France : Les gens condamnent la persécution du Falun Dafa

(Minghui.org) Du 5 au 7 décembre 2025, les pratiquants de Falun Dafa ont organisé des activités à Strasbourg, une ville de l’est de la France, et à Rennes, une ville du nord-ouest de la France.

Ils ont présenté les exercices de Falun Dafa (également appelé Falun Gong), joué des tambourins de ceinture et informé les gens de la persécution incessante de cette méthode de cultivation pour le corps et l’esprit par le Parti communiste chinois (PCC). De nombreuses personnes ont signé une pétition demandant la fin de cette persécution en Chine.

Du 5 au 7 décembre, les pratiquants ont partagé des informations avec des passants venus du monde entier sur la place de la gare de Strasbourg, la place d’Austerlitz et la place du Corbeau.

Du 5 au 7 décembre, des pratiquants ont présenté le Falun Dafa sur la place devant la gare de Strasbourg. De nombreuses personnes ont signé la pétition demandant la fin de la persécution en Chine.

La prestation des pratiquants jouant des tambourins de ceinture à la place d’Austerlitz a été très appréciée par les passants.

Des personnes signent une pétition pour mettre fin à la persécution

Morad, artisan peintre industriel, a été choqué d’apprendre la persécution et le prélèvement d’organes dont sont victimes les pratiquants de Falun Dafa. « Ce type de prélèvement d’organes sur des pratiquants est odieux ! Ce qui se passe actuellement est une catastrophe. C’est vraiment déchirant », a-t-il réagi. Morad a demandé ce qu’il pouvait faire pour aider à mettre fin à ces atrocités. Il pensait que si d’autres pays étaient au courant, ils agiraient, s’exprimeraient et appelleraient à la fin de cette tragédie. Il espérait sincèrement pouvoir mettre fin à cette persécution : « Les gens doivent avoir le droit de vivre ! »

Il a dit qu’il partagerait le lien vers la pétition en ligne avec sa famille afin qu’ils puissent également la signer.

Un autre passant, Drako, a lancé : « Je suis médecin et je ne suis pas d’accord avec le prélèvement forcé d’organes. Tout le monde doit être informé de cette pratique [le prélèvement forcé d’organes]. »

Laurence, chercheuse en biologie, s’apprêtait à prendre le train pour rentrer chez elle après avoir terminé sa formation à Strasbourg. Elle a dit : « Je ne savais absolument pas que ce genre d’acte barbare existait. J’espère que les gens vont s’intéresser à ce problème et que ce trafic d’organes va cesser. »

Alfred Empia, travailleur indépendant, a dit : « Je m’oppose à toute persécution qui se passe en Chine. Je demande l’éradication totale du prélèvement d’organes. C’est horrible. Les gens naissent, vivent leur vie et finissent par mourir. Ces comportements anormaux [le prélèvement d’organes] ne peuvent être tolérés. Les gens ont besoin de travailler et de se développer. Mais tuer ces personnes et prélever leurs organes, c’est horrible. Les organisations de défense des droits de l’homme doivent se pencher sur cette question afin de mettre fin à tous ces actes odieux. »

El Kadhafi, un artisan, a déclaré : « Toute forme de persécution devrait être interdite et ne peut être tolérée. Nous vivons dans un monde de plus en plus violent, où le cœur des gens est rempli de plus en plus de haine. Nous appelons à la tranquillité et à la paix. Espérons que tout le monde puisse profiter de cette tranquillité. » Il a dit aux pratiquants : « Vous menez un combat noble. J’espère que vous persévérerez ! Bonne chance ! »

Jean Gravel, du Canada, a affirmé avoir entendu parler du Falun Gong. Il se souvient : « Au départ, le Falun Gong était encouragé par le gouvernement chinois... Le Falun Gong n’a rien fait de mal. Ses adeptes ne font que pratiquer une discipline pacifique et inspirante. Pourquoi les persécuter ? Je ne comprends pas. Je ne pourrai jamais comprendre. Personne ne peut comprendre le Parti communiste chinois. Ce n’est pas logique du tout. » Il estime que la persécution des pratiquants de Falun Gong par le PCC est terrifiante. Il a également mentionné que la question du prélèvement forcé d’organes a été signalée à plusieurs reprises et qu’un parlementaire canadien a mené une enquête.

Sophie Thomas, qui travaille dans le secteur de la restauration, a dit que la persécution des pratiquants de Falun Gong par le PCC est inhumaine et doit cesser. Elle estime également que ce sujet devrait être abordé plus souvent afin d’être mieux connu, car l’impact est plus important lorsque cette question est relayée par les médias et connue d’un plus grand nombre de personnes.

Journée d’information dans le nord-ouest de la France

Les pratiquants ont organisé une journée d’information sur la place de la République à Rennes, capitale de la Bretagne, dans le nord-ouest de la France, le 6 décembre. L’événement a attiré de nombreux passants, dont beaucoup ont pris des photos de l’événement et des panneaux d’information.

Rennes est l’une des principales villes universitaires de France. Elle est connue comme une ville d’art et d’histoire, ayant conservé un patrimoine médiéval et classique important dans son centre historique. Plus de 90 bâtiments sont classés monuments historiques.

Le 6 décembre les pratiquants de Falun Gong ont organisé une journée d’information sur la place de la République à Rennes.

Bien qu’il ait plu légèrement ce jour-là, un samedi avant les vacances d’hiver, il y avait encore une grande foule place de la République. Les pratiquants ont fait la présentation des exercices de Falun Gong et ont partagé des informations avec les passants. La présentation des exercices a incité de nombreuses personnes à s’arrêter et à prendre des photos. Certaines personnes ont également pris des photos des panneaux d’information. Plusieurs personnes ont été émues d’apprendre l’existence de la persécution et ont signé la pétition contre le prélèvement forcé d’organes. Beaucoup de gens ont remercié les pratiquants d’être présents.

Une étudiante a demandé aux pratiquants plus d’informations sur la persécution et a pris des dépliants pour les distribuer à ses camarades à l’école. Elle a remercié les pratiquants de lui avoir fourni ces informations peu connues mais précieuses.

Une femme a signé la pétition contre le prélèvement forcé d’organes et a exprimé son inquiétude face au génocide en cours.

Une autre personne s’est intéressée aux rapports publiés par Minghui.org et a pris des dépliants pour les distribuer à sa famille et à ses amis.

Traduit de l’anglais