellement impressionné. Après avoir commencé à pratiquer le Falun Dafa, la peau morte épaisse et les grosses crevasses sur tes pieds ont disparu ! » m’a dit mon fils.

La grosseur au bas de mon ventre a disparu

Au cours de l’été 2003, j’ai commencé à remarquer que je dégageais une odeur désagréable. Comme je travaillais comme vendeuse, cela était gênant. Je me demandais ce qui pouvait bien me donner cette odeur de poisson pourri. Puis, j’ai découvert une grosseur dure, de la taille d’un poing, au bas de mon ventre.

Le Maître nous a dit :

« Ceux qui cultivent vraiment n’ont pas de maladie. » (Enseignement du Fa pour les assistants de Falun Dafa à Changchun)

Même si cette odeur me dérangeait, je savais que ce n’était pas une maladie. J’ai suivi les enseignements du Maître et j’ai regardé à l’intérieur de moi pour voir où mon comportement n’était pas conforme à Dafa et quelle faille les forces anciennes utilisaient pour interférer avec ma cultivation.

J’ai trouvé de nombreux attachements : l’attachement au gain personnel, l’attachement à ne pas perdre la face, la jalousie, l’attachement à me faire valoir, la luxure, le ressentiment et l’attachement à ne pas être critiquée. J’ai émis la pensée droite pour dissoudre ces attachements humains et éliminer les arrangements des forces anciennes.

Mon patron était un parent de ma belle-mère. Quand il a appris que j’avais été licenciée de mon ancien emploi, il est venu chez moi et m’a proposé de travailler comme vendeuse. Il m’a dit que je gagnerais une commission en plus de mon salaire mensuel de base. Je lui ai dit de ne pas me payer trop. Il m’a répondu que tout le monde avait un salaire de base de 300 yuans plus une commission. « Plus tu gagnes, plus je gagne, et plus je serai heureux », m’a-t-il dit. J’ai donc accepté.

Les produits que l’on me demandait de vendre n’étaient pas faciles à vendre. Ils n’étaient pas considérés comme populaires, donc peu de gens les voulaient. En tant que pratiquante de Dafa, j’ai travaillé dur. En conséquence, les ventes de mon premier mois ont été plus de trois fois supérieures à ce que le patron avait prévu, donc mon salaire aurait dû être supérieur à mille yuans.

Il y avait quelques autres employés dans cette entreprise, deux vendeurs et un réparateur. Les produits des deux autres vendeurs étaient censés se vendre mieux que les miens, mais ils ne se vendaient pas bien, et le salaire du réparateur était encore plus bas. Mon salaire était beaucoup plus élevé que prévu, et le patron a hésité. La femme du patron était également inquiète, car je serais payé beaucoup plus que les autres, d’autant plus que l’une des vendeuses était sa nièce et l’autre le frère du patron.

Le patron pensait qu’il faudrait plusieurs mois pour que mes ventes du premier mois atteignent leur niveau habituel. Gêné, il m’a demandé si cela ne me dérangerait pas d’être payée la moitié de ce qui m’avait été promis.

« Ça va, pas de souci », ai-je répondu. En tant que pratiquante, je sentais que je devais être à la hauteur des critères de Dafa et être capable de perdre sciemment en termes d’intérêts et de gains personnels. Le patron et sa femme ont été émus. Sa femme a dit : « Heureusement que vous êtes pratiquante de Falun Dafa. Sinon, nous ne saurions pas quoi faire. »

J’ai suivi les principes de Dafa. J’ai travaillé dur et je ne me suis pas plainte. Je ne me suis pas disputée pour des gains personnels et j’ai d’abord pensé aux autres, y compris à mon patron. Non seulement j’ai vendu les marchandises, mais j’ai aussi préparé le déjeuner, nettoyé et géré le service après-vente. Lorsque mon xinxing s’est élevé, le Maître a éliminé la mauvaise chose de mon corps.

Une nuit, j’ai rêvé que quelqu’un retirait un gros objet de mon ventre et me disait : « Il n’est plus là. » J’ai été surprise et je me suis réveillée. Je me suis souvenue de la scène de mon rêve et j’ai inconsciemment touché mon bas-ventre. Je pouvais sentir que la grosseur dure avait disparu. À partir de ce moment-là, la mauvaise odeur qui émanait de mon corps a disparu. Merci, Maître !

Le zona disparaît après avoir émis la pensée droite

Un jour de l’été 2011, peu après mon arrivée au travail, j’ai ressenti une vive douleur dans tout le corps et je me suis sentie affaiblie. Toutes mes articulations me faisaient mal et j’avais une forte fièvre. Je ressentais une douleur aiguë dans le cœur, comme si j’étais transpercée par une aiguille. C’était incroyablement douloureux.

« Que se passe-t-il ? » me suis-je demandé. « Qu’est-ce qui ne va pas ? Qu’ai-je fait qui n’était pas conforme à Dafa ? Pourquoi ai-je aussi mal au cœur ? » Puis je me suis souvenue que je m’étais sentie faible lorsque j’avais émis la pensée droite la nuit précédente.

J’ai accidentellement touché mon ventre et il était humide. En baissant les yeux, j’ai été stupéfaite. Un cercle de grosses cloques, chacune aussi grande que mon ongle, entourait ma taille. J’ai pensé que c’était un zona, que je savais être incroyablement douloureux et difficile à traiter.

