(Minghui.org) Pendant deux semaines, du vendredi au dimanche en octobre 2025, les pratiquants de Falun Dafa de Stockholm ont organisé une série d’activités près du musée Nobel afin de sensibiliser le public au Falun Dafa et à la persécution, par le Parti communiste chinois (PCC), de cette discipline spirituelle pacifique originaire de Chine.

Depuis maintenant vingt-six ans, soit depuis juillet 1999, le PCC réprime le Falun Dafa (également appelé Falun Gong). Pendant la semaine où les prix Nobel sont annoncés (du 6 au 13 octobre cette année), des foules de touristes et d’habitants ont visité le musée, où ils ont pu discuter avec des pratiquants, s’informer sur la pratique du Falun Dafa et entendre parler de la persécution en Chine.

Les pratiquants de Falun Dafa présentent les exercices et exposent des affiches devant le musée Nobel pendant la semaine où les prix Nobel 2025 sont annoncés.

Les pratiquants ont dénoncé les mauvais traitements infligés aux pratiquants de Falun Dafa en Chine, allant de la détention, à la torture, les travaux forcés, les prélèvements forcés d’organes et même la mort. Ils ont expliqué que désormais, le PCC a étendu la persécution à l’étranger, utilisant les médias et même les tribunaux d’autres pays. Les gens ont été surpris d’apprendre l’ampleur de la persécution ; beaucoup ont signé des pétitions demandant qu’elle cesse, et quelques-uns ont manifesté leur intérêt pour apprendre les exercices.

De nombreux passants ont manifesté leur intérêt pour apprendre les exercices et beaucoup ont signé des pétitions demandant de mettre fin aux violations des droits de l’homme en Chine.

S’opposer aux violations des droits de l’homme

Daniel, originaire d’Allemagne, s’est dit surpris que le PCC persécute des personnes simplement parce qu’elles pratiquent le Falun Dafa et suivent le principe Authenticité-Bienveillance-Tolérance. Il estime que la dissimulation des prélèvements forcés d’organes et la diffamation de Shen Yun sont encore plus absurdes. Daniel a dit : « Cela n’est pas différent de Satan. C’est très grave. Le PCC est plus brutal et pervers qu’Hitler. »

Quand il a appris que le PCC avait étendu cette répression à l’étranger, Daniel s’est montré très inquiet et a demandé comment il pouvait aider. Il était heureux de signer une pétition demandant de mettre fin à la persécution. Il a ajouté : « J’ai lu que le PCC envoyait des espions par l’intermédiaire des consulats chinois non seulement pour surveiller les Chinois, mais aussi pour tenter d’influencer la société occidentale. Ce que vous faites est très important et je veux m’opposer à ces violations des droits de l’homme. »

Le courage de dire la vérité

Un homme qui s’est entretenu avec un pratiquant a dit être un journaliste suédois et savoir que les prélèvements d’organes par le PCC existent bel et bien.

Il y a plusieurs années, ce journaliste a travaillé avec ses collègues pour dénoncer les violations des droits de l’homme commises par le PCC à l’encontre des pratiquants de Falun Dafa, des Tibétains et des Ouïghours. Ils ont mené des recherches approfondies et, en tant que professionnels des médias, ils étaient indignés que cette persécution soit rarement rapportée en Suède. Il a raconté qu’après la publication de leurs reportages, ils avaient été menacés par des agents du PCC.

Le journaliste a ajouté qu’il admirait les pratiquants pour leur courage à dire la vérité. Il s’est également réjoui de voir davantage de personnes se joindre aux pratiquants pour lutter contre la persécution. Il a exprimé l’espoir que le gouvernement suédois soutiendrait ces efforts et a rappelé aux pratiquants de prendre soin d’eux-mêmes.

De nombreux touristes ont discuté avec les pratiquants.

L’importance de la persévérance

Un Chinois d’une soixantaine d’années s’est arrêté pour discuter avec des pratiquants le 12 octobre. Il a révélé qu’il suivait les médias gérés par les pratiquants de Falun Dafa depuis plusieurs années et s’est dit heureux de pouvoir rencontrer les pratiquants en personne.

Il s’est exclamé : « Le PCC a tué environ 80 millions de personnes, c’est un démon ! » Il a ajouté que bien que le régime réprime sévèrement le Falun Dafa, les pratiquants persistent à défendre leur croyance et continuent à informer les gens. « C’est pourquoi je respecte les pratiquants de Falun Dafa. » Il a exprimé son intérêt pour apprendre la méthode, et prévoyait de lire le Zhuan Falun (le livre principal du Falun Dafa).

Plus de gens doivent connaître les faits

Une jeune femme originaire de Chine s’est arrêtée pour discuter et a expliqué qu’elle travaillait dans le commerce électronique. Elle a raconté que lorsqu’elle était en Chine, elle utilisait souvent des outils informatiques pour contourner le blocus d’Internet par le PCC et pouvait ainsi lire les articles publiés par les médias gérés par les pratiquants de Falun Dafa. Elle a dit : « Je vis aux États-Unis depuis six mois et je sais que le PCC persécute très violemment le Falun Dafa. Les prélèvements forcés d’organes sont sinistres et les soi-disant auto-immolations sur la place Tiananmen étaient un coup monté par le PCC pour calomnier le Falun Dafa. »

Elle a affirmé que certaines personnes mettent en doute la réalité des prélèvements d’organes. Cependant, la récente conversation enregistrée par un micro resté ouvert entre le dirigeant du PCC Xi Jinping et le président russe Vladimir Poutine sur la longévité et la possibilité de vivre jusqu’à 150 ans grâce à la transplantation d’organes a transmis un message clair. Elle a ajouté : « Quiconque est capable de réfléchir clairement sait qu’il y a quelque chose là-dessous. Il y a de nombreux incidents en Chine, notamment des disparitions de jeunes, et certains d’entre eux pourraient être des victimes de prélèvements d’organes. »

La jeune femme a dit que beaucoup de gens en Chine ont désormais davantage d’informations sur ce qui se passe réellement. « Lorsqu’ils rassembleront toutes ces informations, ils pourront voir la réalité telle qu’elle est. » Elle a remercié les pratiquants pour leurs efforts et a ajouté qu’elle espérait que davantage de personnes puissent bientôt avoir une vue d’ensemble de la situation.

Traduit de l’anglais