N’était-ce pas une épreuve imposée par les forces anciennes ? « Je n’en veux pas », ai-je pensé. J’ai tenu bon jusqu’à la fin de ma journée de travail. En arrivant chez moi, il était presque l’heure de l’émission de la pensée droite, de 18 heures. Je me suis immédiatement assise et j’ai émis la pensée droite, éliminant la persécution par les forces anciennes à mon égard. Après quinze minutes, tout était revenu à la normale. Je n’avais plus de douleur ni de fièvre. Les grosses cloques à la taille s’étaient toutes transformées en petites cloques sèches, de la taille d’un grain de millet. C’était vraiment incroyable ! J’étais stupéfaite.

Deux tumeurs ont disparu de ma gorge après avoir éliminé mon ressentiment

En 2017, avec l’aide de parents et d’amis, nous avons réussi à acheter un appartement pour mon fils qui était sur le point de se marier. Ma belle-fille n’était pas satisfaite, mais nous ne pouvions pas nous permettre un meilleur logement. Nous n’avions pas non plus assez d’argent pour engager une entreprise professionnelle pour la rénovation. Et mon mari était malade. J’étais la seule à pouvoir faire les travaux.

Comme nous avions peu d’argent, j’ai soigneusement établi un budget pour les matériaux et embauché des ouvriers, tout en m’occupant des personnes âgées de la famille et de mon mari malade. Chaque jour était épuisant. Avant de commencer les travaux, j’ai emmené mon fils et ma belle-fille choisir les couleurs des carreaux de sol. Ils ont choisi les carreaux et le motif. Mais avant même de venir voir le résultat, ma belle-fille s’est plainte de la rénovation. Elle a critiqué tout, des matériaux à la façon dont le travail avait été effectué. Elle n’était satisfaite de rien.

Chaque mot qu’elle prononçait me transperçait le cœur. J’étais frustrée et pleine de ressentiment. Je n’avais jamais été aussi furieuse. Je voulais juste trouver un endroit où pleurer. J’ai soudain eu l’impression d’avoir quelque chose dans la gorge que je ne pouvais pas avaler.

J’ai regardé à l’intérieur et j’ai vu mon erreur : je me traitais comme une personne ordinaire. Je l’ai fait de tout cœur pour mon fils et ma belle-fille, car ma belle-fille allait rentrer à la maison pour accoucher à la fin de l’année. En tant que femme âgée qui ne connaissait rien à la rénovation, j’ai vraiment fait de mon mieux. Mais pourquoi le résultat était-il ainsi ? Je n’avais aucun endroit où exprimer ma douleur. J’ai décidé d’étudier le Fa.

Lorsque nous sommes anxieux, nos attachements sont facilement exposés. Mon ressentiment en faisait partie. En tant que pratiquante de Dafa, comment pouvais-je m’énerver contre les autres et leur en vouloir ? N’était-ce pas une bonne occasion de me débarrasser de mon attachement ? C’était pour moi l’occasion d’élargir mon cœur. J’étais introvertie et mes attachements étaient profondément enfouis. Ce qui s’est passé les a révélés.

Le blocage dans ma gorge s’est un peu amélioré, mais mon ressentiment se manifestait de temps en temps. Quand il ressortait, je le réprimais, et quand il ressortait à nouveau, je le réprimais à nouveau. Mais il n’était pas complètement éliminé. Après plusieurs jours, j’avais l’impression que quelque chose était coincé dans ma gorge. Je ne pouvais ni le cracher ni l’avaler. Cela m’empêchait même de manger. Je ne l’ai pas pris au sérieux. Je l’ai ignoré et j’ai continué à faire les trois choses. J’ai regardé à l’intérieur et chaque fois que je trouvais quelque chose qui n’était pas en accord avec le Fa, je l’éliminais immédiatement.

J’ai continué à regarder à l’intérieur et mon xinxing a continué à s’élever. Mon ressentiment ne cessait de faiblir. Ma belle-fille est revenue à la maison et a accouché. Un jour, elle m’a crié dessus sans raison. Je n’ai rien ressenti, c’était comme une brise légère qui passait.

Le Maître a vu que mon xinxing s’était élevé et il a retiré la chose qui était coincée dans ma gorge.

Un matin, après avoir lavé une housse de couette, je l’ai mise à sécher dehors. Alors que je la soulevais, quelque chose m’a soudain remonté dans la gorge. Je me suis rapidement retournée et l’ai craché par terre. À première vue, cela ressemblait à une boule de sang, mais en y regardant de plus près, c’était un morceau de viande. J’ai appelé mon mari. Il l’a examiné et a estimé qu’il mesurait environ trois centimètres de long.

Environ un mois plus tard, alors que je cuisinais un soir, quelque chose m’est remonté dans la gorge. J’ai rapidement baissé la tête et quelque chose est tombé par terre. C’était une boule de chair de deux centimètres. Mon mari l’a vue et m’a dit : « C’est incroyable ! Si tu avais subi une opération pour cela, non seulement cela t’aurait coûté beaucoup d’argent, mais cela aurait également été très douloureux. Tu devrais remercier le Maître ! »

Le Maître a purifié mon corps de nombreuses fois. Ce ne sont là que quelques exemples.

Traduit de l’anglais